À l’occasion de son centenaire, ce symbole de solidarité avec les anciens combattants et les victimes de guerre se renouvelle. Objectif : toucher un public plus large et plus jeune, à l’image du très populaire coquelicot britannique.
Tout en réaffirmant son attachement à une solution diplomatique, l’Iran s’est dit samedi 12 juillet prêt à coopérer avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sous « une nouvelle forme ». Téhéran estime que l’institution a une part de responsabilité dans les frappes en juin contre ses installations nucléaires.
Faisant à nouveau grimper les tensions commerciales, Donald Trump a annoncé samedi 12 juillet l’imposition de droits de douane de 30% pour le Mexique et l’Union européenne, qui entreront en vigueur le 1er août. Une soixantaine de nations devraient, sauf accord commercial, se voir infliger des surtaxes supérieures à 10%.
Pour les festivités du 14-juillet et la finale du Mondial des clubs PSG-Chelsea, Paris et ses alentours seront sous surveillance dimanche 13 et lundi 14 juillet avec 11 500 forces de sécurité mobilisées. Aucun rassemblement ne sera « toléré » sur les Champs Élysées.
En quelques semaines, l’Institut catholique de Toulouse a vu le départ de son recteur et de son président de conseil d’administration, accompagnés d’une vague d’arrêts maladie. Cette crise de gouvernance met entre autres en lumière l’enjeu pour les universités catholiques d’articuler les statuts canonique et civil.
Moulins (Allier) accueille jusqu’au 13 juillet le spectacle « Murmures de la cité », qui balaie 2 000 ans d’histoire de France. Ce divertissement, notamment financé par la région Auvergne et le Fonds du bien commun, créé par l’entrepreneur catholique conservateur Pierre-Édouard Stérin, suscite la polémique. L’historien Blaise Dufal balaie les enjeux des spectacles historiques.
Depuis le 7 octobre 2023 et la guerre à Gaza, ses dénonciations des exactions israéliennes à l’encontre des Palestiniens ont fait d’elle une référence pour ceux qui dénoncent un génocide à Gaza. D’autres, et en premier lieu l’administration Trump, lui reprochent un acharnement anti-israélien.
Le président américain a reçu cinq chefs d’Etat africains à Washington du 9 au 11 juillet. Au menu : la richesse des sous-sols aux minerais convoités et le renvoi des migrants irréguliers.
