En effet, il m’avait semblé comprendre, d’après Christophe, que « le tri sélectif » était assez développé , en Belgique…
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hug a écrit :Mais ce n'est pas l'objet ici !
gegyx a écrit :En effet, il m’avait semblé comprendre, d’après Christophe, que « le tri sélectif » était assez développé , en Belgique…
Pièces de musée, faut pas exagérer non plus... Tu parles là de langues que des gens qui pourraient être tes grands-parents ont connu comme seule et unique façon de parler "entre eux"...Rulian a écrit :Je suis tout à fait au courant pour l'interdiction du breton il y a un siècle encore, Bucheron. Mais force est de reconnaître que les langues régionales (breton, basque, alsacien, corse, provencal) ne sont plus du tout pratiquées au quotidien, sauf peut être le corse, et sont plutôt des pièces de musées aujourdhui, qu'on enseigne au même titre que le latin ou le grec ancien.
[...]Dans l'ensemble les français ne parlent qu'une langue : le français.[...]
Ca va nous permettre de donner une nouvelle orientation au sujet : "L'information est-elle recyclable ou bien est-ce un déchet ultime ?"freddau a écrit :Ben oui le tri selectif ds informations..
Une poubelle jaune, une poubelle verte etc...
Rulian a écrit :Je suis tout à fait au courant pour l'interdiction du breton il y a un siècle encore, Bucheron. Mais force est de reconnaître que les langues régionales (breton, basque, alsacien, corse, provencal) ne sont plus du tout pratiquées au quotidien,
Christine a écrit : Ca n'est pas tout à fait vrai - heureusement !-. Je suis Alsaciennne et je peu te dire que le dialecte est encore pratiqué dans les villages...et mes parents, ma famille en général, ne communique qu'en alsacien à la maison. Leur tord est de ne pas l'avoir suffisament bien appris leurs enfants. Le résultat est que moi et les gens de ma génération, nous le comprennons parfaitement mais nous avons du mal nous exprimer. Mais comment leur en vouloir ? Je me souviens qu'à l'école primaire (pas il y a 100 ans mais dans les années 80) notre institutrice (par ailleurs presque exclusivement dialectophone en dehors de l'école) nous menaçait de punition parce que les gens "biens" ne parlent pas le dialecte.
Il y aurait encore beaucoup à dire mais pour faire vite, je dirais que j'adore entendre parler alsacien ou wallon (même si je le comprends peu) parce que ce sont des langues qui ont une couleur, une truculence que ceux qui ne parlent que français ne peuvent même pas soupçonner et qu'ils confondent avec la vulgarité.
Voilà, faut pas négliger avec ses racines : elle permettent de mieux grandir.
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