Michel Kieffer a écrit :Retour sur la Toyota concept 1/xVoici une voiture certes non aboutie, mais extrêmement légère : 420 kg, excellent !
Cette voiture se rapproche de nos références locales CITROEN ECO 2000 ou RENAULT VESTA. Ces dernières étant plus réalistes et peut être meilleures sur le plan de l’aérodynamique.
Quant à la structure de la Toyota, le choix du carbone est discutable, l’alu permet de faire des choses surprenantes (cf. projet avion
http://cocyane.chez-alice.fr/aeronautique.html , masse à vide tout compris = 240 kg !)
Michel
Michel, je suis moins optimiste que toi ...
Le choix de la fibre de carbone et d'un pare-brise qui est non "sécurit" montre, à mon sens, que le but n'est pas de généraliser mais de passer à la télé (assez peu d'ailleurs), ou au moins d'amuser la galerie avec des projets de cette nature.
Il s'agit d'une voiture 4 places, si elle faisait 100 kg de plus on pourrait applaudir, cela serait tellement mieux que ce qu'on nous propose à la vente.
TOYOTA saurait certainement le faire sans pirouette technologique.
Les 100 kg gagnés l'ont probablement été sur la structure grâce aux solutions exotiques et sans avenir quantitatif.
Quand aux consommateurs qui ne voudraient pas se priver des "rafinements" actuels, il suffit d'attendre et de voir ce dont les dits consommateurs ont vraiment envie et quels choix ils feront quand ils en auront vraiment un.
A propos de choix, ce soir, j'ai vu à la Télé que Monsieur TATA himself présentait la NANO réservée à ses compatriotes.
Il se raconte qu'il y en a une qui se prépare pour nous, qui couterait 3500 € de plus (soit 5.000 €) pour qu'elle soit Européenne.
J'ai vu dans le même reportage un représentant des constructeurs automobiles français dire, avec un sourire en coin, qu'avec tout ce qu'ils devront rajouter pour qu'elle soit homologuée, elle coutera bien plus de 5.000 €.
Quand j'entends cela, je ne peux pas m'empêcher de penser à l'inoxydable confiance qu'avait le Général GAMELIN dans la Ligne Maginot ......
Pour ce qui est de l'avenir, il s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible (Antoine de Saint Exupéry)