Quelques analyses sur Sarkozy

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goodeco
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par goodeco » 01/05/07, 07:55

Une autre vidéo pour ses relations ambiguës avec la scientologie.
:arrow: http://leweb2zero.tv/video/alfred_49462d6ed2a67cf

Une autre de TIMSIT qui se paye Sarkozy.
:arrow: http://www.dailymotion.com/rated/sarkop ... -sarkozy/1
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En éternel apprentissage
Christine
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par Christine » 01/05/07, 10:50

Hier soir a été diffusé un mot croisés spécial présidentielles. Nous avons pris l'émission en cours du 2ieme débat mais l'avantage a clairement été (selon nous) aux intervenants du PS

http://mots-croises.france2.fr/30375070-fr.php

Il y a une chose assez flagrante dans les UMP c'est la manière de couper la parole aux autres (surtout la "Pécresse" et "Dati" n'a rien à lui envier) qui est assez méprisante et en dit long sur leurs manières...
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Christophe
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par Christophe » 01/05/07, 12:06

Christine a écrit :Il y a une chose assez flagrante dans les UMP c'est la manière de couper la parole aux autres (surtout la "Pécresse" et "Dati" n'a rien à lui envier) qui est assez méprisante et en dit long sur leurs manières...


Parfaitement et j'ajouterai qu'on sent le même non respect et agressivité (voir comportements haineux) dans (presque) tous les commentaires internet (blogs, forum, réaction...) des pro-sarko...Surfez un peu pour vérifier... :frown:

Les chiens ne font pas des chats...c'est bien qu'on dit non?
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bmag
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par bmag » 01/05/07, 12:24

Bonjour à vous tous!

Je déteste l’idée de faire de la propagande : si parmi vous certains ne souhaitent pas ou plus recevoir mes courriels, je peux tout à fait le comprendre ; c’est tout simple, il leur suffit de me le dire par retour, je les retirerai aussitôt de ma liste en espérant qu’ils voudront bien m’excuser de les avoir importunés.

Si à l’inverse certains d’entre vous souhaitent diffuser ce texte, je n’y vois aucun inconvénient pourvu qu’il porte ma signature, puisqu’il n’engage que moi.

Je me dis souvent : À quoi bon envoyer des courriels, à quoi bon essayer de réfléchir ? Mais c’est plus fort que moi, je ne peux pas rester les bras croisés, spectateur de ce qui se passe sous mes yeux. Je ne peux pas ne pas participer.

Soyons clairs, il ne s’agit pas pour moi d’énoncer je ne sais quelle vérité absolue, mais de faire état de ma vérité, telle que je la perçois aujourd’hui ; je ne cherche pas à convaincre, pas même à faire partager, je voudrais participer à ce débat très libre qui peut seul aider chacun de nous, moi compris, à réfléchir et à agir en connaissance de cause.

Avant tout, parce que je pense que c’est notre droit et notre devoir à tous, je désire témoigner de ce que je crois comprendre du monde en ce moment essentiel où notre choix va engager l’avenir.

J’écrivais ce qui suit juste avant le débat d’hier matin entre Bayrou et Royal, dont la qualité m’a très agréablement surpris, et confirme mon sentiment que peut-être quelque chose est réellement en train de changer du côté des hommes et des femmes de bonne volonté.
Alain Sagault


NOUS AVONS ENCORE LE CHOIX…


Quels que soient à mes yeux les défauts de Ségolène Royal et de François Bayrou et de leurs programmes, je les considère comme des démocrates, c’est à dire comme des personnalités politiques adultes, susceptibles de prendre en compte la réalité tout en cherchant à incarner un idéal.

Je ne suis pas toujours d’accord avec eux, mais je n’ai pas peur d’eux. Ce sont des êtres doués de raison, prêts à accepter l’existence de l’autre et à respecter la différence.

J’ai peur de Sarkozy. Pas par hasard : je le vois à l’œuvre depuis des années, et son bilan est proprement terrifiant. Non seulement ce n’est pas un démocrate, mais son dogmatisme simpliste, son populisme cynique, son agitation et son intolérance font de lui un démagogue incompétent totalement incapable à mes yeux d’exercer la moindre responsabilité civique.


IL NE FAUT PAS DIABOLISER…

Les gens « tolérants » nous implorent de ne pas diaboliser Sarkozy. Les gens tolérants savent ce qu’ils font : leurs grands-parents ont supplié les nôtres de ne pas diaboliser Mussolini, puis de ne pas diaboliser Hitler, avec les beaux résultats que l’on sait ; leurs parents, avec Sartre et ses amis, ont dénoncé avec une haine féroce les traîtres qui diabolisaient Staline, y compris ceux qui parlaient d’expérience du stalinisme et de son goulag. Il est encore très mal vu de diaboliser Mao, et les mêmes esprits larges qui se refusaient à diaboliser Franco nous conjurent régulièrement de ne pas diaboliser Bush ou Poutine.

Il me semble pourtant qu’il vaut mieux dénoncer le mal avant qu’il ait produit ses effets qu’après !

À quoi sert le devoir de mémoire si devant chaque nouvel apprenti dictateur nous faisons tout pour oublier les leçons de l’histoire ?

Il ne s’agit donc pas de diaboliser Sarkozy, mais de le démasquer.

En fin de compte, ce qu’ils appellent diaboliser, ça consiste à dire la vérité et donc à appeler un chat un chat et Sarkozy un dangereux psychopathe qu’il serait fou de porter au pouvoir justement parce qu’il est littéralement fou de pouvoir. C’est dans ses gènes, sans doute, comme l’usage permanent de la manipulation, de la provocation, de l’invective et du mensonge (souvenez-vous de la tentative de maquillage qui a provoqué la révolte des banlieues, ou voyez sa passion soudaine pour le monde ouvrier).

Et qu’on ne vienne pas me dire qu’il n’y a rien de commun entre un Sarkozy et les dictateurs évoqués ci-dessus.

Les mêmes causes engendrent les mêmes effets. Le système de « valeurs » des néo-capitalistes est fondamentalement le même que celui des fascistes, avec lesquels ils se sont d’ailleurs toujours alliés, et s’allient encore aujourd’hui.

Berlusconi n’est pas pour rien l’allié de Fini et des épaves de la famille Mussolini, et ce n’est pas par hasard qu’il soutient Sarkozy : les requins, si j’ose dire, se tiennent les coudes.

Tout comme ses compagnons de folie, Sarkozy n’a nul besoin d’être diabolisé, pour la bonne raison qu’il est de fait diabolique. Pour quiconque les regarde de près, son discours et ses actes sont parfaitement clairs : ils portent tous la marque de la bête immonde.


POURQUOI TANT DE HAINE ?

À personne mieux qu’à Sarkozy ne s’applique la réplique enfantine si juste sous ses airs gamins: « C’est çui qui l’dit qui y est ! ».

« Pourquoi tant de haine ? » dit le nain rageur. Quelle ingénuité, ou quelle fourberie !

Pourquoi, il le sait très bien : parce que la haine appelle la haine, parce que la répression aveugle provoque et nourrit la révolte, parce que le mensonge perpétuel engendre la colère.

Tout comme un vulgaire Le Pen, tout comme ses maîtres à penser, qui ne sont ni Jaurès ni Blum, Sarkozy est haï pour la même raison qu’il est adulé par certains : parce qu’il est haïssable. Et s’il est haïssable c’est parce qu’il est lui-même haineux. Sarkozy déborde de haine.

Nous sommes nombreux à haïr Sarkozy parce que nous sentons et comprenons qu’il nous méprise et nous hait. Sa haine nous menace dans notre être : qui n’est pas avec lui n’est que racaille à karchériser. Oui, Sarkozy nous fait peur, et la peur appelle la haine.

« Pourquoi tant de haine ? » Mais parce qu’il ne nous laisse pas le choix ! Difficile de ne pas haïr Sarkozy, car avec lui, c’est tout ou rien, il faut choisir : le haïr ou l’aduler. Si vous n’aimez pas Sarkozy de tout votre cœur et de toute votre âme, c’est que vous le haïssez. Réfléchir, discuter, c’est déjà le renier. Ce que veut Sarkozy, c’est être aimé, aimé sans réserve, ce qu’il aime, c’est l’émotion, et peu importe la qualité, pourvu qu’il ait la quantité. Quand on est prêt à tout pour être aimé, il ne faut pas s’étonner d’être haï : il me fait penser à ces amoureux abusifs qui exigent de vous un amour inconditionnel tout en vous posant le moins aimant des ultimatums : « Si tu ne m’aimes pas, tu me hais, et si tu me hais, je te hais ». Sarkozy, c’est Carmen, et il n’y a pas plus haïssable que Carmen…


SARKOZY, LE RETOUR DE LA BÊTE IMMONDE

Il y a des années que je soutiens que le véritable héritier du fascisme, ce n’est pas Le Pen, mais Sarkozy. Le Pen relève d’un fascisme ancien, d’un folklore dépassé, dont on peut faire un utile épouvantail, mais qui ne peut plus engendrer la moindre dynamique, sauf à être récupéré par ce que j’appelle les libéraux-nazis, ces loups déguisé en agneaux dont Sarkozy est en France le plus parfait prototype.

Je fais encore souvent bondir quand je parle des libéraux-nazis. De fait, la plupart des libéraux-nazis à la Sarkozy le sont inconsciemment. Et croient même détester Hitler dont ils partagent pourtant largement les valeurs et les méthodes. Sarkozy, c’est un Gœbbels au petit pied, avec cette forme de propagande gazée qu’on appelle communication, et le même mépris pour la vérité, la même religion pour « l’efficacité ».

Croyez-vous que les nazis d’origine, les pantins à drapeaux, bottes de cuir et pas de l’oie, avaient conscience d’être des monstres ? Les monstres ne sont jamais conscients de l’être, et n’éprouvent jamais de remords. Ils deviennent des monstres petit à petit, par glissements successifs, perdant peu à peu contact avec la réalité de leurs actes.

Le capitalisme, largement complice des dictateurs avant et pendant la Seconde Guerre mondiale, a dû se faire discret pendant quelques années après 1945. Mais il n’a pas tardé à reprendre du poil de la bête, et le programme en cours de réalisation ne date pas d’hier. Pierre Carles a judicieusement introduit son dernier film, « Volem rien foutre al païs », par un discours de Pompidou de 1967, absolument terrifiant : devoir de participer à la consommation généralisée rebaptisée progrès, culte obligatoire du travail, compétition imposée, riscophilie paranoïaque, tout y est déjà, le prétendu « libéralisme » compris.

L’extrême-droite a certes toutes sortes de visages, y compris ceux de Staline et de Mao, ceux de Fidel et de Wladimir, mais sous chacun de ses masques, ce qui transpire avant de s’affirmer et de détruire, c’est la haine, le « Viva la muerte ! », celle des autres bien sûr.

L’extrême-droite hait tout ce qui l’empêche d’aller au bout de son triple rêve, cette parousie mégalomaniaque démente, le triomphe définitif de ce que j’appelle les trois P, pouvoir, profit, paraître. Dans son désir d’arriver à ce qu’elle voudrait être la fin de l’histoire, l’extrême-droite néo-libérale est prête à toutes les solutions finales, jusqu’au suicide collectif si nécessaire ; l’apocalypse écologique en cours ne fait que porter à l’échelle planétaire l’apocalypse allemande voulue par Hitler à la fin de la guerre, mais elle sera plus réussie : la déconfiture des libéraux-nazis est inscrite dans la réalité incontournable de l’écosystème planétaire, et le désastre qui s’annonce n’est nullement franco-français, contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire.


ÉTAT DES LIEUX

Quand on nous serine que la France va mal, alors que le reste du monde se porte comme un charme, c’est évidemment faux. En vérité, c’est le monde entier qui court gaiement à la catastrophe, alors que les Français, plus lucides, n’y vont qu’à reculons.

Nous ne sommes pas parmi ceux qui vont le plus mal, mais nous allons suffisamment mal pour sentir que quelque chose décidément ne va pas dans la « mondialisation » capitaliste. Si notre raison est encore tentée par le scientisme et l’économisme, par l’égoïsme du profit et les chimères du pouvoir et du paraître, notre inconscient collectif est en train de prendre conscience du désastre en cours, auquel nous avons largement contribué, et refuse d’y participer, ou alors en rechignant. Les mains sur les yeux, l’humanité est en train de sauter dans le vide : les Français ont raison de traîner les pieds.

À mesure qu’elle s’enfonce plus profondément dans son suicide collectif, l’humanité tout entière, et particulièrement les occidentaux, et en premier lieu leurs élites, est entrée dans un ahurissant déni de toute réalité objective.

Impossible de discuter avec des gens qui refusent de prendre en compte la réalité des faits. Le négationnisme écologique n’est pas moins criminel que l’autre, et ses conséquences sont déjà désastreuses.

Notre lucidité ne va pas jusqu’à nous pousser à l’action. Les Français lancent toujours les idées, mais leurs contradictions les empêchent souvent de les réaliser : c’est la Révolution accouchant de la Terreur puis de l’Empereur…

Le cancer du « développement » nous ronge, voyez Dubaï, cette tumeur pas maligne, boursouflée d’orgueil mercantile, cette Tour de Babel qui croit faire du neuf en ressassant la vieille mégalomanie du plus haut, plus fort, plus vite, à qui aura le plus gros phallus et pissera le plus loin.

Ce n’est pas la France qui va mal, c’est l’humanité, c’est la planète.

Nous sommes confusément conscients de l’impasse, d’où la tentation du découragement et du recours aux extrêmes, aux « solutions » simplistes, à l’« ordre » et à l’« autorité ».

La droitisation à l’américaine a déjà tellement pénétré notre subconscient par médias interposés que je crains qu’on puisse dire : La France est mûre pour le fascisme. Tout est en place.

Pas encore le fascisme botté, peut-être, quoique les forces de l’ordre transformées rue d’Enghien en milice de protection du candidat, ça sonne aussi sinistre que la SA…

Mais quand une majorité de « citoyens » semble prête à accepter de voter pour la corruption, le mensonge et les coups bas, quand elle considère comme peccadilles des péchés mortels contre la démocratie, quand elle trouve normal, voire enviable qu’élus et élites adoptent ouvertement un comportement maffieux et se mettent au-dessus des lois, quand elle n’a plus pour horizon que l’intérêt personnel et la loi du plus fort, alors arrivent, attirés par la charogne, les prédateurs, les pauvres types complexés, les monstres en puissance, les Hitler, les Mussolini, les Sarkozy.

Une démocratie où des fanatiques incapables comme Bush ou Sarkozy peuvent arriver au pouvoir n’a rien à envier aux dictatures bestiales auxquelles elle ressemble comme deux gouttes d’eau, les apparences mises à part.


RENAZIFICATION

Car si l’on a dénazifié l’Allemagne après la guerre, le chiendent a la vie dure. Et j’ai bien peur que nous soyons insidieusement en train de nous renazifier.

Entre documentaires, romans et films, l’Europe se passionne littéralement, avec une espèce de nostalgie répugnante, pour la seconde guerre mondiale et tout particulièrement pour le nazisme et ses horreurs. La louable volonté de lutter contre l’oubli et le négationnisme finit par avoir bon dos. Les « Bienveillantes » marquent le pic de l’exploitation de cette veine à des fins pour le moins ambiguës. Nous sommes ainsi faits que la complaisance est souvent présente dans la dénonciation. Pour moi, cette omniprésence des régimes totalitaires et en premier lieu du régime hitlérien est un des signes du retour au nazisme, dans sa version soft, ce que j’appelle le libéral-nazisme, et du fait que, fasciné et terrorisé, l’inconscient collectif voit s’approcher la bête et s’y prépare à sa manière un peu gribouille, en s’y plongeant.

Et de fait, malgré quelques soubresauts de révolte molle, nous nous accoutumons peu à peu au monde monstrueux que nous avons contribué à créer, parce que s’il nous indigne bien un peu, il nous permet encore de vivre, alors que tant d’autres autour de nous en crèvent.

Après tout, notre petit Saint Nicolas n’est pas moins « bienveillant » qu’Adolf ou Benito, Joseph ou Mao, Fidel ou Wladimir. Confions-lui donc notre destin, c’est moins fatiguant que de le prendre en charge.


SCHIZOPHRÉNIE

Nous savons tous ce qu’est réellement Sarkozy, nous savons tous que la mondialisation financière c’est la destruction de notre environnement et donc la nôtre. Mais la plupart d’entre nous voteront sans doute pour le loup déguisé en berger, et, creusant notre tombe avec les dents, nous continuerons à nous bâfrer jusqu’au dernier moment. Mandibules nous sommes, mandibules nous restons, frénétiquement.

Lest températures du mois d’avril ont été supérieures de 10% aux moyennes saisonnières.

Il a fait 26° à Biarritz le 16 février et 28° le 22 avril, jour du premier tour.

On s’en fout, on a la clim’.
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Christophe
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par Christophe » 01/05/07, 14:37

Et une rigolade de plus:

Image
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par gegyx » 01/05/07, 14:50

Montréal
Le local de Nicolas Sarkozy vandalisé


http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional ... 22232.html
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gegyx
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par gegyx » 02/05/07, 16:03

Quand Sarko se déplace, il en mobilise des fonctionnaires !
:evil:

DikTatUre !!!

http://www.monde-solidaire.org/spip/art ... ticle=3917
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gegyx
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par gegyx » 04/05/07, 13:54

Info 13h sur FR2:
Dernier meeting de N. Sarkosy:
“Ecore deux jours, deux jours pour renoncer au renoncement ! :lol: (Encore un propos creux, méthode Coué)
Deux jours pour supprimer la Pensée Unique !…. » :shock: (On croit rêver !)

Puis le futur président cherche à prendre de la «Hauteur » (normal).
Donc, déplacement au plateau des Glières pour rendre hommage à la résistance. Il compte faire en pèlerinage annuel, ce déplacement.. (Sa légende commence).
(En effet, cela tombe bien, de glorifier les résistants, il y a beaucoup de gens qui vont bientôt rentrer en résistance…Seront-ils qualifiés de terroristes, par ce même personnage ?)
-----
Puis Fr2 montre un résumé-raccourci de la campagne des deux candidats:
Des brides par ci, par là, mais c’est toujours Sarkosy qui cause, pour passer ses messages massues.

:arrow: Chaîne publique partiale.
Que reste-il en France, comme télévision neutre :?:
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Christophe
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par Christophe » 04/05/07, 14:39

gegyx a écrit :Deux jours pour supprimer la Pensée Unique !…. » :shock: (On croit rêver !)



J'ai entendu aussi...vraiment l'hopital qui se fout de la charité...c'est un grand malade ce nicolas vraiment...
:shock: :shock: :shock:
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par gegyx » 04/05/07, 16:02

:?: Qu’avez-vous pensé de la proposition de Sarkosy, de taxer les camions étrangers qui circulent et transitent en France, (comme en Suisse ?).

Je trouve que balancer cela sans précision est méprisable.
Pourquoi ne pas parler de la politique anti écologique des flux tendus. (Supprimer des stocks dans les entreprises, pour encombrer et les entreposer sur les voies de communications, sur des tombereaux à roues. La belle affaire!)
Pourquoi ne pas parler de développer le ferroutage ?(Cela tomberait bien avec la réforme des régimes spéciaux de la sncf :cheesy: ).

Ce n’est pas envisageable de taxer que les étrangers.
La France et à l’ouest de l’Europe, et une voie de transit Nord-Sud. C’est un passage obligatoire.
Il y a un traité de libre circulation en Europe.
Les autres pays auraient raison d’invoquer de la discrimination. (La Suisse ne faisant pas partie de la Communauté Européenne)
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