Fonctionnement du moteur rotatif russe Ë-Auto ë-mobile
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- Grand Econologue
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Pour ce qui est de l'usinage de la tore, elle ne me semble pas nécessiter un assemblage en 2 parties: un alésage dans un carter moulé monobloc me semble possible par l'intérieur (côté liaison des pistons vers flasque central)...sur un centre d'usinage on doit pouvoir faire ça de façon assez classique (passe de finition avec outil diamant) avec une précision comparable avec celle des pièces d'un moteur à pistons ordinaire , moyennant une bonne régulation des t° lors de l'usinage et une étude sérieuse des contraintes de déformations de serrage .
Les variations de forme sont le principal problème (flexion des ouitils+ déformations de serrage), celles de dimensions peuvent être facilement maîtrisées avec un système de "classes" , ce qui est aussi le cas sur certaines pièces de moteur standard. (fut un temps c'était même généralisé)...
Les variations de forme sont le principal problème (flexion des ouitils+ déformations de serrage), celles de dimensions peuvent être facilement maîtrisées avec un système de "classes" , ce qui est aussi le cas sur certaines pièces de moteur standard. (fut un temps c'était même généralisé)...
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- Remundo
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Bonjour à tous,
J'ai trouvé un instant pour intervenir sur ce sujet...
Le moteur proposé n'est absolument pas nouveau sur le plan conceptuel : il s'inscrit dans la famille des moteurs toriques, ou toroïdaux à pistons rotatifs coaxiaux.
Dans cette famille, il y a les pistons coaxiaux en mouvement alternatif, et ceux qui sont continuellement en rotation en un mouvement d'éloignement/rapprochement de type chat/souris.
Parmi les moteurs connus et presque jumeaux du moteur russe,, il y a le MYT développé par Angellabs USA,
Avec des choix techniques différents sur le mécanisme chat/souris, il y a également le moteur Tornade d'Edouard Bonnefous (France).
Rotoblock avait en son temps récupéré le concept toroïdal, modifié la synchonisation des pistons devenus alternatifs, c'est le bloc moteur qui tournait.
Comme l'a indiqué Citro, les origines des moteurs toroïdaux sont encore plus anciennes...
Pour revenir sur le fond: je ne comprends pas pourquoi ce constructeur russe prend autant de risque sur son moteur alors qu'il dit vouloir commercialiser à court-terme sa voiture hybride série.
Soit il dispose d'innovations tranchées sur la maîtrise de la segmentation et des usinages de son moteur, soit il cherche à se faire de la pub et le produit n'aboutira pas industriellement à court-terme.
S'il envisageait sérieusement de fabriquer sa voiture dans les délais qu'il laisse entendre, avec fiabilité, il devrait récupérer un bon vieux Briggs et Straton 4 temps...
J'ai trouvé un instant pour intervenir sur ce sujet...
Le moteur proposé n'est absolument pas nouveau sur le plan conceptuel : il s'inscrit dans la famille des moteurs toriques, ou toroïdaux à pistons rotatifs coaxiaux.
Dans cette famille, il y a les pistons coaxiaux en mouvement alternatif, et ceux qui sont continuellement en rotation en un mouvement d'éloignement/rapprochement de type chat/souris.
Parmi les moteurs connus et presque jumeaux du moteur russe,, il y a le MYT développé par Angellabs USA,
Avec des choix techniques différents sur le mécanisme chat/souris, il y a également le moteur Tornade d'Edouard Bonnefous (France).
Rotoblock avait en son temps récupéré le concept toroïdal, modifié la synchonisation des pistons devenus alternatifs, c'est le bloc moteur qui tournait.
Comme l'a indiqué Citro, les origines des moteurs toroïdaux sont encore plus anciennes...
Pour revenir sur le fond: je ne comprends pas pourquoi ce constructeur russe prend autant de risque sur son moteur alors qu'il dit vouloir commercialiser à court-terme sa voiture hybride série.
Soit il dispose d'innovations tranchées sur la maîtrise de la segmentation et des usinages de son moteur, soit il cherche à se faire de la pub et le produit n'aboutira pas industriellement à court-terme.
S'il envisageait sérieusement de fabriquer sa voiture dans les délais qu'il laisse entendre, avec fiabilité, il devrait récupérer un bon vieux Briggs et Straton 4 temps...
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le temps du retrait est venu
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moteur toroidal
Vu le peu d'espace laissé libre, un outil ne passerait pas et le moulage serait trop complexe. Le MYT et le russe sont en deux demi coquille. De toute façon cela ne reglerait pas les problèmes de fuites qui sont l'ennemi numéro un des moteurs à fort taux de compression. Le moteur classique à piston n'a de fuites qu'au niveau des segments et ensuite par l'usure et l'ovalisation des cylindres (réduits par les systèmes MCE5).
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Re: moteur toroidal
janic a écrit :Vu le peu d'espace laissé libre, un outil ne passerait pas et le moulage serait trop complexe. Le MYT et le russe sont en deux demi coquille. De toute façon cela ne reglerait pas les problèmes de fuites qui sont l'ennemi numéro un des moteurs à fort taux de compression. Le moteur classique à piston n'a de fuites qu'au niveau des segments et ensuite par l'usure et l'ovalisation des cylindres (réduits par les systèmes MCE5).
Pour en avoir le coeur net il faudrait avoir le plan du carter, mais à vue de nez il y a largement la place pour le passage d'un outil d'alésage de forte section: une machine numérique peut introduire l'outil par mouvements complexes, pas besoin de rentrer droit comme avec une machine classique...
En effet le MCE5 a des translations de piston linéaires comme sur un moteur de navire...
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Un outil rotatif peu façilement aléser et ce avec précision pendant que le demi tore tourne sur son centre!
Donc pas vraiment un problème pour l'usinage de précision!
La méconaissance des techniques d'usinage fait paraitre ceci compliqué!
Donc pas vraiment un problème pour l'usinage de précision!
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Faire un pas derrière parfois peut permettre de renforcer l'amitié.
La critique est une bonne chose si ajouté a quelque compliments.
Alain
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moteur toroidal
En supposant cette exécution possible, on fait rentrer les pistons comment dans ce toron?
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- Grand Econologue
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Re: moteur toroidal
janic a écrit :En supposant cette exécution possible, on fait rentrer les pistons comment dans ce toron?
Pour être plus précis; l'outil rotatif à le bon diamètre du piston et son jeu et naturellement je parlais de demi tore donc pas de problème pour y inséré les pistons!
Il existe quand même un doute sur le joint entre ces 2 demi tores et surtout la base ou est pris le piston!
On auras surement plus de détail dans l'avenir si les russes tiennent leur promesse!
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Re: moteur toroidal
Alain G a écrit :Il existe quand même un doute sur le joint entre ces 2 demi tores et surtout la base ou est pris le piston!
comme je l'ai déjà dit dans mon message précédent, si ça a fonctionné sans joint entre les culasses et cylindres de 2cv,sans problème durant 40ans, il est certainement également possible de faire pareil sur ce moteur ci avec des plans de joint rectifiés...la base ou passe la transmission du mouvement , ça c'est autre chose, mais la forme est simple, bien plus simple à résoudre, je pense, que sur un Wankel...
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Re: moteur toroidal
oiseautempete a écrit :Alain G a écrit :Il existe quand même un doute sur le joint entre ces 2 demi tores et surtout la base ou est pris le piston!
comme je l'ai déjà dit dans mon message précédent, si ça a fonctionné sans joint entre les culasses et cylindres de 2cv,sans problème durant 40ans, il est certainement également possible de faire pareil sur ce moteur ci avec des plans de joint rectifiés...la base ou passe la transmission du mouvement , ça c'est autre chose, mais la forme est simple, bien plus simple à résoudre, je pense, que sur un Wankel...
Oui mais un moteur de 2 CV tient il sur 300 000 kms sans être reconstruit?
PS: je ne suis tellement habitué à cette voiture même si je la connait assez bien!
Daccord avec toi que le défi d'étanchéité est plus simple que sur le Wankel!
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