par piedalu » 27/02/16, 12:55
Bonjour à tous
Tout à fait « Gaston », merci de le préciser. C’est pourquoi j’essaie de m’affranchir en créant artificiellement une chaîne d’énergie moins longue permettant aussi un profit (ou une utilisation) à un moment, ou, à un endroit de la chaîne. Profit virtuel dans le terme car il fait parti d’une chaîne mais est quand même effectif. Chaîne ou boucle c’est selon la perception du lecteur. Affranchir n’est pas le terme juste, car dans la globalité, c’est impossible de s’affranchir. Je m’en explique plus loin.
Aussi d’accord avec toi « Ahmad », merci pour ta réponse. J’aurais du vraiment préciser cet aspect. Pour moi cela allait de soi, mais cela va mieux en l’écrivant.
Une petite parenthèse, ta signature, « Ne croyez surtout pas ce que je vous dis » Je dois la prendre au pied de la lettre ? J’ai la réponse c’était pour blaguer.
Hé oui, « moinsdewatt », le monde est ainsi fait. Interrogation ou réponse en fonction de leur développement, peuvent être, auto alimentées, bouclées ou psalmodiées.
Bon ça ne nous avance pas à grand-chose.
Merci pour tes encouragements, 1360.
C’est exactement ce que j’ai fait en théorie « fabio.gel ». Les formules prouvent un équilibre ou « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » et j’ajouterais ça n’empêche pas de profiter au passage d’une utilisation de ces énergies en transformation.
Je reprécise, profit virtuel dans le terme car il fait parti d’une chaîne mais est quand même effectif. Alors comment peut-il être effectif ? C’est très simple.
Si le profit est extérieure à la chaîne (ou la boucle) il est effectif sans virtualité. Car il faut apporter de l’énergie à la chaîne pour compenser. Mais c’est là encore une extériorité virtuelle. Je m’en explique plus loin.
Si le profit fait partie de la chaîne il est effectif avec virtualité du terme. Car il ne faut rien apporter pour compenser.
Comment être intérieure à la chaîne ?
Alors là, c’est immensément vaste. Car en réalité nous ne sommes jamais extérieure à la chaîne, nous faisons partie de l’univers qui nous entoure.
Nous sommes tous d’accord sur ce fait. Ta réponse izentrop ainsi que toutes les autres ne font que le confirmer.
Je sais, c’est généraliste mais je ne peux pas faire une encyclopédie ici, j’en serais bien incapable. Et de toute façon nous sommes d’accord sur ce fait, du moins je le pense.
Merci Christophe tu as une bonne approche de ma théorie et des remarques pertinentes.
Bon j’essaie une autre approche « sen-no-sen »
A toute action il y a une réaction qui s’y oppose. C’est pourquoi il faut toujours apporter de l’énergie pour faire quelque chose afin de compenser cette réaction.
Donc actuellement à ma connaissance aucun système n’est capable de, neutraliser, équilibrer, rendre inefficace… en bref, de faire en sorte que la réaction ne s’oppose plus à l’action.
Dans les alternateurs l’action est le couple moteur sur l’axe et la réaction à vide sont les pertes à vide.
L’alternateur en charge, la réaction est la f.c.é.m. et l’action est le couple qui compense sur l’axe, les pertes et cette f.c.é.m.
J’ai donc en théorie, simplement tenté de diviser la réaction (f.c.é.m.) en deux forces, que je mets en opposition sur l’engrenage épicycloïde.
Grâce aux bis rotors la f.c.é.m. est divisée en deux valeurs égales (f.c.é.m. /2). Ces deux valeurs s’opposent sur l’engrenage épicycloïde avec une résultante égale à la moitie de cette valeur, ce qui donne donc ((f.c.é.m. /2)/2).
Mathématiquement le résultat est une réaction égale au quart de la f.c.é.m.
En conséquence théorique : A puissance utile égale d’un alternateur classique, l’alternateur bis rotor devrait absorber quatre fois moins de puissance absorbée. Sans considérer les pertes bien entendu, pour simplifier.
« chatelot16 » je ne crois pas que tu ne puisses pas les corriger. Quand on comprend les erreurs, ça prouve que l’on a compris le reste. Ton savoir m’encourage à solliciter ton avis.
Faut il voir l’efficacité de la puissance utile du coté de la charge de l’alternateur ou faut il la voir du coté de l’alternateur.
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