Michel Kieffer a écrit :Vide, problèmes à résoudre et risques associés…
- Comment réaliser le guidage du « module habité » dans le tube sous vide ?
Profusion de solutions à étudier : rails métallique, pour appui ou suspension me parait le plus robuste, avec éventuellement des additions magnétiques pour la grande vitesse ? mais ce ne sont pas les roues métalliques qui limitent les TGV en vitesse.
En tout cas, je verrais bien la propulsion sur les rails, avec juste une solution de secours en embarqué.
Michel Kieffer a écrit :- Comment évacuer la chaleur générée par le « module habité » (frottements, occupants, appareils…) dans du vide (pas d’échanges thermiques possibles) ?
Si la propulsion est sur les rails, pas de souci pour les frottements.
Pour le conditionnement humain, c'est toujours le plus difficile. Mais comme il faut une réserve d'air, on peut stocker de l'air froid, ou tout simplement de la glace. Il n'y a que 100W par passager à éliminer, puisqu'il ne pédale pas.
Remarque, un vélo sous vide, cela pourrait aller très vite sans les frottements ;-)
Michel Kieffer a écrit :- Le « module habité » peut-il protéger les occupants en cas d’implosion du tube sous vide (accident, attentat…) ;
Des capsules en résine/matériaux synthétiques peuvent être très solide, et la position couchée est très favorable pour encaisser les accélérations. Avec des injections de gaz à l'avant et à l'arrière, on peut freiner très vite, en utilisant la réserve d'air ou un dispositif de type airbag.
L'irruption d'air dans le tube freinera naturellement et très vite tous les véhicules.
Michel Kieffer a écrit :- Comment se prémunir du risque mortel* en cas de décompression accidentelle du module habité ?
* Le sang des occupants bout instantanément en cas de décompression explosive du module ;
Airbag avant et arrière pour boucher le tube, avec injection d'air comprimé ? Ou ouverture d'urgence du tube plastique par perforation ?
On a la technologie pour faire beaucoup de choses...