Donc les simulations sont peu crédibles, juste une idée, sur les vents, ce que les mesures réelles confirment pour le moment de la plus grosse émission vers plus le nord que vers le sud de la centrale.
Les mesures doivent être précises sur les conditions, les appareils, ce qu'on mesure et méthodes, et les unités.
La phrase :
ne veut rien dire et est d'un flou typique littéraire.elle est en “dosimétrie pondérée”.
Sinon on raconte n'importe quoi, et on dessine des cartes fausses, invalides et trompeuses.
Cette carte n'est pas claire sur ses unités et les calculs derrière pour l'accumulation, temps, méthodes.
http://www.wofrance.fr/weather/news/fuk ... onoveraccu
Donc c'est une erreur de se faire une idée sur cette carte, qui autant que je devine, n'indique rien de plus que les autres cartes, contamination débutant dans la banlieue nord de Tokyo, avec des mesures d'augmentation doubles, triples, par rapport à la radioactivité naturelle loin au sud.
Une évaluation simple, est de combien la radioactivité naturelle est multipliée, typiquement 0,1mmSv/h, et donc il y a contamination à plus de 1,3 , le double, et bien plus.
Cela est facile à mesurer avec un compteur Geiger, par tous.
Sinon, il y a la contamination interne, grave, bien plus difficile et complexe à évaluer, qui nécessite des appareils bien plus complexes, bien plus sensibles, à décrire avec des unités bien définies, associée à peu de changements de la radioactivité naturelle, sauf si elle est énorme.
D'autre part, il y a des mécanismes de concentration par les champignons, les plantes, les écoulements et sédimentation, (gouttières et vases, les égouts, stations épuration), parfois importants, et aussi sur les filtres à air, à eau,, les ordures, qui montrent la contamination.
Il faut faire très attention aux unités, en les comprenant, car sinon on se trompe facilement, sur l'importance réelle, vu les facteurs multiplicatifs par 10, 100 ou 1000 .
C'est d'ailleurs cela le plus dangereux, si on mange du concentré, sans savoir.
La dose d'iode reçue, de courte durée, disparue mais importante, va avoir des effets graves dans quelques années, comme pour Tchernobyl, voir la CRIRAD, et ses mesures précises.