C'est vrai que parler de dépression est un peu abusif.
Il y aurait une dépression si le réacteur était bouché à son entrée.
En mesurant la pression dans le réacteur elle devrait être négative (pression relative patmo=0bar)
Comme nous faisons une prise d'air à l'entrée du réacteur la dépression dans le réacteur est réduite.
Plus la prise d'air est importante moins la dépression est forte.
En fabricant un GV, qui alimente le réacteur et en installant un Té avec une prise d'air entre les deux, nous n'annulons pas la dépression dans le réacteur tout en évitant d'aspirer l'eau du GV.
C'est valable également pour le bulleur et sa prise d'air.
En ce qui me concerne je n'arrive pas à dissocier température haute dans le réacteur et aspiration -"dépression"- forte.
D'après ce que j'ai observé, le comportement du réacteur sans dépression est très différent.
Je dirais que le réacteur n'accroche pas.
Même si je n'ai pas encore vraiment compris ce que signifie "accrocher". A de multiples reprise j'ai réussi à "accrocher" le réacteur en terme de température mais pas forcement en terme de modification du comportement de l'auto.
Pour moi accrocher le réacteur n'est valable que si les deux phénomènes sont liés.
Un venturi idéal
Salut Pitmix
Un réacteur accroche quand il se met a chauffer avec un grand passage de fluide a l'interne..
Si c'etait un simple échangeur , plus on fait passer de fluide air et eau cela devrait perdre de la température en sortie,
Si on fait moins passer de fluide cela devrait etre plus chaud en sortie de réacteur.
C'est l'inversse que l'on constate..
un réacteur bien chaud si on reduit soit la depression soit la quantité air +eau a l'entrée du réacteur, sa sortie est plus froide.
(attention de mesurer la temperature du fluide en sortie du réacteur et non sur le conduit)
Si tu bouche completement le filtre a air et que tu laisse le moteur au ralenti ou legerment acceleré afin d'aspirer uniquement au travers le réacteur tu constate que la sortie réacteur monte en température , malgrés un échappement plutot tiede.
je fait ce test aprés avoir chauffer le moteur assez raide, afin de profiter de l'inertie thermique, Zac fait quelque chose de semblable pour dégourdir le réacteur .. (je dirait encore plus draconien plein gaz)
Si quelqu'un a une explication a cela : pourquoi lorsque on fait passer plus de fluide dans le réacteur cela sort plus chaud ?
La limite serait de tout faire passer ce que le moteur aval dans le réacteur et de pomper toute la température de l'échapement..
Si l'air humide qui entre dans le réacteur est saturé (trop d'eau) la sortie réacteur ne chauffe pas et le réacteur se noye..
il est preferable d'avoir un exces d'air, en cas de doute.
Un fois que l'on a trouver les (bonnes) proportion air/ eau
on ne touche plus a ces reglages , la facon de controler le réacteur c'est controler le fuide qui passe dans le réacteur en fonction de la puissance demandé au moteur ,ce que le venturi fait trés bien lorsque on a trouvé ses bonnes dimenssions,
André
Un réacteur accroche quand il se met a chauffer avec un grand passage de fluide a l'interne..
Si c'etait un simple échangeur , plus on fait passer de fluide air et eau cela devrait perdre de la température en sortie,
Si on fait moins passer de fluide cela devrait etre plus chaud en sortie de réacteur.
C'est l'inversse que l'on constate..
un réacteur bien chaud si on reduit soit la depression soit la quantité air +eau a l'entrée du réacteur, sa sortie est plus froide.
(attention de mesurer la temperature du fluide en sortie du réacteur et non sur le conduit)
Si tu bouche completement le filtre a air et que tu laisse le moteur au ralenti ou legerment acceleré afin d'aspirer uniquement au travers le réacteur tu constate que la sortie réacteur monte en température , malgrés un échappement plutot tiede.
je fait ce test aprés avoir chauffer le moteur assez raide, afin de profiter de l'inertie thermique, Zac fait quelque chose de semblable pour dégourdir le réacteur .. (je dirait encore plus draconien plein gaz)
Si quelqu'un a une explication a cela : pourquoi lorsque on fait passer plus de fluide dans le réacteur cela sort plus chaud ?
La limite serait de tout faire passer ce que le moteur aval dans le réacteur et de pomper toute la température de l'échapement..
Si l'air humide qui entre dans le réacteur est saturé (trop d'eau) la sortie réacteur ne chauffe pas et le réacteur se noye..
il est preferable d'avoir un exces d'air, en cas de doute.
Un fois que l'on a trouver les (bonnes) proportion air/ eau
on ne touche plus a ces reglages , la facon de controler le réacteur c'est controler le fuide qui passe dans le réacteur en fonction de la puissance demandé au moteur ,ce que le venturi fait trés bien lorsque on a trouvé ses bonnes dimenssions,
André
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Bon ok !!!
J'ai bien accorché le réacteur dès le début de mes experiences.
Il n'y a aucun doute, nous parlons bien de la même chose.
C'est vrai qu'une chose est vraiment étonnante c'est l'efficacité d'échange de chaleur.
La température de sortie réacteur est presque identique à celle de l'échappement.
Je n'ai jamais fait de comparatif entre les deux mais je suis sûr qu'il n'y a pas grande différence.
Sur la R5 avec une très forte depression (4mCLe) j'arrivais à obtenir 300°C en sortie réacteur.
J'ai bien accorché le réacteur dès le début de mes experiences.
Il n'y a aucun doute, nous parlons bien de la même chose.
C'est vrai qu'une chose est vraiment étonnante c'est l'efficacité d'échange de chaleur.
La température de sortie réacteur est presque identique à celle de l'échappement.
Je n'ai jamais fait de comparatif entre les deux mais je suis sûr qu'il n'y a pas grande différence.
Sur la R5 avec une très forte depression (4mCLe) j'arrivais à obtenir 300°C en sortie réacteur.
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André a écrit,
Si quelqu'un a une explication a cela : pourquoi lorsque on fait passer plus de fluide dans le réacteur cela sort plus chaud ?
l'explication c'est le transfert d'entropie; ce qui explique que la tige peut être plus chaude que les gaz, et qu'elle se refroidi de l'autre côté en absorbant la chaleur de l'échappement
http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Thomson
Quand la tige est chaude par les GE, et refroidie à l'entrée par le fluide, il se fait une différence de température sur la tige.
On a donc un échange thermique sur la tige par conduction avec les GE, ET un gradient de température à cause du fluide.
Ceci engendre une DDP dans la tige.
Si le fluide est alors suffisament conducteur ( ionisé), il court-circuite cette ddp, et un courant prend naissance dans la tige et se referme dans l'entrefer sur le fluide.
C'est à ce moment que le réacteur accroche;
Le courant dans la tige, engendre un transfert entropique ( dû au déplacement des électrons) à contre sens du flux thermique. Ce transfert enlève des calories à l'entrée de la tige qui se refroidie et pompe alors des calories aux GE, et se réchauffe de l'autre côté, ajoutant ses calories à celles des GE et devient donc plus chaude que les GE.
Mais attention: il y a une limite.
C'est le fluide qui évacue les calories à la sortie de la tige. Si cette sortie devient trop chaude, le fluide ne peut plus les évacuer. Alors le delta T° diminue et le courant ne circule plus. Le réacteur se désamorce.
Quand le courant circule, il se crée un champ magnétique autour de ce courant. Les ions sont alors déviés dans leur course linéaire et leur trajectoire est incurvée en spirales autour de la tige.
C'est ça qui accroche le réacteur. Mais tout cela se fait en même temps dès que le courant circule.
Les ions sont alors amplifiés; l'ionisation se réalisant essentiellement dans ce champ magnétique. Reste à trouver l'impact qu'ils ont sur le moteur.......
Et à démarrer ce foutu réacteur, ce que je n'arrive toujours pas à faire.
Jeannot
Si quelqu'un a une explication a cela : pourquoi lorsque on fait passer plus de fluide dans le réacteur cela sort plus chaud ?
l'explication c'est le transfert d'entropie; ce qui explique que la tige peut être plus chaude que les gaz, et qu'elle se refroidi de l'autre côté en absorbant la chaleur de l'échappement
http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Thomson
Quand la tige est chaude par les GE, et refroidie à l'entrée par le fluide, il se fait une différence de température sur la tige.
On a donc un échange thermique sur la tige par conduction avec les GE, ET un gradient de température à cause du fluide.
Ceci engendre une DDP dans la tige.
Si le fluide est alors suffisament conducteur ( ionisé), il court-circuite cette ddp, et un courant prend naissance dans la tige et se referme dans l'entrefer sur le fluide.
C'est à ce moment que le réacteur accroche;
Le courant dans la tige, engendre un transfert entropique ( dû au déplacement des électrons) à contre sens du flux thermique. Ce transfert enlève des calories à l'entrée de la tige qui se refroidie et pompe alors des calories aux GE, et se réchauffe de l'autre côté, ajoutant ses calories à celles des GE et devient donc plus chaude que les GE.
Mais attention: il y a une limite.
C'est le fluide qui évacue les calories à la sortie de la tige. Si cette sortie devient trop chaude, le fluide ne peut plus les évacuer. Alors le delta T° diminue et le courant ne circule plus. Le réacteur se désamorce.
Quand le courant circule, il se crée un champ magnétique autour de ce courant. Les ions sont alors déviés dans leur course linéaire et leur trajectoire est incurvée en spirales autour de la tige.
C'est ça qui accroche le réacteur. Mais tout cela se fait en même temps dès que le courant circule.
Les ions sont alors amplifiés; l'ionisation se réalisant essentiellement dans ce champ magnétique. Reste à trouver l'impact qu'ils ont sur le moteur.......
Et à démarrer ce foutu réacteur, ce que je n'arrive toujours pas à faire.
Jeannot
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Salut jeannot,
Si ta tige occupe le même volume dans le réacteur que sur ton schéma ça ne doit pas marcher.
Voir les explications d'André au sujet du rôle des chambres ménagées en amont et en aval de la tige (points 10 et 11)
Génial ce wiki. Plus besoin de parcourir 50 pages de sujet pour trouver "l'info qui tue"...
Je vois que tes théories se rapprochent des miennes : +1 en ce qui concerne la trajectoire spiralée des ions due à l'autoinduction.
Par contre je ne comprends pas comment la tige peut-être le siège d'une ddp sous le seul effet de la chaleur. Pour créer un thermocouple il faut deux métaux distincts.
Je penche plutôt pour l'apparition de courant de foucault dus à la variation du flux, au fil de l'ouverture/fermeture des soupapes.
Si ta tige occupe le même volume dans le réacteur que sur ton schéma ça ne doit pas marcher.
Voir les explications d'André au sujet du rôle des chambres ménagées en amont et en aval de la tige (points 10 et 11)
Génial ce wiki. Plus besoin de parcourir 50 pages de sujet pour trouver "l'info qui tue"...
Je vois que tes théories se rapprochent des miennes : +1 en ce qui concerne la trajectoire spiralée des ions due à l'autoinduction.
Par contre je ne comprends pas comment la tige peut-être le siège d'une ddp sous le seul effet de la chaleur. Pour créer un thermocouple il faut deux métaux distincts.
Je penche plutôt pour l'apparition de courant de foucault dus à la variation du flux, au fil de l'ouverture/fermeture des soupapes.
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crispus a écrit :Par contre je ne comprends pas comment la tige peut-être le siège d'une ddp sous le seul effet de la chaleur. Pour créer un thermocouple il faut deux métaux distincts.
https://www.econologie.com/ionisation-de ... -3324.html ou https://www.econologie.com/wiki-moteur-p ... ur_d%27eau
crispus a écrit :Je penche plutôt pour l'apparition de courant de foucault dus à la variation du flux, au fil de l'ouverture/fermeture des soupapes.
Sinon pour le wiki, ta participation est la bienvenue...
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Concernant l'ionisation, j'en suis convaincu, c'est d'ailleurs cette theorie de bob_isat qui m'a mis sur la piste du champ électromagnétique.
Mais l'explication de jeannot semble mélanger causes et effets :
jeannot a écrit :Quand la tige est chaude par les GE, et refroidie à l'entrée par le fluide, il se fait une différence de température sur la tige.
On a donc un échange thermique sur la tige par conduction avec les GE, ET un gradient de température à cause du fluide.
Ceci engendre une DDP dans la tige.
Je ne pense pas que la seule agitation thermique désordonnée puisse engendrer une ddp dans un métal homogène, à la différence d'un thermocouple.
Pour moi la tige est vraisemblablement le siège d'une (faible) tension, mais plus due à la circulation des ions autour de la tige. ils se comportent comme une bobine qui engendre un champ magnétique dans la tige.
Les fluctuations de ce champ (dues entre autres aux variations d'écoulement dans l'admission - d'où ma mention des soupapes), entraînent l'apparition de courants de Foucault dans la tige (un champ constant ne génère pas de courant).
On se retrouve alors pour la tige avec la combinaison courant (de Foucault) +gradient de température, propice à l'effet Thomson mentionné par jeannot.
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une explication de l'effet Thompson :
https://www.econologie.com/forums/post813.html#813
s'il s'agit vraiment de "plusieurs mille ampères" il se pourrait bien que çà produise un certain champ magnétique
est-ce que ce courant éventuellement produit et circulant en interne de la tige, qui doit forcément aller et revenir (au centre et à la périphérie) ne s'annule-t-il pas lui-même (pour l'effet magnétique)
boulon
https://www.econologie.com/forums/post813.html#813
Une extrémité d'une tige de cuivre est chauffée et l'autre est refroidie. Si le côté chaud est chauffé assez haut, il augmentera thermiquement l'énergie cinétique des électrons externes d'orbite à un point où leur énergie cinétique (1/2 mv2) sera plus grande que la fonction de travail et leur permettra de décharger dans l'espace. En raison de la conductivité de cuivre les électrons, au lieu d'absorber dans l'air, décaleront dans la quantité énorme vers refroidit le côté dans les lignes droites, après la vitesse de propagation de la chaleur. Par la réaction, les électrons passionnants pour le côté frais voyageront dans la direction opposée à la vitesse d'une particule (1/2 mv2) vers le côté chaud encerclant la tige de cuivre par phénomène gyroscopique et après la règle de Fleming. Le produit est tension très basse (peu de millivolts) comme résultante des électrons voyageant dans un mouvement circulaire. Mais, comme dans n'importe quel circuit électrique, l'EMF dans la tige de cuivre est régi par la loi d'Ohm's (E/R = I) et sera dans la gamme de plusieurs mille ampères.
s'il s'agit vraiment de "plusieurs mille ampères" il se pourrait bien que çà produise un certain champ magnétique
est-ce que ce courant éventuellement produit et circulant en interne de la tige, qui doit forcément aller et revenir (au centre et à la périphérie) ne s'annule-t-il pas lui-même (pour l'effet magnétique)
boulon
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Andre a écrit :Un réacteur accroche quand il se met a chauffer avec un grand passage de fluide a l'interne..
Si c'etait un simple échangeur , plus on fait passer de fluide air et eau cela devrait perdre de la température en sortie,
Si on fait moins passer de fluide cela devrait etre plus chaud en sortie de réacteur.
C'est l'inversse que l'on constate..
un réacteur bien chaud si on reduit soit la depression soit la quantité air +eau a l'entrée du réacteur, sa sortie est plus froide.
Si tu bouche completement le filtre a air et que tu laisse le moteur au ralenti ou legerment acceleré afin d'aspirer uniquement au travers le réacteur tu constate que la sortie réacteur monte en température , malgrés un échappement plutot tiede.
Si quelqu'un a une explication a cela : pourquoi lorsque on fait passer plus de fluide dans le réacteur cela sort plus chaud ?
bonjour André
j'ai tenté une explication résultant uniquement de la "mécanique des fluides" ici :
https://www.econologie.com/forums/post36980.html#36980
mais il se peut qu'il se passe autre chose causant les même effets lors de "l'accrochage" du réacteur
boulon
0 x
Salut Crispus
merci pour le schéma de André; je vais faire des modif pour tenir compte des antichambre qu'il préconise.
Pour la ddp, elle n'est pas engendrée par l'entropie mais par le dT°c. Ensuite quand l'ionisation autour de la tige est correcte elle engendre l'entropie qui refroidie la tige à l'entrée et absorbe les calories des GE
Si on reprend la formule de l'effet Thomson, on trouve
dQ / dx = I . dT . r / dx
En considérant une voiture moyenne qui roule à 100 dont le moteur développe 30 kw et absorbe environ 100 kw
dont on en retrouve 40 dans les GE.
En me basant sur vos mesures, qui disent : quand le réacteur accroche, la température diminue de moitié ( dixit André )
ce qui signifie que le réacteur pompe environ 20 kw, dont une bonne partie par entropie ( mettons 18 kw)
en prenant pour "r" 8.4 ( donné dans un tableau ) et dT° = 200 °
on aurait pour I = 18.000 / 200 . 8.4 soit environ 10A
Cà me parait pas impossible; ces 10 A doivent également passer dans l'entrefert, dans un conducteur de section équivalente de 50 mm2 ( pour tige de 14 et tube de 16) . D'autant que ce conducteur apporte sa propre charge électrique..
Le réacteur se comporte alors comme une roue à cage d'écureuil, avec la tige comme axe. A l'extérieur de la tige, dans l'entrefert comme des dizaines de barres de courant , // à la tige. Autour de ces barres les champs magnétiques forment des cercles qui s'additionnent et ne font qu'un champ autour de la tige, qui tourne d'ailleur dans le même sens que celui qui se forme dans la tige dû au courant dans la tige.
T'en pense quoi !!!!! ( un dessin serait mieux, mais je sais pas faire.. )
@ ++
Jeannot
merci pour le schéma de André; je vais faire des modif pour tenir compte des antichambre qu'il préconise.
Pour la ddp, elle n'est pas engendrée par l'entropie mais par le dT°c. Ensuite quand l'ionisation autour de la tige est correcte elle engendre l'entropie qui refroidie la tige à l'entrée et absorbe les calories des GE
Si on reprend la formule de l'effet Thomson, on trouve
dQ / dx = I . dT . r / dx
En considérant une voiture moyenne qui roule à 100 dont le moteur développe 30 kw et absorbe environ 100 kw
dont on en retrouve 40 dans les GE.
En me basant sur vos mesures, qui disent : quand le réacteur accroche, la température diminue de moitié ( dixit André )
ce qui signifie que le réacteur pompe environ 20 kw, dont une bonne partie par entropie ( mettons 18 kw)
en prenant pour "r" 8.4 ( donné dans un tableau ) et dT° = 200 °
on aurait pour I = 18.000 / 200 . 8.4 soit environ 10A
Cà me parait pas impossible; ces 10 A doivent également passer dans l'entrefert, dans un conducteur de section équivalente de 50 mm2 ( pour tige de 14 et tube de 16) . D'autant que ce conducteur apporte sa propre charge électrique..
Le réacteur se comporte alors comme une roue à cage d'écureuil, avec la tige comme axe. A l'extérieur de la tige, dans l'entrefert comme des dizaines de barres de courant , // à la tige. Autour de ces barres les champs magnétiques forment des cercles qui s'additionnent et ne font qu'un champ autour de la tige, qui tourne d'ailleur dans le même sens que celui qui se forme dans la tige dû au courant dans la tige.
T'en pense quoi !!!!! ( un dessin serait mieux, mais je sais pas faire.. )
@ ++
Jeannot
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