L’ADEME considère que l’argument « plantes dépolluantes » n’est pas validé scientifiquement au regard des niveaux de pollution généralement rencontrés dans les habitations et des nouvelles connaissances scientifiques dans le domaine.
En matière d’amélioration de la qualité de l’air intérieur, la priorité reste la prévention et la limitation des sources de pollution (entretenir les chauffe-eaux et chaudières, réduire l’utilisation de produits chimiques ménagers,…) accompagnées d’une ventilation ou plus généralement d’une aération des locaux (entretien du système de ventilation, ne pas bloquer les orifices d’aération, ouvrir les fenêtres tous les jours quelques minutes,…).
Source: http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow? ... atid=23865
Rapport: https://www.econologie.info/share/partag ... pOBAmx.pdf