Tout à fait d'accord, les chiffres sont complexes et demandent de la rigueur précise, sinon on se trompe !!
Donc il faut préciser radioactivité de quoi, Cesium c'est différent du potassium 40 !!
Obamot comme d'habitude fâché avec la science ne précise pas suffisamment et il doit lire le document donné par Maximus Léo, minimum à savoir !!!
Les bananes et autres nourritures à engrais, n'importe où dans le monde sont à radioactivité du potassium 40, très vieux souvenir d'il y a 5 milliards d'années de la supernova qui nous a créé, comme l'uranium, vu sa période radioactive dans le milliard d'années :
http://en.wikipedia.org/wiki/Becquerel
one kilogram of potassium contains 0.12 gram of 40K (all other isotopes are stable) that has a t_{1/2} of 1.248×109years=39.38×1015 seconds, and has an atomic mass of 39.963 g/mol, so the radioactivity is 32 kBq.
Donc ne mangez pas un bloc massif de potassium, à 32000Becq/kg (enfin aussi brulant que le sodium métallique !!) depuis des milliards d'années et la radioactivité des fruits et légumes, vous donne quasiment leur concentration en potassium naturel !!
La norme pour le Cesium seul, pas naturel du tout
(à ne pas confondre avec les autres atomes radioactifs naturels) au Japon est :
Le gouvernement japonais décide de plafonner à 100 becquerels par kilogramme au lieu de 500, la teneur maximum au césium radioactif pour la viande, les poissons, les fruits et les légumes.
Les dangers sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9sium_137http://en.wikipedia.org/wiki/Caesium-137http://www.irsn.fr/EN/Research/publicat ... 137_V4.pdf*
Le césium 137 est particulièrement toxique et écotoxique. Il affecte a priori tous les êtres vivants et d'autant plus qu'ils sont jeunes.
Sa toxicité est chimique, mais elle résulte surtout et probablement presque essentiellement de ses propriétés radiologiques 5.
Pour ce qui concerne les effets radiatifs et ionisants, on peut distinguer l'exposition externe, et l'exposition interne. Cette dernière est beaucoup plus dangereuse, car la toxicité du césium inhalé ou ingéré est fortement exacerbée par le fait que le césium 137 est un analogue du potassium ; Ceci fait qu'il est rapidement assimilé, dans n'importe quelle partie de l’organisme, d’où il ne sera éliminé qu’avec une période biologique de 70 jours environ6. Dans un même environnement, l'enfant, qui a des besoins en potassium plus important que l'adulte, en absorbe et en fixe plus que ce dernier.
À doses plus faibles, et à plus long terme, on lui reconnait aussi les impacts suivants :
perturbations du cycle veille-sommeil, sans troubles comportementaux importants
atteinte du système cardiovasculaire
troubles du métabolismes de la vitamine D, du cholestérol et des hormones stéroïdiennes, sans symptomatologie clinique
malformations congénitales et fœtales,
risque accru de cancers de la thyroïde
D'autres effets, à plus long terme sont suspectés sur le cœur, la paroi de l'estomac.
Un risque accru de trisomie 21 est également suspectée. Un nombre statistiquement anormalement élevé de trisomies 21 a en effet été constatée en janvier 19877 dans des pays très touchés et pour les bébés conçus au moment du passage du nuage. Une nette augmentation (plus que doublement) a été constatée en Belarus avec 26 cas observés par le registre national des malformations congénitales pour 9,84 cas attendus8,9 (pays le plus touché par les retombées), mais aussi à Berlin Ouest où la quasi intégralité des trisomies signalées à la naissance mais aussi en diagnostiqués prénatal, est consignée dans un registre, avec la distribution de l'âge maternel. Ce registre montre une augmentation significative du nombre de cas en janvier 1987, soit neuf mois exactement après la catastrophe de Tchernobyl. Mais dans les deux cas ce phénomène ne s'est pas prolongé dans le temps. Il pourrait donc aussi être du à l'Iode radioactif (dont la décroissance radioactive est très rapide). Ce type de statistiques est par ailleurs d'utilisation délicate depuis, en raison du manque de registres précis et homogènes dans de nombreux pays, en raison du fait que de nombreux avortements volontaires ont suivi l'accident dans certains pays (Bélarus ou l'ont précédé comme en Suède10 par exemple), que les populations des zones contaminées on fait beaucoup moins d'enfant (le Belarus est l'un des pays où la natalité a le plus décliné dans le monde, Aux environs de Tchernobyl la première naissance déclarée a eu lieu 17 ans après l'explosion) et enfin parce que les moyens de détecter la trisomie précocement, et la possibilité d'alors déclencher un avortement médical ont beaucoup évolué. La présence d'un pic de trisomies en janvier 1987 9 mois après le passage du panache, ainsi que des données expérimentales montrant une phase radiosensibles de l'ovogenèse autour du temps de conception chez les mammifères suggèrent que ce « pic de janvier » peut être liée au panache de Tchernobyl, mais pas nécessairement au seul Césium 1377.
Les champignons jouent à ce propos un rôle particulier, et en particulier certaines espèces trouvées en surface ou sous le sol tels que les champignons à fructification hypogée (sous le sol) (ex : truffes, dont [la truffe du cerf (Elaphomyces granulatus), très consommée par les sangliers et les écureuils). Grâce à leur vaste zone de prospection dans les 30 premiers cm du sol, via leur réseau mycélien souterrain ou capable de coloniser le bois mort (lui-même éventuellement contaminé), ces champignons peuvent concentrer le césium retombé avec les pluies ou dépôts secs ayant suivi les essais nucléaires ou certains accidents.
Par exemple, après le passage du nuage de Tchernobyl, leur contamination a en France varié de 15 à 50 000 Bq/kg, selon les sources officielles
Après l’accident de Tchernobyl, les dépôts surfaciques observés en France
s’étendent globalement selon un gradient est-ouest. Les dépôts totaux moyens en
137Cs sur les surfaces agricoles vont de 120 Bq.m-2 dans l’Ouest du pays à
3 560 Bq.m-2 dans l’Est où des valeurs peuvent dépasser localement 6 000 Bq.m-2.
Sur la majeure partie du territoire, le retour aux concentrations mesurées avant
l’accident s’est opéré, sauf dans certains sites parmi les plus touchés initialement
où certains processus de re-concentration (ruissellement, érosion) peuvent être
exacerbés (Vosges, Mercantour, Jura). Dans les eaux de surface (rivières, lacs), les
concentrations sont toujours restées inférieures à 0,1 Bq.l-1 (Renaud et al., 1999-a).
Experiments with dogs showed that a single dose of 3800 μCi/kg (140 MBq/kg, or approximately 44 μg/kg) is lethal within three weeks
One notable example was the Acerinox accident of 1998, when the Spanish recycling company Acerinox accidentally melted down a mass of radioactive caesium-137 that came from a gamma-ray generator.[15]
In 2009, a Chinese cement company (in Tongchuan, Shaanxi Province) was demolishing an old, unused cement plant and did not follow standards for handling radioactive materials. This caused some caesium-137 from a measuring instrument to be included with eight truckloads of scrap metal on its way to a steel mill, where the radioactive caesium was melted down into the stee
the glowing caesium salt sold to curious, uneducated buyers. This led to four deaths and serious injuries from radiation exposure