La voiture du futur
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Re: La voiture du futur
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Re: La voiture du futur
Christophe a écrit :https://www.youtube.com/watch?v=2a8LaKerjWI
2:40 : "... les énormes bénéfices santé du vélo..." Ouais, mais dans un monde débarrassé des voitures thermiques. J'ai écrit ici il y a 12 ans que j'ai abandonné le vélo à cause de la pollution des Diesel en ville.
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Re: La voiture du futur
Sept nouvelles stations hydrogène vont ouvrir d'ici la mi-2021 en Californie grâce à la collaboration entre la compagnie gazière japonaise Iwatani et Toyota, le constructeur de la Mirai : https://www.h2-view.com/story/iwatani-t ... alifornia/
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Re: La voiture du futur
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Re: La voiture du futur
Midipile : une voiture à pédales 25 fois moins polluante qu'un modèle électrique
Conçue en économie circulaire et recyclable à 99%, la Midipile vient d'Angoulême, et elle ne compte pas en rester là.
(...) grâce à son concept de véhicule hybride, trait d’union entre le vélo électrique et la petite citadine, portant la grande ambition de vouloir renouveler le plus vertueusement possible nos modes de déplacement urbain.
Chercher Midipile à 14H00. L’idée est née durant le premier confinement dans l’esprit de Bruno Trouvé, ingénieur automobile. Porté par l’envie « d’imaginer le monde d’après sans carbone », l’homme invente un vélomobile (vélo couché caréné) possédant les usages d’une petite voiture urbaine. Ainsi, dans la voiture Midipile, on trouve un pédalier ainsi qu’un système d’électro-générateurs qui envoie l’énergie vers les batteries sur lesquelles s’appuie le moteur.
Un moteur, d’ailleurs réversible, capable de récupérer l’énergie cinétique pour recharger les batteries. Le toit de la Midipile est couvert de panneaux photovoltaïques permettant également de la recharger quand elle est garée et lui apportant jusqu’à 40 kilomètres d’autonomie quotidienne en plus. En chiffres, le véhicule devrait peser 100 kilos et promet d’atteindre les 45 km/h en moins de trois secondes et peut tenir 170 kilomètres entre chaque charge.
Verte et vertueuse. La Midipile est également un modèle de vertu en terme de conception, étant constituée de matières telles que le thermoplastique ou encore la fibre de lin, toutes récupérables. Conçue en économie circulaire et recyclable à 99%, la Midipile promet de diviser par 25 les émissions de carbone d’une citadine électrique. Le premier prototype sera testé sur route dès la fin de l’année puis ensuite rapidement développé au sein d’une formule de location sur abonnement dans un premier temps.
https://midipile.eu
Conçue en économie circulaire et recyclable à 99%, la Midipile vient d'Angoulême, et elle ne compte pas en rester là.
(...) grâce à son concept de véhicule hybride, trait d’union entre le vélo électrique et la petite citadine, portant la grande ambition de vouloir renouveler le plus vertueusement possible nos modes de déplacement urbain.
Chercher Midipile à 14H00. L’idée est née durant le premier confinement dans l’esprit de Bruno Trouvé, ingénieur automobile. Porté par l’envie « d’imaginer le monde d’après sans carbone », l’homme invente un vélomobile (vélo couché caréné) possédant les usages d’une petite voiture urbaine. Ainsi, dans la voiture Midipile, on trouve un pédalier ainsi qu’un système d’électro-générateurs qui envoie l’énergie vers les batteries sur lesquelles s’appuie le moteur.
Un moteur, d’ailleurs réversible, capable de récupérer l’énergie cinétique pour recharger les batteries. Le toit de la Midipile est couvert de panneaux photovoltaïques permettant également de la recharger quand elle est garée et lui apportant jusqu’à 40 kilomètres d’autonomie quotidienne en plus. En chiffres, le véhicule devrait peser 100 kilos et promet d’atteindre les 45 km/h en moins de trois secondes et peut tenir 170 kilomètres entre chaque charge.
Verte et vertueuse. La Midipile est également un modèle de vertu en terme de conception, étant constituée de matières telles que le thermoplastique ou encore la fibre de lin, toutes récupérables. Conçue en économie circulaire et recyclable à 99%, la Midipile promet de diviser par 25 les émissions de carbone d’une citadine électrique. Le premier prototype sera testé sur route dès la fin de l’année puis ensuite rapidement développé au sein d’une formule de location sur abonnement dans un premier temps.
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Re: La voiture du futur
Je ne vois pas trop l'utilité des PVs latéraux. Risque de coups de portière.
Un véhicule 4 roues sur piste cyclable ?
Le rendement pédalier > énergie mécanique > générateur > batterie > moteurs > énergie mécanique a des chances d'être plus faible que le système éprouvé des VAE et plus cher de surcroit.
Ils ont intérêt à bien étudier le proto, sinon ça restera dans les cartons
Un véhicule 4 roues sur piste cyclable ?
Le rendement pédalier > énergie mécanique > générateur > batterie > moteurs > énergie mécanique a des chances d'être plus faible que le système éprouvé des VAE et plus cher de surcroit.
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Re: La voiture du futur
T’as vraiment rien compris de l’intérêt du concept.
Quelle étroitesse d’esprit bon sang !
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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Re: La voiture du futur
Le VAE était une bonne idée, ici on inverse le concept et c'est la force musculaire qui vient alimenter le bazar. Bien sûr, en côte, le moteur aide le pilote, mais sur le plat ce dernier se retrouve en côte perpétuelle! Il y a bien un effet positif de régulation de l'effort, mais également une augmentation assez générale de celui-ci et les pertes de rendement ne disparaissent pas par la magie d'un esprit, aussi large soit-il!
Pour résumer, la force musculaire est trop faible pour servir de base à un système propulsif ambitieux.
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Re: La voiture du futur
Je ne pense pas, parce que si on parle d’hybridation, rien n’empêcherait de pousser le concept plus loin et d’imaginer qu’une traction directe par le pédalier sur les roues soit maintenue, avec assistance électrique telle qu’avec un VAE...
Il y aurait donc 2 modes pour tirer bénéfice des deux concepts, l’un identique à celui d’un VAE, et un autre tirant profit d’un mode de recharge via rendement pédalier > énergie mécanique > générateur > batterie > moteurs > et restitution en énergie mécanique, qui serait ainsi enclenchable/déclenchable “à la demande”, selon la situation du terrain.
Puisqu’à ce que l’on comprend pour l’autonomie, ce sont principalement les panneaux solaire qui accumulent du courant pour recharger les batteries, et principalement aussi pour rendre la conduite plus confortable en cas de dénivelé. Les apports musculaires pour recharger la batterie devenant secondaires, de sorte que le “cyclotomobiliste” ne gèrerait la recharge via le pédalier qu’en fonction de sa “forme”, et non plus “sous contrainte en permanence” comme sur un vélo conventionnel, ce qui ferait une grosse différence! Et puisqu’il faut bien apporter une solution technique au problème pratique, on pourrait alors imagine un système avec un dérailleur qui passerait en mode recharge lorsque c’est souhaitable VS traction directe lorsque c’est requis, voire (mais c’est plus ambitieux) l’ajout d’un volant inertiel lourd (qui contiendrait éventuellement la batterie en son seing) et qui servirait d’intermédiaire entre traction musculaire/électrique VS recharge, et permettrait de plus d’amortir et réguler les fortes demandes ponctuelles nécessitées par la réalité de la déclivité du terrain.
Voilà ce que j’appellerais une hybridation intelligente. Et ce ne serait pas les solutions techniques qui manqueraient pour y parvenir. Je trouve par exemple superflu de pouvoir démarrer à 45km/h en 3 sec. le démarrage serait plus judicieux en pédalant car ça grève l’autonomie...
Je maintiens donc qu’il vaudrait bien “garder l’esprit ouvert” lorsque l’on a ce type de projets en tête et que l’on recherche des solutions techniques aux problèmes pratiques posés (plutôt que de condamner le concept prématurément). Ce type de véhicules ne manquent pas d’un fort potentiel de “marges de progrès” diverses, à n’en pas douter... On peut très bien imaginer encore, que le pac de batterie soit (complètement ou partiellement) amovible, et/ou que l’on puisse aussi le recharger via un câble connecté ã des panneaux solaires situés sur le toit de sa maison (notamment en hiver lorsque la recharge par les seuls panneaux sur le véhicule serait moins performante...). Il y a plein de choses qui mériteraient encore d’être conceptualisées/optimisées.
Il y aurait donc 2 modes pour tirer bénéfice des deux concepts, l’un identique à celui d’un VAE, et un autre tirant profit d’un mode de recharge via rendement pédalier > énergie mécanique > générateur > batterie > moteurs > et restitution en énergie mécanique, qui serait ainsi enclenchable/déclenchable “à la demande”, selon la situation du terrain.
Puisqu’à ce que l’on comprend pour l’autonomie, ce sont principalement les panneaux solaire qui accumulent du courant pour recharger les batteries, et principalement aussi pour rendre la conduite plus confortable en cas de dénivelé. Les apports musculaires pour recharger la batterie devenant secondaires, de sorte que le “cyclotomobiliste” ne gèrerait la recharge via le pédalier qu’en fonction de sa “forme”, et non plus “sous contrainte en permanence” comme sur un vélo conventionnel, ce qui ferait une grosse différence! Et puisqu’il faut bien apporter une solution technique au problème pratique, on pourrait alors imagine un système avec un dérailleur qui passerait en mode recharge lorsque c’est souhaitable VS traction directe lorsque c’est requis, voire (mais c’est plus ambitieux) l’ajout d’un volant inertiel lourd (qui contiendrait éventuellement la batterie en son seing) et qui servirait d’intermédiaire entre traction musculaire/électrique VS recharge, et permettrait de plus d’amortir et réguler les fortes demandes ponctuelles nécessitées par la réalité de la déclivité du terrain.
Voilà ce que j’appellerais une hybridation intelligente. Et ce ne serait pas les solutions techniques qui manqueraient pour y parvenir. Je trouve par exemple superflu de pouvoir démarrer à 45km/h en 3 sec. le démarrage serait plus judicieux en pédalant car ça grève l’autonomie...
Je maintiens donc qu’il vaudrait bien “garder l’esprit ouvert” lorsque l’on a ce type de projets en tête et que l’on recherche des solutions techniques aux problèmes pratiques posés (plutôt que de condamner le concept prématurément). Ce type de véhicules ne manquent pas d’un fort potentiel de “marges de progrès” diverses, à n’en pas douter... On peut très bien imaginer encore, que le pac de batterie soit (complètement ou partiellement) amovible, et/ou que l’on puisse aussi le recharger via un câble connecté ã des panneaux solaires situés sur le toit de sa maison (notamment en hiver lorsque la recharge par les seuls panneaux sur le véhicule serait moins performante...). Il y a plein de choses qui mériteraient encore d’être conceptualisées/optimisées.
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de faux-nez présumés en “ignorés”: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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