Pour en finir avec Stanley Meyer...
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Le brico était ouvert de matin, c'est ce que je m'apprête à faire
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éléphant: suprême éconologue honoraire..... pcq je suis trop frileux, pas assez riche et trop paresseux pour économiser vraiment le CO2 ! http://www.caroloo.be
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elephant a écrit :Coucou me revoilou !
Après une parenthèse de 3 mois, due à un déménagement. Le réaménagement de mon petit labo a tardé car le chauffagiste devait installer un tuyau d'arrivée de gaz là où je devais poser mes étagères et il fallait aussi que je m'occupe d'aménager la maison.
J'ai un peu incrémenté mon site ( je vous recommande mes dernières "hypothèses". Focardi-Rossi jette une nouvelle lumière sur le phénomène, notamment sur l'absolue nécessité de préparer les tubes.
Je dirai même qu'il y a 2 choses que Meyer n'a pas dites:
- préparation des tubes
- nécessité de travailler sous pression
Prochaine étape: liste des composants, réalisation d'un générateur.
A bientôt.
Bonsoir,
je ne saisi pas bien. Quelle expérience voulez vous tenter exactement ?
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- Capt_Maloche
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Eh bien, sa production d'hydrogène par le biais d'une extraction un peu éxotique
Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stanley_Meyer
et plusieurs sujets sur le forum
Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stanley_Meyer
et plusieurs sujets sur le forum
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"La consommation s'apparente à une recherche de consolation, un moyen de remplir un vide existentiel croissant. Avec, à la clé, beaucoup de frustration et un peu de culpabilisation, accrue par la prise de conscience écologique." (Gérard Mermet)
OUCH, OUILLE, AÏE, AAHH! ^_^
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Moins de watt a dit
Ben va voir sur mon site: www.replication-meyer.be.ma
Quelle expérience voulez vous tenter exactement ?
Ben va voir sur mon site: www.replication-meyer.be.ma
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éléphant: suprême éconologue honoraire..... pcq je suis trop frileux, pas assez riche et trop paresseux pour économiser vraiment le CO2 ! http://www.caroloo.be
Allez, puisque j'ai passé pas mal de temps à une époque sur le sujet meyer, je m'abonne à ce sujet.....bien qu'il est évident pour moi que personne n'arrivera à rien, et que ceux qui arrivent à quelque chose ne font finalement que quelques bulles avec un rendement bien moindre qu'une électrolyse standard à courant continu optimisée
Tous les réplicateurs ne font que filmer quelques misérables bulles qui témoignent d'un débit de gaz totalement minable. Et même la fameuse video originale de meyer avec l'alternateur est totalement pathétique, le débit est ridicule.
Mais bon, après avoir fait pas mal de recherches et d'essais quand même pour vraiment approfondir jusqu'au bout, voici mon avis précis sur la question (je précise que j'ai pas lu les 17 pages, des choses ont peut être déjà été dites !!).
L'électrolyse "meyer" est censée faire mieux que la loi de faraday qui caractérise les électrolyses classiques à courant continu, à savoir que le débit de gaz est uniquement proportionnel à la valeur du courant, et que la constante du débit est de 0.627L/h de gaz par ampère. Pour ceux que ça intéresse voir cette page de mon site et les suivantes : http://chaenel.free.fr/cmsimple/?Electr ... troduction
En clair avec une électrolyse à courant continu, comme seul le courant influe sur le débit, pour avoir le meilleur rendement possible il faut utiliser la tension d'alimentation la plus faible possible, car par exemple une électrolyse sous 5V/1A (donc 5W) génère autant de gaz qu'une électrolyse 12V/1A (donc 12W), mais avec un meilleur rendement puisque pour le même débit la puissance électrique nécessaire est plus faible.
Conclusion sur une électrolyse classique l'objectif c'est de rendre l'électrolyte le plus conducteur possible pour pouvoir passer le courant sous la tension la plus faible possible. Dans la pratique, on peut pas descendre en dessous de 1.24V, car en dessous le courant ne peut plus circuler.
La théorie de l'électrolyse "meyer" repose sur un principe radicalement différent, tellement différent que pour moi on ne devrait même pas l'appeler électrolyse, car le but du jeu est d'appliquer une forte différence de potentiel entre les 2 électrodes, pour craquer la molécule d'eau en attirant les atomes d'oxygène d'un côté et les molécules d'hydrogène de l'autre.
Le principe de résonance dont il est question dans tous les brevets sert uniquement à faire grimper la tension aux bornes des électrodes qui sont censées se comporter comme un condensateur. Et oui avec un circuit LC bien accordé, on peut faire monter très haut la tension aux bornes du condo avec un simple signal carré basse tension en entrée. On parle donc de fréquence de résonance du couple LC, et non pas de celle de la molécule de l'eau....
Ca c'est la théorie, car en pratique, il n'y aura jamais d'eau assez pure et donc isolante entre les 2 électrodes pour que la tension puisse monter à plusieurs milliers de volts. Car la moindre résistance fait que plus la tension monte et plus le courant passe, et donc plus il faut un générateur puissant pour monter encore la tension.
Tous les réplicateurs ne font que filmer quelques misérables bulles qui témoignent d'un débit de gaz totalement minable. Et même la fameuse video originale de meyer avec l'alternateur est totalement pathétique, le débit est ridicule.
Mais bon, après avoir fait pas mal de recherches et d'essais quand même pour vraiment approfondir jusqu'au bout, voici mon avis précis sur la question (je précise que j'ai pas lu les 17 pages, des choses ont peut être déjà été dites !!).
L'électrolyse "meyer" est censée faire mieux que la loi de faraday qui caractérise les électrolyses classiques à courant continu, à savoir que le débit de gaz est uniquement proportionnel à la valeur du courant, et que la constante du débit est de 0.627L/h de gaz par ampère. Pour ceux que ça intéresse voir cette page de mon site et les suivantes : http://chaenel.free.fr/cmsimple/?Electr ... troduction
En clair avec une électrolyse à courant continu, comme seul le courant influe sur le débit, pour avoir le meilleur rendement possible il faut utiliser la tension d'alimentation la plus faible possible, car par exemple une électrolyse sous 5V/1A (donc 5W) génère autant de gaz qu'une électrolyse 12V/1A (donc 12W), mais avec un meilleur rendement puisque pour le même débit la puissance électrique nécessaire est plus faible.
Conclusion sur une électrolyse classique l'objectif c'est de rendre l'électrolyte le plus conducteur possible pour pouvoir passer le courant sous la tension la plus faible possible. Dans la pratique, on peut pas descendre en dessous de 1.24V, car en dessous le courant ne peut plus circuler.
La théorie de l'électrolyse "meyer" repose sur un principe radicalement différent, tellement différent que pour moi on ne devrait même pas l'appeler électrolyse, car le but du jeu est d'appliquer une forte différence de potentiel entre les 2 électrodes, pour craquer la molécule d'eau en attirant les atomes d'oxygène d'un côté et les molécules d'hydrogène de l'autre.
Le principe de résonance dont il est question dans tous les brevets sert uniquement à faire grimper la tension aux bornes des électrodes qui sont censées se comporter comme un condensateur. Et oui avec un circuit LC bien accordé, on peut faire monter très haut la tension aux bornes du condo avec un simple signal carré basse tension en entrée. On parle donc de fréquence de résonance du couple LC, et non pas de celle de la molécule de l'eau....
Ca c'est la théorie, car en pratique, il n'y aura jamais d'eau assez pure et donc isolante entre les 2 électrodes pour que la tension puisse monter à plusieurs milliers de volts. Car la moindre résistance fait que plus la tension monte et plus le courant passe, et donc plus il faut un générateur puissant pour monter encore la tension.
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C'est bien ce que je veux expérimenter par moi même, en étant conscient de 2 choses ( voir le volet "hypothèses " sur mon site) :
Ce qu'a réussi JL Naudin est une réaction de Mizuno
Si Meyer marche, ce n'est probablement pas une électrolyse, mais une réaction LENR Nickel hydrogène, proche de Foccardi-Rossi et de Brillouin et de bien d'autres ( donc une radiolyse ? )
d'où l'importance capitale de la préparation des électrodes ou au contraire d'isoler les électrodes.
Ce qu'a réussi JL Naudin est une réaction de Mizuno
Si Meyer marche, ce n'est probablement pas une électrolyse, mais une réaction LENR Nickel hydrogène, proche de Foccardi-Rossi et de Brillouin et de bien d'autres ( donc une radiolyse ? )
d'où l'importance capitale de la préparation des électrodes ou au contraire d'isoler les électrodes.
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nlc a dit:
attention: nous sommes en régime impulsionel et avec une self en série ( et de préférence avec un temps de montée très court )
Car la moindre résistance fait que plus la tension monte et plus le courant passe, et donc plus il faut un générateur puissant pour monter encore la tension.
attention: nous sommes en régime impulsionel et avec une self en série ( et de préférence avec un temps de montée très court )
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