Un monde nouveau sans règles, bien ou mal?
- plasmanu
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Manipulation des masses… “Panem et circenses” ["Donnez leur du pain et des jeux !"]… Le peuple doit se réveiller !!!
La mondialisation: comme vision unique rappelle tellement le modèle unique romain.
Voué à frapper le mur.
Heureusement qu'une conscience collective émerge avec l’avènement d'internet.
Du temps des romains un type rebelle derrière son clavier était bon pour l’arène ou le bucher.
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"Ne pas voir le Mal, ne pas entendre le Mal, ne pas dire le Mal" 3 petits singes Mizaru
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Le manquement à des règles, aussi strictes soient-elles, ne datent pas d'hier, et l’hypocrisie en était le corollaire!
Pour être plus concret, derrière la "stabilité" familiale se cachait en réalité pas mal d’accommodements ou/et de résignation...
Exact, mais il n'y a pas si longtemps, (40 ans), on pouvait laisser jouer ses enfants seuls dans la nature. Si tu fais cela maintenant, tu prends de gros risques..
C'est juste un exemple.
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L'homme est par nature un animal politique (Aristote)
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Stabilité familiale?
Prenons l'exemple d'un couple qui décide d'avoir un enfant.
Je dis bon courage.
En gros, voici les nouveaux obstacles à vaincre:
D'abord, faire un enfant devient de plus en plus compliqué à cause de la pollution (stérilié..oui,oui)
Ensuite, faire un enfant bien formé devient aussi un problème.
Ensuite, si il y a naissance d'un beau bb, il faudra le protéger de plein de choses...
Jouets dangereux pour la santé
Nourriture dangereuse
Télévision dangereuse
Nouveaux gros problèmes psychologiques à l'école (racket, mode diverses, violences extrêmes, nourritures pas bonnes, stress divers)
Plus tard, il faut protéger ses gosses de la pollution et des dangers d'internet
Ensuite, viennent les problèmes de sociétés actuels tel que drogues et alcool et sorties en boite qui se terminent par un accident contre un arbre .
Ensuite, ta fille t'annonce qu'elle s'est fait coupé les seins pcq elle se sent homme et prends des hormones masculines.
Ensuite, si ta gosse passe toutes les étapes correctement, elle se marie, a des enfants, elle divorce et doit se battre pour avoir la garde de ses gosses (si ils n'ont pas été enlevés dans un autre pays...)
Et si malgré tout, ta gosse a passé toutes les étapes, tu découvres qu'un réacteur nucléaire a sauté à coté de chez elle..
Il y a de quoi faire un film à pleurer toutes les larmes de son corps, rien que sur ce sujet.
Hamed, il ne faut pas focaliser le titre de ce post à simple problème de perversité sexuelle vieux comme le monde.
Prenons l'exemple d'un couple qui décide d'avoir un enfant.
Je dis bon courage.
En gros, voici les nouveaux obstacles à vaincre:
D'abord, faire un enfant devient de plus en plus compliqué à cause de la pollution (stérilié..oui,oui)
Ensuite, faire un enfant bien formé devient aussi un problème.
Ensuite, si il y a naissance d'un beau bb, il faudra le protéger de plein de choses...
Jouets dangereux pour la santé
Nourriture dangereuse
Télévision dangereuse
Nouveaux gros problèmes psychologiques à l'école (racket, mode diverses, violences extrêmes, nourritures pas bonnes, stress divers)
Plus tard, il faut protéger ses gosses de la pollution et des dangers d'internet
Ensuite, viennent les problèmes de sociétés actuels tel que drogues et alcool et sorties en boite qui se terminent par un accident contre un arbre .
Ensuite, ta fille t'annonce qu'elle s'est fait coupé les seins pcq elle se sent homme et prends des hormones masculines.
Ensuite, si ta gosse passe toutes les étapes correctement, elle se marie, a des enfants, elle divorce et doit se battre pour avoir la garde de ses gosses (si ils n'ont pas été enlevés dans un autre pays...)
Et si malgré tout, ta gosse a passé toutes les étapes, tu découvres qu'un réacteur nucléaire a sauté à coté de chez elle..
Il y a de quoi faire un film à pleurer toutes les larmes de son corps, rien que sur ce sujet.
Hamed, il ne faut pas focaliser le titre de ce post à simple problème de perversité sexuelle vieux comme le monde.
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L'homme est par nature un animal politique (Aristote)
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La vie a toujours été, reste, et sera toujours un combat! Mais «demain» existe-t-il?
Aïe! Je vais devoir un peu généraliser. Hormis le fait que je prône depuis longtemps une réforme de la justice, afin qu'elle ouvre les yeux puisqu'on l'a dit «aveugle»... Dans le paradigme -occidental- actuel, au plan européen on entend parler de «pacte de stabilité» à l'échelle des nations, alors que justement rien n'est stable, le principe de l'endettement à 3% a depuis longtemps volé en éclat (par les états mêmes qui se prétendent aujourd'hui vertueux) et tout est incroyablement fragile et peut être remis en question à tout moment! (Que ce soit du plan de la cellule familiale jusqu'à l'échelle de l'entreprise, puis de la commune ou du pays tout entier). A voir à quel point – pour être juste sortis des "variables d'ajustement" leur permettant de rembourser leur dette – certains états se sont vite fait déstabiliser (je pense à l'Espagne plus qu'à la Grèce...), alors qu'on nous présentait encore il y a peu ce pays comme devenu une sorte d'Eldorado.
Partout, pour les particuliers ou les entreprises, la spirale de la dette est bien pire encore!
J'en conclu provisoirement, que l'avenir de l'homme (réduit à sa plus simple expression), dépasse l'échelle humaine totalement. Dès lors, comment pourrait-il se sentir bien et trouver de nouvelles perspectives, si son avenir lui échappe, si même sa descendance est hypothèquée.
Comme les incendies de forêt de jadis sur la moitié d'un pays, qui laissaient «place nette» à une nouvelle végétation, il fut un temps ou quelques guerres remettaient tout à plat puisque après les pleurs, il était possible de repartir sur d'autres bases (si tant est qu'elle soient meilleures... mais on a vu que ça ne durait pas trop non-plus.)
L'homme ne supportant plus les guerres bien longtemps, doit bien se résoudre à considérer un idéal possible et à sa portée, par exemple dans l'«ici et maintenant»! Car en recherchant le bonheur dans l'instant présent, ne redonne-t-il pas de la valeur au contact humain avec les autres et de facto à lui-même (même si il ne doit pas vivre qu'à courte vue, et il le sait...)? Et à titre exemplatif: tout en pratiquant le renoncement un peu à la manière des accords toltèques voire de la pratique du bouddhisme ou quelque chose? N'oublions pas que pour beaucoup d'africains «demain» n'existe pas.
Ahmed a écrit :Il est vrai que dans cet "autrefois" , à la fois vague et idéalisé, des règles différentes avaient cours...
Les idéaux de la société totalitaire marchande se sont peu à peu substitués aux idéaux antérieurs et le manque de finalité de notre société (autre qu'une réplication et amplification de son fonctionnement) ne doit pas masquer les profondes tares des sociétés antérieures ainsi que leurs dysfonctionnements.
Le manquement à des règles, aussi strictes soient-elles, ne datent pas d'hier, et l’hypocrisie en était le corollaire!
Pour être plus concret, derrière la "stabilité" familiale se cachait en réalité pas mal d’accommodements ou/et de résignation...
Quant à la pédophilie, elle a toujours existé, sauf que dans un passé assez lointain, elle était probablement mieux tolérée, tant qu'elle restait discrète...
Les atrocités ne sont définitivement pas une nouveauté...
Il est vrai que tous ces aspects ont pris une tournure nouvelle, du fait que le capitalisme devait éliminer les anciennes structures sociétales pour imposer ses normes propres, celles qui établissaient les rapports des hommes entre eux en fonction de la seule marchandise...
Il est assez évident que dans cette démarche, les "vices" se soient démocratisés et soient devenus plus visibles, car plus avouables.
Lorsque Sen-no-sen écrit:La raison principale à cette dégénérescence est la suivante: les objectifs de notre civilisation ont disparus, le seul projet actuel est celui de la croissance et du profit qui en découle.
Il énonce moins la cause que la conséquence: cette idéologie monstrueuse, si elle n'a pas réussi à convaincre véritablement, a du moins, complétement dévalorisé tout autre possible. C'est là son véritable succès (et son danger!), et même la gauche de la gauche (tout en contestant des modalités importantes!), est totalement acquise à ses catégories: le travail, la marchandise, la valeur: c'est ce qui réduit sa portée critique à peu de chose...
Aïe! Je vais devoir un peu généraliser. Hormis le fait que je prône depuis longtemps une réforme de la justice, afin qu'elle ouvre les yeux puisqu'on l'a dit «aveugle»... Dans le paradigme -occidental- actuel, au plan européen on entend parler de «pacte de stabilité» à l'échelle des nations, alors que justement rien n'est stable, le principe de l'endettement à 3% a depuis longtemps volé en éclat (par les états mêmes qui se prétendent aujourd'hui vertueux) et tout est incroyablement fragile et peut être remis en question à tout moment! (Que ce soit du plan de la cellule familiale jusqu'à l'échelle de l'entreprise, puis de la commune ou du pays tout entier). A voir à quel point – pour être juste sortis des "variables d'ajustement" leur permettant de rembourser leur dette – certains états se sont vite fait déstabiliser (je pense à l'Espagne plus qu'à la Grèce...), alors qu'on nous présentait encore il y a peu ce pays comme devenu une sorte d'Eldorado.
Partout, pour les particuliers ou les entreprises, la spirale de la dette est bien pire encore!
J'en conclu provisoirement, que l'avenir de l'homme (réduit à sa plus simple expression), dépasse l'échelle humaine totalement. Dès lors, comment pourrait-il se sentir bien et trouver de nouvelles perspectives, si son avenir lui échappe, si même sa descendance est hypothèquée.
Comme les incendies de forêt de jadis sur la moitié d'un pays, qui laissaient «place nette» à une nouvelle végétation, il fut un temps ou quelques guerres remettaient tout à plat puisque après les pleurs, il était possible de repartir sur d'autres bases (si tant est qu'elle soient meilleures... mais on a vu que ça ne durait pas trop non-plus.)
L'homme ne supportant plus les guerres bien longtemps, doit bien se résoudre à considérer un idéal possible et à sa portée, par exemple dans l'«ici et maintenant»! Car en recherchant le bonheur dans l'instant présent, ne redonne-t-il pas de la valeur au contact humain avec les autres et de facto à lui-même (même si il ne doit pas vivre qu'à courte vue, et il le sait...)? Et à titre exemplatif: tout en pratiquant le renoncement un peu à la manière des accords toltèques voire de la pratique du bouddhisme ou quelque chose? N'oublions pas que pour beaucoup d'africains «demain» n'existe pas.
Dernière édition par Obamot le 06/07/12, 09:26, édité 1 fois.
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J'ai encore rien lu du sujet mais il me semble qu'on est déjà dans un monde sans règle...mais seulement pour les puissants...qui soit outrepassent les lois sans être inquiété ou très peu (comme l'amende de l'Erika à Total qui représentait quelques h de bénéfice annuel) soit les modifient pour arriver à leurs fins (lobbyisme)
Nous, les "petits" par contre, on doit se soumettre à leurs règles...qu'on a d'ailleurs jamais décidé (ou très rarement lors de référendum)
Me goure je?
Nous, les "petits" par contre, on doit se soumettre à leurs règles...qu'on a d'ailleurs jamais décidé (ou très rarement lors de référendum)
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Faut faire comme Bill Gates, ou Ingvar Kamprad... Tu donnes tout à une fondation que tu contrôles d'une main de fer! Comme ça t'as plus rien à toi chez toi: t'es donc pas saissable, puisque plus rien ne t'appartient...
Et surtout, tu ne paies plus d'impôts
Pour la méthode: sur le plan éthique, et donc personnel, c'est une autre affaire...
Et surtout, tu ne paies plus d'impôts
TSR, le journal du 29 janvier 2011, 19h30 a écrit :[Texte de la vidéo, résumé]:
«L'affaire crée la stuppeur en Suède, Ingvar Kamprad (illustre habitant d'Épallinge dans le canton de Vaud-CH) et sans doute le plus célèbre des entrepreneurs de son pays, aurait soustrait des sommes colossales au fisc, via une fondation [basée] au Liechtenstein.
[piégé par la télévision suédoise, le journaliste déclare à Ingvar Kamprad:]
— «Vous avez dit qu'Ikéa était contrôllé par une fondation en Hollande, mais il y a pour 11 mios d'Euros au Liechtenstein»
[Ingvar Kamprad:]
— «Vous êtes stupides»...
Excedé, le fondateur d'Ikéa, a bien été obligé de reconnaître qu'il a bel et bien créé une fondation secrète, il y a une vingtaine d'années: Interogo, c'est son nom, est basée au Liechtenstein et depuis 20 ans, elle perçoit 3% sur chacune des ventes effectuées par les 280 magasins du groupe. Ingvar Kamprad, 11e fortune mondiale, aurait ainsi soustrait 11 milliards d'€uros aux impôts.
Pour la méthode: sur le plan éthique, et donc personnel, c'est une autre affaire...
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- sen-no-sen
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Ahmed a écrit :Il est vrai que dans cet "autrefois" , à la fois vague et idéalisé, des règles différentes avaient cours...
Les idéaux de la société totalitaire marchande se sont peu à peu substitués aux idéaux antérieurs et le manque de finalité de notre société (autre qu'une réplication et amplification de son fonctionnement) ne doit pas masquer les profondes tares des sociétés antérieures ainsi que leurs dysfonctionnements.
Exact, en effet il ne faut surtout pas idéalisé le passé :"C'était mieux avant"!
En réalité l'histoire nous démontre qu'a toutes les époques existaient des horreurs( l'histoire n'est qu'une compilation de guerres et d'exactions visant à assurer la dominance de certain groupes).
La nouveauté est qu'en des temps antérieurs l'impact humain sur son environnement était très relatif, le drame qui se jouait ne concernaient que ses derniers.
Désormais nous avons la capacité de détruire la biosphère, ce qui n'est guère rassurant.
Il est également à craindre dans un avenir plus ou moins proche, que le caractère -certes critiquable-mais naturel de l’espèce humaine puisse être modifié pour de quelconque raisons idéologique...ou économique!
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
- chatelot16
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je suis moi aussi athée , mais je reconnais que la religion est un bon moyen de maintenir l'ordre , d'imposer efficacement une morale indispensable au bon fonctionnement d'une société
j'ai l'impression qu'on a démoli la religion traditionnelle en france pour la remplacer par une morale laïque qui ne marche pas
la société actuelle fait des loi ... mais ne sait que punir ceux qui ne les apliquent pas ... c'est completement inneficace si on n'informe pas tout le monde efficacement
il y a même un probleme plus grave : la société fait des loi pour interdire ce qu'il ne faut pas ... mais ne fait rien pour dire ce qu'il faut faire ... demerdez vous pour trouver ce qui n'est pas interdit
la religion etait plus efficace pour mettre tout le monde sur des rails bien tracé ... on peu en critiquer certain excès ... mais le grand vide actuel me semble plus dangereux que la rigidité d'une autre epoque
d'ailleur la rigidité d'une religion manque tellement a certain que ça les fait aller se perdre dans des secte ou des mauvaise religion
j'ai l'impression qu'on a démoli la religion traditionnelle en france pour la remplacer par une morale laïque qui ne marche pas
la société actuelle fait des loi ... mais ne sait que punir ceux qui ne les apliquent pas ... c'est completement inneficace si on n'informe pas tout le monde efficacement
il y a même un probleme plus grave : la société fait des loi pour interdire ce qu'il ne faut pas ... mais ne fait rien pour dire ce qu'il faut faire ... demerdez vous pour trouver ce qui n'est pas interdit
la religion etait plus efficace pour mettre tout le monde sur des rails bien tracé ... on peu en critiquer certain excès ... mais le grand vide actuel me semble plus dangereux que la rigidité d'une autre epoque
d'ailleur la rigidité d'une religion manque tellement a certain que ça les fait aller se perdre dans des secte ou des mauvaise religion
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- Econologue expert
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C'est intéressant, parce que sans le savoir, on parle dans ce fil du:
«Besoin de contrainte».
Sans lequel beaucoup d'entre-nous auraient de la peine à s'assumer et à agir... (Hélas, nous en sommes tous là à des degrés divers... et on dirait bien que ce besoin touche de près ou de loin à tous nos autres besoins...!)
Que ce «besoin», soit d'origine endogène à la cellule familiale: tel que parental, transgénérationnel, et/ou forcément relationnel, etc Ou exogène: scolaire, légal, patronnal, militaire, sociétal voire environnemental, etc. Ou les deux: (inter)culturel et/ou (inter)religieux... Et probablement bien d'autres manifestation que j'ai oublié: cherchez bien... (wi, wi, dites pas non ! )
On peut observer les animaux, qui nous ramènent à notre propre image, notamment pour ce qui concerne les besoins liés au territoire, à la perpétuation de l'espèce, ou encore plus simplement à la contrainte de se nourrir... (Quelle que soit la nourriture fut-elle spirituelle... d'ailleurs)
Ce besoin est là, omniprésent et tient en partie à notre instinct grégaire et à notre «besoin de sécurité». C'est aussi un garde-fou, comme le relève indirectement chatelot16 (qui décidément, ne manque pas de nous souffler de bonnes idées...)
Une des voies pour améliorer les choses dans le bon sens, serait éventuellement de mieux comprendre à quoi correspond l'expression de ce besoin chez chacun, et par rapport auquel nous sommes tellement liés voire redevables(?) Mais je ne vois pas trop comment, car ça va chercher loin...
Par contre en faisant mieux «avec», en encadrant mieux «l'émancipation sociale des individus» (quand je dis "mieux" c'est un euphémisme...) je pense qu'il y aurait quelque chose à creuser.... Comme mieux aménager des espaces sociaux pour que soit permis le «besoin de recoinnaissance». Nous avons été beaucoup trop loin dans l'annihilation des individus pour en tirer la substantifique moelle et les jetter comme des torchons ensuite. Ceci devrait être pénalement répréhensible. Cela a déjà commencé avec la mise en examen de l'ex-patron de France Telecom pour harcèlement moral ...>
Ça oui, entièrement d'accord, puisque des frustrations par rapport à ces besoins non exprimés ou mal gérés, peuvent même s'avérer... mortelles (dans des cas innombrables... comme le "sress" => "suicide dû au stress" mais au minimum eu égard à nos besoins physiologiques...)
A ce titre, je ne serais pas pour une "moralisation incomprise", puisque cela ferait comme souvent dans les religions, de grosses confusion de genres...
A quelque part, le «besoin de contrainte» a quelque chose à voir avec l'autorité, avec le fameux:
— «Il est interdit d'interdire» de mai 68 !
C'était bien de le dire mais depuis, ça sent les oubliettes !
Avant de foutre tous les besoins de contrainte au feu, il faudrait peut-être penser à replacer l'homme au centre des préoccupations et de (re)donner à chacun sa valeur. Ça marche bien dans le bouddhisme qui additionne les «mérites» des individus (alors que chez nous on les mets en charpilles...)
Je me demandais en rédigeant ce post, si ça n'avait pas un lien aussi avec le «besoin de responsabilité» VS la responsabilisation?
Une sorte de graal pour découvrir l'humilité?
Je laisse la place aux suivants pour conclure sur de plus brillantes idées
«Besoin de contrainte».
Sans lequel beaucoup d'entre-nous auraient de la peine à s'assumer et à agir... (Hélas, nous en sommes tous là à des degrés divers... et on dirait bien que ce besoin touche de près ou de loin à tous nos autres besoins...!)
Que ce «besoin», soit d'origine endogène à la cellule familiale: tel que parental, transgénérationnel, et/ou forcément relationnel, etc Ou exogène: scolaire, légal, patronnal, militaire, sociétal voire environnemental, etc. Ou les deux: (inter)culturel et/ou (inter)religieux... Et probablement bien d'autres manifestation que j'ai oublié: cherchez bien... (wi, wi, dites pas non ! )
On peut observer les animaux, qui nous ramènent à notre propre image, notamment pour ce qui concerne les besoins liés au territoire, à la perpétuation de l'espèce, ou encore plus simplement à la contrainte de se nourrir... (Quelle que soit la nourriture fut-elle spirituelle... d'ailleurs)
Ce besoin est là, omniprésent et tient en partie à notre instinct grégaire et à notre «besoin de sécurité». C'est aussi un garde-fou, comme le relève indirectement chatelot16 (qui décidément, ne manque pas de nous souffler de bonnes idées...)
Une des voies pour améliorer les choses dans le bon sens, serait éventuellement de mieux comprendre à quoi correspond l'expression de ce besoin chez chacun, et par rapport auquel nous sommes tellement liés voire redevables(?) Mais je ne vois pas trop comment, car ça va chercher loin...
Par contre en faisant mieux «avec», en encadrant mieux «l'émancipation sociale des individus» (quand je dis "mieux" c'est un euphémisme...) je pense qu'il y aurait quelque chose à creuser.... Comme mieux aménager des espaces sociaux pour que soit permis le «besoin de recoinnaissance». Nous avons été beaucoup trop loin dans l'annihilation des individus pour en tirer la substantifique moelle et les jetter comme des torchons ensuite. Ceci devrait être pénalement répréhensible. Cela a déjà commencé avec la mise en examen de l'ex-patron de France Telecom pour harcèlement moral ...>
Ça oui, entièrement d'accord, puisque des frustrations par rapport à ces besoins non exprimés ou mal gérés, peuvent même s'avérer... mortelles (dans des cas innombrables... comme le "sress" => "suicide dû au stress" mais au minimum eu égard à nos besoins physiologiques...)
A ce titre, je ne serais pas pour une "moralisation incomprise", puisque cela ferait comme souvent dans les religions, de grosses confusion de genres...
A quelque part, le «besoin de contrainte» a quelque chose à voir avec l'autorité, avec le fameux:
— «Il est interdit d'interdire» de mai 68 !
C'était bien de le dire mais depuis, ça sent les oubliettes !
Avant de foutre tous les besoins de contrainte au feu, il faudrait peut-être penser à replacer l'homme au centre des préoccupations et de (re)donner à chacun sa valeur. Ça marche bien dans le bouddhisme qui additionne les «mérites» des individus (alors que chez nous on les mets en charpilles...)
Je me demandais en rédigeant ce post, si ça n'avait pas un lien aussi avec le «besoin de responsabilité» VS la responsabilisation?
Une sorte de graal pour découvrir l'humilité?
Je laisse la place aux suivants pour conclure sur de plus brillantes idées
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