Lettre de Depardieu à Ayrault (fiscalité française)
- manet42
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Moi, y a un truc que je n'ai jamais compris, je dois être particulièrement con !
A quoi ça sert d'aligner les millions quand on n'a que 24h/jour pour les dépenser, ils ne servent plus à rien....Et là, même si on paye des impôts, beaucoup, le mode de vie n'est pas modifié, ça continue à s'accumuler, pour en faire quoi ?
Le pauvre de service
A quoi ça sert d'aligner les millions quand on n'a que 24h/jour pour les dépenser, ils ne servent plus à rien....Et là, même si on paye des impôts, beaucoup, le mode de vie n'est pas modifié, ça continue à s'accumuler, pour en faire quoi ?
Le pauvre de service
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En essayant continuellement, on finit par réussir. Donc: plus ça rate, plus on a de chance que ça marche.
- elephant
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D'une part, l'industrie du luxe ne manque pas de ressource: on peut tout à fait vivre modestement et se contenter d'une seule voiture: je crois que la nouvelle Bugatti dépasse 2 millions d'euros
On peut acheter quelques pieds de vigne, mais c'est plus cher sur certaines communes bien connues.
D'autre part, et c'est un gros défaut de la plupart des fiscalité: à partir d'un certain montant , l'argent est un outil. Mais si on te taxe excessivement comme le font nos états européens, il ne t'en reste plus assez pour investir . dans le contexte hautement concurrentiel ou nous vivons actuellement, c'est gênant
Une excellente chose serait de pouvoir déclarer que l'on met de côté un certain montant dans un certain but ( exclusivement de l'investissement en Belgique, par exemple) et ainsi immuniser ces sommes.( sous contrôle, bien sûr )
Cela existe déjà en partie dans la fiscalité des sociétés, mais pas suffisamment. ( régime des réserves immunisées )
On peut acheter quelques pieds de vigne, mais c'est plus cher sur certaines communes bien connues.
D'autre part, et c'est un gros défaut de la plupart des fiscalité: à partir d'un certain montant , l'argent est un outil. Mais si on te taxe excessivement comme le font nos états européens, il ne t'en reste plus assez pour investir . dans le contexte hautement concurrentiel ou nous vivons actuellement, c'est gênant
Une excellente chose serait de pouvoir déclarer que l'on met de côté un certain montant dans un certain but ( exclusivement de l'investissement en Belgique, par exemple) et ainsi immuniser ces sommes.( sous contrôle, bien sûr )
Cela existe déjà en partie dans la fiscalité des sociétés, mais pas suffisamment. ( régime des réserves immunisées )
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éléphant: suprême éconologue honoraire..... pcq je suis trop frileux, pas assez riche et trop paresseux pour économiser vraiment le CO2 ! http://www.caroloo.be
- Remundo
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Re: Lettre de Depardieu à Ayrault (fiscalité française)
tagor a écrit :Remundo a écrit :
Pour un domaine viticole, tout n'est pas hors ISF, surtout le "château"...
je parle des vignes pas du chateauRemundo a écrit :
Pour un domaine viticole, tout n'est pas hors ISF, surtout le "château"... Pour le reste (les terres), il faut un fermage avec des barêmes peu intéressants de 18 ans pour prétendre à 75% d'exonération.
mes parents ont des vignes en champagne ... ainsi que toute ma famille !!
j'ai vecu pas mal d'héritage et donnation il me semble que je connais assez bien le probleme
donc je persiste pas d'isf sur les vignes
Tu peux persister, mais ne signe pas...
L'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) pour les détenteurs de parts de GFV
L'exonération partielle d'ISF est limitée aux seules parts de GFV à capital fixe lorsque les terres sont louées par un bail à long terme (au moins 18 ans).
d'un domaine viticole
L'exonération partielle d'ISF n'est valable que pour les domaines donnés en fermage à long terme (au moins 18 ans).
Dans les deux cas, à ces conditions, l'exonération d'ISF est égale à 75 % pour la fraction de la valeur des parts ou du domaine n'excédant pas 76 000 € et 50 % au-delà. En supposant un capital de 100 000 €, l'exonération portera sur : (75 % x 76 000 €) + (50 % x (100 000 € – 76 000 €) ) = 69 000 €
Seuls 31 000 € (100 000 € – 69 000 €) seront imposables à l'ISF
Source : Le Particulier
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le temps du retrait est venu
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Au delà des opinions divergentes et opposées, s'exprime, à quelques nuances prêt, une quasi unanimité sur le postulat que le mérite (création artistique ou autre) doive nécessairement être récompensé par de l'argent.
1- je ne vois pas cette nécessité, ou plutôt je ne la vois que trop bien puisque s'inscrivant dans une perspective globale de croyance collective.
2- c'est un raisonnement circulaire, j'ai du talent, donc je gagne de l'argent, donc j'ai du talent...
3- en toute rigueur logique, le talent le plus approprié pour atteindre cet objectif est celui de gagner de l'argent...
On déduit facilement des précédents que le talent, réel ou pas, est second par rapport au primat du gain qui, de toute façon est, dans son abstraction, pur quantitatif.
Il y a donc une (fausse?) naïveté foncière à vouloir estimer le qualitatif en terme de quantitatif...
1- je ne vois pas cette nécessité, ou plutôt je ne la vois que trop bien puisque s'inscrivant dans une perspective globale de croyance collective.
2- c'est un raisonnement circulaire, j'ai du talent, donc je gagne de l'argent, donc j'ai du talent...
3- en toute rigueur logique, le talent le plus approprié pour atteindre cet objectif est celui de gagner de l'argent...
On déduit facilement des précédents que le talent, réel ou pas, est second par rapport au primat du gain qui, de toute façon est, dans son abstraction, pur quantitatif.
Il y a donc une (fausse?) naïveté foncière à vouloir estimer le qualitatif en terme de quantitatif...
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"Ne croyez surtout pas ce que je vous dis."
- chatelot16
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je pense aussi qu'on donne trop d'argent a certain pour pas grand chose , mais le probleme n'est pas la
c'est comme quand on dit a un enfant qui ne mange pas ce qui est dans son assiette pense a ceux qui ont faim ... absurde , qu'on mange ou qu'on jette ça ne change rien pour ceux qui en manque
de même pour les riche , qu'on les laisse tranquile ou qu'on les ecrase d'impot ça ne fait pas un sous de plus pour ceux qui ont des fin de moi difficile
la richesse exessive de certain est le resultat d'une société mal géré ... que certain quitent la france n'est qu'une consequence de cette mauvaise gestion ... qu'il partent ou qu'il reste ne change rien a cette mauvaise gestion qui continue a faire des ravage autrement plus grave
on est dans un pays qui s'appauvrit et qui n'est pas capable de faire travailler tout le monde
non seulement l'etat n'est pas capable de faire travailler tout le monde , mais en plus il meprise ceux qui reussisent autrement malgré les baton qu'il met dans les roue a tout ceux qui essayent de travailler
c'est comme quand on dit a un enfant qui ne mange pas ce qui est dans son assiette pense a ceux qui ont faim ... absurde , qu'on mange ou qu'on jette ça ne change rien pour ceux qui en manque
de même pour les riche , qu'on les laisse tranquile ou qu'on les ecrase d'impot ça ne fait pas un sous de plus pour ceux qui ont des fin de moi difficile
la richesse exessive de certain est le resultat d'une société mal géré ... que certain quitent la france n'est qu'une consequence de cette mauvaise gestion ... qu'il partent ou qu'il reste ne change rien a cette mauvaise gestion qui continue a faire des ravage autrement plus grave
on est dans un pays qui s'appauvrit et qui n'est pas capable de faire travailler tout le monde
non seulement l'etat n'est pas capable de faire travailler tout le monde , mais en plus il meprise ceux qui reussisent autrement malgré les baton qu'il met dans les roue a tout ceux qui essayent de travailler
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- elephant
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Chatelot 16 a dit:
Ben oui, c'est facile a ça plaît au peuple.
Je continue à penser qu'une alternative entre l'impôt et l'investissement productif devrait être proposée: peut être qu'alors les riches feraient marcher les méninges de leurs collaborateurs et jouer leurs relations pour que ça leur rapporte. L'initiation d'un cercle vertueux, en quelque sorte...
Mais assorti de normes sévères: emplois de qualité, et contrôle qu'il n'y ait pas de vases communicants . trop facile de couler une entreprise, pour en créer une autre qui récupère les clients )
non seulement l'etat n'est pas capable de faire travailler tout le monde , mais en plus il meprise ceux qui reussisent autrement malgré les baton qu'il met dans les roue a tout ceux qui essayent de travailler
Ben oui, c'est facile a ça plaît au peuple.
Je continue à penser qu'une alternative entre l'impôt et l'investissement productif devrait être proposée: peut être qu'alors les riches feraient marcher les méninges de leurs collaborateurs et jouer leurs relations pour que ça leur rapporte. L'initiation d'un cercle vertueux, en quelque sorte...
Mais assorti de normes sévères: emplois de qualité, et contrôle qu'il n'y ait pas de vases communicants . trop facile de couler une entreprise, pour en créer une autre qui récupère les clients )
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éléphant: suprême éconologue honoraire..... pcq je suis trop frileux, pas assez riche et trop paresseux pour économiser vraiment le CO2 ! http://www.caroloo.be
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Juste mes 2 centimes d'euros pas objectifs du tout (forcément):
Pas si unanimement (en tout cas ce n'est pas ce que j'aurais voulu en dire, si je m'étais exprimé à ce sujet)
D'ailleurs j'ai bien parlé d'un risque éventuellement mortel (ce n'est donc pas de l'argent... Ou alors, c'est la bourse ou la vie). Mais le débat est néamoins fort intéressant!
C'est une notion qui dépasse l'entendement pour celui qui l'a expérimenté sous différentes formes artistiques! Envers lui, la nécessité ne revet pas la même correspondance sémantique (pas toujours...): car nombreux sont ceux qui font abstraction de tout.
La croyance est une notion péjorative dans ce contexte (et depuis la vague de créationnisme encore pire, mais on s'écarte...).
Pour l'artiste, le créateur (je parle subjectivement: des bons, des vrais, des sincères) l'argent ou le mérite ne sont pas une fin en soi, mais c'est la démarche/recherche/intention artistique, plus que l'œuvre elle-même parfois! Et au moins l'œuvre comme perspective centrale!
Quantifier le «subliminal» avec de l'argent ? Qui pourrait dire ce que ça donnerait? Et vice-versa?
Ça c'est quand le «nouveau management» est passé par là?
On comprend le raisonnement, mais cette échelle est à géométrie variable, puisque qui peut dire que quelqu'un a du talent? Et comment le définir au cas par cas...?
Mission relativement impossible. Par contre, protéger une œuvre, en principe on saurait le faire, sauf qu'on ne l'applique pas.
Et l'explosion d'internet a ratiboisé la création qui est devenue banale (chacun peu publier et exposer à des centaines de mios d'individus, même si personne ne regarde: puisque la création de valeur est perdue au milieux de milliards de bouses...). D'où en partie le niveau de médiocrité actuel? Qui n'était déjà pas bien haut avant...
Si c'est «l'œuvre» qui est bien la finalité, on s'en sort, mais alors ce n'est pas circulaire mais un perpétuel recommencement.
[...] ça dépend évidemment sous quel angle on se place!
Mais là il y a éventuellement confusion entre «moyen» et «but».
Si ni le talent, ni le gain ne sont une fin en soi, le quantitatif ne peut que s'effacer au profit d'une sorte de «qualitatif subjectif».
L'essentiel est-il là?
Des considérations psychosociologiques actuelles, il y en a une qui a échappé parce qu'elle s'esquive culturellement, c'est:
— l'énorme problème de l'estime de soi chez les «artistes»;
— la maladie intraitable de la société de vouloir à tout prix encadrer ça;
C'est ça le cocktail éventuellement mortel. Ou plutôt lorsque les non-initiés à l'Art, ont un pouvoir qui dépasse leurs attributions artistiques et qu'ils l'exercent contre le «malheureux artiste» (sous forme de censure) qui attend la sentence entre l'abattoir depuis son box ou à l'opposé de se faire propulser au sommet de l'affiche!
Voyez des «téléréalités» genre «Star Academy» prétendument basées sur quelque talent, elles sont le reflet macrocosmique de cette croyance collective globale, bâtie autour d'une illusion de ce que représenterait le monde artistique vu par le citoyen lambda amha (encore que tel que vu dans la mentalité occidentale, mais c'est peut-être encore pire parfois ailleurs... et parfois non, comme au Brésil, ou des artistes comme Hermeto Pascoal, considèrent que l'art ne doit pas se retrouver dans les musées, mais dans tous nos actes de la vie de tous les jours).
Et c'est probablement parce que les «non-initiés» confondent la qualification du talent au premier plan et la valeur intrinsèque de l'œuvre au second, que nait la confusiton! Alors que pour placer l'œuvre en tant que perspective principale, la notion de talent doit aussi s'effacer, amha.
Ahmed a écrit :Au delà des opinions divergentes et opposées, s'exprime, à quelques nuances prêt, une quasi unanimité sur le postulat que le mérite (création artistique ou autre) doive nécessairement être récompensé par de l'argent.
Pas si unanimement (en tout cas ce n'est pas ce que j'aurais voulu en dire, si je m'étais exprimé à ce sujet)
D'ailleurs j'ai bien parlé d'un risque éventuellement mortel (ce n'est donc pas de l'argent... Ou alors, c'est la bourse ou la vie). Mais le débat est néamoins fort intéressant!
Ahmed a écrit :1- je ne vois pas cette nécessité, ou plutôt je ne la vois que trop bien puisque s'inscrivant dans une perspective globale de croyance collective.
C'est une notion qui dépasse l'entendement pour celui qui l'a expérimenté sous différentes formes artistiques! Envers lui, la nécessité ne revet pas la même correspondance sémantique (pas toujours...): car nombreux sont ceux qui font abstraction de tout.
La croyance est une notion péjorative dans ce contexte (et depuis la vague de créationnisme encore pire, mais on s'écarte...).
Pour l'artiste, le créateur (je parle subjectivement: des bons, des vrais, des sincères) l'argent ou le mérite ne sont pas une fin en soi, mais c'est la démarche/recherche/intention artistique, plus que l'œuvre elle-même parfois! Et au moins l'œuvre comme perspective centrale!
Quantifier le «subliminal» avec de l'argent ? Qui pourrait dire ce que ça donnerait? Et vice-versa?
Ahmed a écrit :2- c'est un raisonnement circulaire, j'ai du talent, donc je gagne de l'argent, donc j'ai du talent...
Ça c'est quand le «nouveau management» est passé par là?
On comprend le raisonnement, mais cette échelle est à géométrie variable, puisque qui peut dire que quelqu'un a du talent? Et comment le définir au cas par cas...?
Mission relativement impossible. Par contre, protéger une œuvre, en principe on saurait le faire, sauf qu'on ne l'applique pas.
Et l'explosion d'internet a ratiboisé la création qui est devenue banale (chacun peu publier et exposer à des centaines de mios d'individus, même si personne ne regarde: puisque la création de valeur est perdue au milieux de milliards de bouses...). D'où en partie le niveau de médiocrité actuel? Qui n'était déjà pas bien haut avant...
Si c'est «l'œuvre» qui est bien la finalité, on s'en sort, mais alors ce n'est pas circulaire mais un perpétuel recommencement.
Ahmed a écrit :3- en toute rigueur logique, le talent le plus approprié pour atteindre cet objectif est celui de gagner de l'argent...
[...] ça dépend évidemment sous quel angle on se place!
Mais là il y a éventuellement confusion entre «moyen» et «but».
Ahmed a écrit :On déduit facilement des précédents que le talent, réel ou pas, est second par rapport au primat du gain qui, de toute façon est, dans son abstraction, pur quantitatif.
Il y a donc une (fausse?) naïveté foncière à vouloir estimer le qualitatif en terme de quantitatif...
Si ni le talent, ni le gain ne sont une fin en soi, le quantitatif ne peut que s'effacer au profit d'une sorte de «qualitatif subjectif».
L'essentiel est-il là?
Des considérations psychosociologiques actuelles, il y en a une qui a échappé parce qu'elle s'esquive culturellement, c'est:
— l'énorme problème de l'estime de soi chez les «artistes»;
— la maladie intraitable de la société de vouloir à tout prix encadrer ça;
C'est ça le cocktail éventuellement mortel. Ou plutôt lorsque les non-initiés à l'Art, ont un pouvoir qui dépasse leurs attributions artistiques et qu'ils l'exercent contre le «malheureux artiste» (sous forme de censure) qui attend la sentence entre l'abattoir depuis son box ou à l'opposé de se faire propulser au sommet de l'affiche!
Voyez des «téléréalités» genre «Star Academy» prétendument basées sur quelque talent, elles sont le reflet macrocosmique de cette croyance collective globale, bâtie autour d'une illusion de ce que représenterait le monde artistique vu par le citoyen lambda amha (encore que tel que vu dans la mentalité occidentale, mais c'est peut-être encore pire parfois ailleurs... et parfois non, comme au Brésil, ou des artistes comme Hermeto Pascoal, considèrent que l'art ne doit pas se retrouver dans les musées, mais dans tous nos actes de la vie de tous les jours).
Et c'est probablement parce que les «non-initiés» confondent la qualification du talent au premier plan et la valeur intrinsèque de l'œuvre au second, que nait la confusiton! Alors que pour placer l'œuvre en tant que perspective principale, la notion de talent doit aussi s'effacer, amha.
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
Re: Lettre de Depardieu à Ayrault (fiscalité française)
Remundo a écrit :Tu peux persister, mais ne signe pas...
je persiste et signe :
il suffit de se renseigner aupres de notaires et faire
un bail avec l'exploitant
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2 explications selon lesquelles il serait possible de payer 85% et plus d'impôts:
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Peut-on-payer-85-d-impots-sur-ses-revenus-_NG_-2012-12-17-888878
http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/12/17/l-impossible-calcul-de-l-impot-de-gerard-depardieu_1807490_823448.html
Mais, enfin, Depardieu n'est pas le 1er et ne sera pas le dernier à quitter la France pour des raisons fiscales.
Aznavour était déjà parti en Suisse sous Giscard;
Et, puis la Belgique ( ce n'est pas le cas de la Suisse) fait bien partie de l'Europe ou la circulation des biens et des personnes est assurée: je ne vois donc pas ou est le problème.
Nos politiques ne sont pas non plus de tout reproche quand il s'agit de garnir leur escarcelle:
http://www.politique.net/
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Peut-on-payer-85-d-impots-sur-ses-revenus-_NG_-2012-12-17-888878
http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/12/17/l-impossible-calcul-de-l-impot-de-gerard-depardieu_1807490_823448.html
Mais, enfin, Depardieu n'est pas le 1er et ne sera pas le dernier à quitter la France pour des raisons fiscales.
Aznavour était déjà parti en Suisse sous Giscard;
Et, puis la Belgique ( ce n'est pas le cas de la Suisse) fait bien partie de l'Europe ou la circulation des biens et des personnes est assurée: je ne vois donc pas ou est le problème.
Nos politiques ne sont pas non plus de tout reproche quand il s'agit de garnir leur escarcelle:
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