Il apparaît donc judicieux, faute de pouvoir agir sur beaucoup de facteurs accidentogènes sur le réseau secondaire (notamment ceux qui sont par nature imprévisibles) de réduire sensiblement la vitesse.
Remarque: juste avant le passage sur les autoroutes, ce "spécialiste" affirme deux choses:
1- les accidents résultent généralement de plusieurs facteurs difficilement dissociables, mais pour évaluer le rôle de la vitesse "il est nécessaire" de les distinguer!

2- la vitesse moyenne aurait progressivement augmenté sans progression proportionnelle des accidents.Cette réflexion est surprenante puisque la vitesse n'était pas limitée (sauf circonstanciellement) il y a quelques décennies, ce qui n'est plus le cas de nos jours... Peut-être, puisqu'il est porté sur les chiffres et moins sur ce qu'ils recouvrent, fait-il un amalgame entre réseau secondaire et autoroutier?