par Andre » 16/04/08, 07:04
Bonjour
Pour la petite aviation peu de petits moteurs ont été développé et bien réussit (dans la gamme de 60hp a 180Hp) je ne parlerais pas de la fiabilité ,mais de l’adaptation avion/ moteur/ hélice ..
Parmi les plus réussit le Continental 90hp le lycoming 180hp
Les mal adaptés et les plus répandu le continental 100hp , le 85 hp , le Franklin 125hp
Le plus mauvais attelage hélice moteur c’est sur le Cessna 150 et c’est l’avion le plus vendu …
Un moteur d’avion doit avoir un couple élevé il a une conception différente d’une automobile ,
Il doit tourner a 2800rpm maximum , atteindre son couple maximum vers 2300rpm , avoir 75% de sa puissance a 2400 rpm etre capable de fournire 80 % de sa puissance en continue , et si monté sur une hélice a pas fixe pouvoir aller chercher 100% de sa puissance nominal en palier.
Etre simple , leger , robuste , est fiable ,
Cela convient a des moteurs de (grosse) cylindré avec un arbre a cam qui a une épure pour le couple et la puissance a basse vitesse (tout l’oppossé du moteur pointu d’automobile)
Etrangement on remarque que c’est des caracteristiques du moteur diesel
L’inconvénéant dans le diesel auto il est lourd , vibreu au ralentie, a besoin d’un volant assez consistant , il vas chercher son maximum de puissance a des regimes de 4000 rpm ,qui oblige le constructeur a poser un réducteur , qui a l’inconvénéant de limiter le choix dans le hélices .
Les hélices métalliques avec un réducteur a engrenage pose probléme sur les engrenages
Les reducteurs a courroie demande un remplacement de courroie au 500heures
Un réducteur c’est aussi des pertes mécaniques , le poids gagner sur le moteur est perdu dans le réducteur ..
Autre probléme sur les moteurs autos c’est toute la servitude éléctronique qui ne peut etre doublé pour la fiabilité , et qui a moins son utilité sur des moteurs a régime constant.
En aviation la fiabilité, passe avant le rendement et l’économie ..
Si les constructeurs automobile avaient dessiné un moteur diesel injection indirect mécanique , qui a un cylindré assez importante sa pleine puissance a 3000 rpm
Son couple maximum a 2000 rpm un poids interessant, cela ferait le candidat idéal pour un avion.
Contrairement a ce que bien des gens pensent au sujet des hélices , une hélice a pas variable , a un vrillage parfait seulement a une certaine position , lorsque la pale tourne sur le moyeu le vrillage théorique varie plus rapidement en bout de pale qu’au moyeu
Elle devient défavorable au grand pas.
Un hélice a pas variable n’a d’utilité que pour un avion rapide , poser une hélice a pas variable sur un Piper J3 ou un ULM qui a une vitesse de 120 kmh en monté et une vitesse de 160kmh en croisere est ridicule , une hélice a pas fixe bien proportionner est aussi performante.
Un bonne hélice a un faible glissement en croisiere autour de 10%
Elle doit etre de diametre suffisament grand avoir une vitesse en bout de pale autour de 750kmh (celle qui tourne les plus vite sur les Cessna 180 atteigne 1050 kmh en bout de pale au décollage ) en croisiere autour de 800kmh .
La tendance est de poser des hélices de petits diametre , pour palier au manque de couple des moteurs, cela fait un glissement important au décollage et en monté . ( cas du Cessna 150)
Il y a plusieurs école de pensé suivant les pays
En Russie c’est des grandes hélices, largue pale , a bout carré
En Amerique c’est des grandes hélice minimum 1,80m a 2,15m avec des pales a bout moyen, carré ou arrondi. En duralumin et en composite
En France c’est des petite hélices , avec des bouts étroits , en pointe ou legerment arrondi géneralement en bois ou composite .
Les meilleures hélices ont été dessiné par Lucien Chauvier dans les début de l’aviations presque tous les héliciers on pris model de ses dessins ..
Parfois je me demande pourquoi ce savoir faire c’est perdu ..
André
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