Là, sans doute que pb2488 a raison(?) (
) Il ne confondrait pas
"causes" et
"effets"... (
)
Sur le fond: Autant je ne me laisse pas influencer par des sites qui fanatises, le débat et perdent tout sens de la mesure (d'ailleurs je suis l'un des premiers à dire que l'effondrement des tours selon le "
Rapport officiel" n'est pas à exclure, mais je ne vais pas exclure d'autres hypothèses aussi facilement, juste parce qu'un "Rapport officiel" aurait dit que...). Autant en l'absence d'enquête en bonne et due forme, je préfère m'abstenir d'être catégorique sur ce qui s'est passé (ou non).
Par contre je relève que pb2488 est tout sauf impartial, parce qu'il «s'approvisionne» sans aucun état d'âme dans le contenu de panflets, sur des sites annonçant clairement la couleur de la pensée unique puisqu'ils commencent par:
pseudo-sciences.org, Michel Brilich, SPS n° 296, hors-série 11 septembre, juin 2011 a écrit :«Affabulation autour des débris métalliques»
En effet rien de «scientifique» dans une approche pareille. J'ai toujours vu des études s'allignant sur le principe de: la thèse, l'anti-thèse et la synthèse => on ne voit pas très bien en quoi une anti-thèse serait une «
affabulation». C'est une approche insensée! D'un autre côté un affabulateur sera facilement piégé par une approche erronée...
Bien, bien... tout un programme!^^ ...Voyons la suite:
pseudo-sciences.org, Michel Brilich, SPS n° 296, hors-série 11 septembre, juin 2011 a écrit :De nombreuses remarques ont été formulées par les conspirationnistes sur la forme des débris observés après les effondrements.
...Là, il y est sous-entendu clairement d'une certaine manière: que si vous n'acceptez la "Thèse officielle", vous êtes de facto un «
conspirationniste»!
Incredible, isn't it?. Ça rappelle étrangement le «Si vous n'êtes pas avec nous, vous êtes contre nous de Georges W. Bush»!
Comme je lis très peu les textes tendancieux, je me fie à mes connaissances professionnelles, comme Ramundo. Nous ne sommes donc guère concernés par ça dans les propos tenus sur ce site (d'autres ont été plus loin, mais ça n'est pas le cas de la majorité qui se garde d'une guerre des tranchées, mais s'intéresse exclusivement aux faits). Bref, passons...
pseudo-sciences.org, Michel Brilich, SPS n° 296, hors-série 11 septembre, juin 2011 a écrit :« [...] présence dans les débris de structures d’acier découpées en éléments de longueur transportables [...] »
Ici, je crois que jamais personne n'a soulevé ça. Mais c'est un point à considérer.
Concernant les «pré-requis» du
«minimum d’expérience en mécanique et calcul des structures». Je crois que du côté de pb2488, l'affabulation est bien suspectée, lorsqu'il se prétend «
technicien d'atelier» dans l'aéronautique et qu'il ne fait jamais référence aux connaissances qu'il prétend avoir... J'aimerais qu'il nous dise lui-même quel est sont "vrai" parcours professionnel! Parce que jusqu'à présent, on peut légitimement en douter...
Ici les arguments concernant les effets mécanique et le calcul des structures c'est pas ça qui manque, et décrit en des termes relativement compréhensibles par tous. On n'a pas arrêté de parler de crémonas et construction hyperstatique! Donc là encore, nous ne sommes pas concernés par ses fausses allégations.
Voyons maintenant où le bât blesse et fait encore plus mal:
pseudo-sciences.org, Michel Brilich, SPS n° 296, hors-série 11 septembre, juin 2011 a écrit :* le comportement au choc des aciers ;
* la réponse de l’acier à un incendie amorcé par le kérosène, puis alimenté par les matériaux inflammables du bâtiment ;
* l’effondrement de la structure.
Le comportement au choc des aciers: encore faudrait-il s'entendre sur ce qu'on entend par «choc des aciers»: 1) nous avons dit ici maintes fois qu'à ces étages (haut des tours) les contraintes mécaniques étaient inférieures jusqu'à un facteur "100" de ce qu'elles sont en bas des tours. Ce seul point rend inexplicable la chute des tours (sauf défaut de conception caché).
Donc on peut d'ores et déjà douter du sérieux de ce qu'à fait le SPS, puisqu'il ne prend pas en compte d'emblée (ou à part égale), le fait que les tours étaient conçues pour ne pas s'écrouler, même avec un impact d'avion. Ne considérant pas l'hypothèse selon laquelle les tours devaient résister (au moins pour partie du postulat), donne une conduite biaisée à l'étude, qui est dès lors «orientée» sur la recherche des «
causes» de l'effondrement, alors que ces «
causes» sont en fait un «
effet». Par ailleurs la WTC7 n'a subit aucun choc, puisqu'aucun avion n'est tombé dessus. Donc ce rapport ne peut pas être appliqué à cette tour!
Dès lors, ses conclusions ne peuvent être que partielles pour ne pas dire erronnées.
pseudo-sciences.org, Michel Brilich, SPS n° 296, hors-série 11 septembre, juin 2011 a écrit :Tous les matériaux caractérisés ont présenté lors de l’étude des propriétés supérieures aux minimaux préconisés lors de la construction. Les modes de ruine observés ont laissé apparaître des ruptures en surcharge (ductiles et non fragiles11) en traction, mais aussi et surtout en cisaillement.
euh... il, manque plein de considérants là: torsion, flambage (i.e. compression en surcharge), et dilatation (qui n'a pas que des effets négaifs, parce qu'en améliorant l'élasticité apportée par l'augmentation de la température, favorise le report des transferts hyperstatiques allant compenser les dégâts dûs à l'impact, etc. L'exemple de Ramundo de la métaphore autour de l'idée de "maillage d'un treillis" est tout à fait pertinent!
Encore faudrait-il prouver que les tours ne pouvaient résister à ces impacts (alors que précisément elles étaient conçues pour y résister).
Oui, forcément! Sauf si on part du principe d'une démolition contrôlée: dans ce cas
"les ruptures de surcharges" ne sont plus «
la cause», mais deviennent juste un «
effet»!
La réponse de l’acier à un incendie amorcé par le kérosène, puis alimenté par les matériaux inflammables du bâtiment
Là c'est simple: a) les températures relevées par la couleur des flammes et des fumées ne permettent pas de dire que de températures de ruptures auraient été atteintes, b) on sait que le kérosène à été dispersé dans l'air au moment du choc (est est donc sortit immédiatement des tours dans une très grandes proportions => c'est un fluide, et on le voit sur les images, il est projeté: non pas en hauteur, mais bien à l'extérieur ou alors il aurait dû couler vers le bas => mais curieusement il n'y a pas d'incendie en-dessous des points d'impacts => s'en est ien la preuve, et ce point n'est reférencé nulle part! D'ailleurs un des témoins qui en a réchappé à vu l'avion approcher et s'encaster dans son bureau... C'est bien la preuve que l'incendie n'était pas ce que veut bien nous faire croire pour attester le Rapport officiel...) c) quand aux matériaux inflammable, lesquels(?), vu que tout était ingnifugé, des revêtements de sols aux ordinateurs (dont le plastique contient du brome) en passant par toute la structure protégée par de l'amiante. Y reste le béton, le plâtre et l'acier, mais tout ça brûle très mal (lol).
L’effondrement de la structure
C'est bien là le principal grief que l'on peut faire au "Rapport officiel". Tous ceux qui ont étudié la question, dignes de foi et pas influencés, ni par ledit rapport, ni par ses adversaires, savent bien que l'effondrement des tours, tel qu'il a été observé, ne peut pas être correlé de façon irréfutable au "Rapport". Il faut relire le fil de cent pages désormais verrouillé, mais notamment parce que nous n'avons perçu aucun signe précurseur mais bien une rupture simultanée sur tous les appuis — et ce, alors que nous avons des ancrages mixtes: soudés ET/OU bolonnés — non, pas la moindre oscilliation, pas le moindre basculement faisant décaler le point d'inertie, pas le moindre twist, pas le moindre décallage ou projection de pans de façade vers l'extérieur, pas le moindre effondrement partiel visible de l'extérieur => et ce répété deux fois à l'identique alors que les chocs subis sont très différents. Tous ces points font conclure à l'invalidation des conclusions du "Rapport officiel". Et c'est bien dommage! Parce que si celui-ci avait avancé plusieurs hypothèses d'effondrement, il serait devenu plausible. Mais c'est cet entêtement à vouloir prouver une théorie boiteuse, cet acharnement à faire disparaître des éléments matériel, a entraver l'enquête, à réduire son financement à hauteur du ridicule (moins que pour l'affaire Lewinsky), ce d'autant qu'il n'a été fait qu'en raison de la pression populaire: qui fait qu'on ne peut guère le croire les yeux fermés...!
Ce d'autant que le contexte géopolitique de l'époque, la réthorique guerrière du clan Bush, les mensonges répétés sur les armes de destruction massive, la collusion de la CIA avec l'adversaire, la tromperie de la création d'une coalition pour "mouiller" d'autres états sont autant de points qui sont incompatibles avec une confiance absolue dans le mode opératoire...! Ce d'autant que la manipulation a continué avec le «Printemps arabe» instrumentalisant les réseaux sociaux et qui est le fait de la CIA, qui nous rappelle que ce type de scénario hautement sophistiqué est parfaitement compatible avec un «inside job», puisqu'on voit mal des péouzes afghans fanatisés et vivant dans des grottes, être à eux seuls à même de faire un «sans-faute» lors d'une telle opération. Mais qui s'apparente beaucoup plus à ce que sont capable de faire des services secrets de haut vol, comme la CIA ou le Mossad (par exemple) et certainement pas Al Quaeda, dont les «membres actifs», n'ont pas une capacité à ce point développée pour atteindre de pareils objectifs. D'ailleurs on voit bien à quoi se résument les «attentats suicides», ce n'est que du bricolage d'artificier!
Donc c'était bien essayé, mais ça ne résiste pas à l'analyse de fond = pipeau!