Bonjour à tous,
L'expérimentateur "chevronné" qui avait le premier "réservé" l'AX n'a pas pu venir la chercher : après des semaines d'attente, il s'est finalement désisté.
Je me préparais à appeler le suivant sur la liste, mais voilà que dans la foulée, je suis tombé en panne d'embrayage avec ma première voiture (casse de butée) .
Et comme j'habite en campagne au milieu de nulle part je ne peux pas me passer de véhicule.
Du coup, j'ai du me résoudre à perdre une journée en train pour rejoindre la cour où je l'avais laissée - au grand soulagement des propriétaires, faire monter 4 pneus et la ramener à la maison.
J'étais sincère lorsque je voulais la donner, et je m'excuse platement auprès de ceux - nombreux - qui m'ont contacté en espérant avoir cette voiture. Plus tard peut-être...
*******************
Par contre pour l'expérimentation Gillier-Pantone, je ne peux plus "refiler la patate chaude" : se pose à nouveau le problème de fiabiliser le réglage du niveau d'eau dans le réacteur. C'est le talon d'Achille du GV.
Je rappelle que je dispose d'un réacteur vertical, descendant très bas sous le véhicule : il n'y a pas de place pour insérer un générateur de vapeur en contrebas du réacteur.
Aussi, après un rapide abandon du bulleur, mon idée a été de générer la vapeur directement dans la partie basse du réacteur.
Comme l'a constaté Camel1 dès ses premiers essais, le montage "classique" du GV avec la cuve à niveau constant est aléatoire, vu que la dépression fait constamment monter la colonne d'eau, pouvant conduire au "noyage" du réacteur. C'est la raison pour laquelle sur cette AX le réacteur n'est efficace que les premiers km... A haut régime elle s'est même mise à avaler de l'eau sous forme liquide !
Et malgré mes nombreux essais, je n'ai pas réussi à assurer l'équilibre des pressions entre réacteur et cuve. Mauvaises soudures, fuites, erreur totale de conception ?
La principale difficulté de ce montage était d'envoyer dans le réacteur un mélange d'air et de vapeur, comme étudié jusqu'ici.
Mais il se trouve qu'Alex56 a testé avec succès un GV où il a fermé complètement l'arrivée d'air. Et... ça marche aussi bien !
En d'autres termes, l'ébullition de l'eau produit suffisamment de volume de vapeur pour entourer le réacteur, et assurer un fonctionnement correct.
Au passage, ça montre aussi que le réacteur ne demande pas pour fonctionner, des composés complexes issus du mix air/eau. Pour le carburant, on le savait depuis Antoine Gillier...
Après quelques insomnies, je crois avoir trouvé une technique complémentaire à la cuve à niveau constant. C'est la même chose, mais à l'envers :
Un flotteur en laiton (le cuivre me semble lourd) monte avec le niveau de l'eau dans le réacteur. Il entraîne une une bille inox, qui porte sur un trou conique, lequel assure l'arrivée d'eau dans le réacteur.
A noter que le réglage de base du niveau est toujours assuré par la cuve extérieure à niveau constant.
La tige du réacteur, actuellement soutenue par le dessous, devra être maintenue par le dessus.
J'attends vos commentaires avec impatience...