La voiture à air de G.Negre au journal de FR2
Dans 10 ans, quand la brouette à air comprimé sera enfin prête, on aura, je l'espère, mis au point ceci :
Gaz naturel, méthane ou méthanol -> pile à combustible (rendement 50%) -> supercondensateur -> moteur électrique (80%).
Soit un rendement global de 40% ce qui permettrait de déplacer une tweezy avec moins de 0.5 l/100 de gaz liquéfié (ou encore mieux, de méthanol), et pour un 2 roues électrique, encore beaucoup moins...
Alors, ouais, 40% c'est le rendement d'un diesel ultramoderne en conditions optimales ... mais un diesel puissant (genre 100ch), pas un moteur de 5-10ch qui suffit à déplacer une tweezy ou une brèle, mais qui a un rendement tellement à chier (5%) qu'il consomme autant que la petite volkswagen !
MDI donne un rendement de la prise à la roue de 25%, "oui mais en conditions réelles on a 40% (je demande à voir).
Si on brûle le gaz dans une centrale (60% pour les plus avancées), qu'on distribue l'électricité, etc, à la fin on aura du puits à la roue ... genre, 12% ?
Et si on fait l'électricité avec du charbon, c'est pire.
C'est à chier comme performance. La pile à combustible est une voie largement plus prometteuse, si on parle de technologies à venir. Pour comparer avec des technologies actuelles, le diesel fait déjà mieux.
Donc, je ne pense pas qu'on la voie sortir de sitôt...
Gaz naturel, méthane ou méthanol -> pile à combustible (rendement 50%) -> supercondensateur -> moteur électrique (80%).
Soit un rendement global de 40% ce qui permettrait de déplacer une tweezy avec moins de 0.5 l/100 de gaz liquéfié (ou encore mieux, de méthanol), et pour un 2 roues électrique, encore beaucoup moins...
Alors, ouais, 40% c'est le rendement d'un diesel ultramoderne en conditions optimales ... mais un diesel puissant (genre 100ch), pas un moteur de 5-10ch qui suffit à déplacer une tweezy ou une brèle, mais qui a un rendement tellement à chier (5%) qu'il consomme autant que la petite volkswagen !
MDI donne un rendement de la prise à la roue de 25%, "oui mais en conditions réelles on a 40% (je demande à voir).
Si on brûle le gaz dans une centrale (60% pour les plus avancées), qu'on distribue l'électricité, etc, à la fin on aura du puits à la roue ... genre, 12% ?
Et si on fait l'électricité avec du charbon, c'est pire.
C'est à chier comme performance. La pile à combustible est une voie largement plus prometteuse, si on parle de technologies à venir. Pour comparer avec des technologies actuelles, le diesel fait déjà mieux.
Donc, je ne pense pas qu'on la voie sortir de sitôt...
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chatelot16 a écrit : ......autre niche possible de l'air comprimé : hybridation d'un moteur thermique : utilisation du moteur thermique comme compresseur dans les freinage , et comme moteur a air comprimé , au demarrage , ainsi on ne fait que reutiliser la mecanique deja existante , le systeme ne pese que le reservoir
eh eh ,
ca vient de sortir !
Révélé à la presse aujourdhui méme.
Le secret à bien été gardé, voici une nouvelle fracassante :
PSA Peugeot Citroën lance la bataille des véhicules hybrides low cost
Cette solution à air comprimé innovante serait commercialisée en 2016.
22 Janv 2013 Les Echos
Face à tous les modèles existants ou en projet de voitures hybrides, PSA Peugeot Citroën tente une petite révolution avec « sa » solution : la technologie hybride... à air comprimé. Plus question de greffer un moteur électrique, avec une lourde batterie, sur un moteur thermique, il s'agit cette fois de marier un petit moteur essence à air comprimé. Une voie audacieuse, mais qui fait largement appel à des composants éprouvés. Et qui vise à baisser significativement les prix de revient de ces véhicules. Un défi aux spécialistes du secteur, notamment Toyota, le père de la Yaris.
PSA a développé un concept de véhicule hybride inédit alliant un moteur essence à un moteur à air comprimé, mais sans la traditionnelle batterie électrique. - MONIQUE DUPONT-SAGORIN
Si l'air comprimé était déjà stocké sur les sous-marins dès la Seconde Guerre mondiale, personne ne s'est pour l'instant engagé dans cette technologie en masse dans le monde automobile. Philippe Varin, PDG de PSA, a dévoilé mardi cette nouvelle filière, Hydrid Air, développée dans le plus grand secret avec Bosch, depuis près de deux ans, sur quatre prototypes qui ont déjà accumulé 20.000 kilomètres. En présentant ces travaux, Guillaume Faury, directeur de la recherche de PSA, a affirmé vouloir commercialiser ces premiers véhicules à partir de 2016, sur les deux marques du groupe, bien « qu'il reste à franchir les étapes de l'industrialisation ».
Dès le prochain Salon de Genève, en mars, Peugeot et Citroën dévoileront des premiers modèles équipés de l'« Hybrid Air ». Particulièrement adaptée à des autos des segments B et C et aux utilitaires, cette option pourrait intéresser par exemple les remplaçantes des actuelles Citroën C3 et Peugeot 208. De plus, l'allié General Motors pourrait l'acquérir sur étagère, notamment pour Opel : « Au-delà des projets déjà lancés avec GM, nous allons continuer à regarder des sujets innovants avec eux en 2013, donc les choses sont ouvertes », indique Guillaume Faury.
Hybride low cost ?
Avec sa nouvelle pierre philosophale, PSA ira-t-il jusqu'à inventer l'« hybride low cost » ? Pour l'instant, son but avoué est de développer des modèles émettant environ 70 grammes de CO2 aux 100 kilomètres (pour l'instant, seuls les véhicules 100 % électriques font mieux), consommant 30 % d'essence en moins qu'une version thermique et affichés à moins de 20.000 euros. Alors que sa spécialité actuelle, l'hybride diesel démarre plutôt au-delà de 30.000 euros. Le nouveau projet ne s'adresse donc pas aux mêmes clients et pourrait intéresser, outre l'Europe, les pays émergents comme la Chine.
Convaincu de l'intérêt de la formule, l'Etat a mis la main à la poche, en investissant dès la phase amont du projet, via le Commissariat général à l'investissement (CGI), prenant une minorité de blocage dans une société commune emmenée par PSA (Technoboost). « Cette technologie est robuste, abordable, facile d'entretien, son marché ira bien au-delà de l'Europe », selon Bernd Bohr, dirigeant de Bosch. PSA se refuse à donner une idée de son investissement passé et à venir.
http://www.lesechos.fr/entreprises-sect ... 531049.php
Il faut bien sûr lire 70 grammes de CO2 par kilomètre (un km).
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roy1361 a écrit :moinsdewatt a écrit :... PSA se refuse à donner une idée de son investissement passé et à venir.
C'est très intéressant.
Et on peut rêver que cette nouvelle voiture soit produite en france avec une partie des 8000 "indésirables"...
2016 ça fait loin...
Ça va donner du grain à moudre à Guy Nègre
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Obamot a écrit : ....2016 ça fait loin...
Ça va donner du grain à moudre à Guy Nègre
PSA a du paver le chemin de brevets Européens sur cette affaire.
Ca va étre dur pour Guy Négre et MDI.
Sinon il leur restent la possibilité éventuelle de payer des royalties à PSA pour utiliser les brevets ........
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Ben il aurait du s’arrêter à cette idée...cf: https://www.econologie.com/forums/nouvelle-h ... 12245.html
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moinsdewatt a écrit :Obamot a écrit : ....2016 ça fait loin...
Ça va donner du grain à moudre à Guy Nègre
PSA a du paver le chemin de brevets Européens sur cette affaire.
Ca va étre dur pour Guy Négre et MDI.
Sinon il leur restent la possibilité éventuelle de payer des royalties à PSA pour utiliser les brevets ........
Je ne suis pas sûr que leurs "brevets" soient réellement en concurrence. Il faudrait tout analyser en détail. Leur objet technique n'est pas le même.
Par ailleurs, ne pas donner aux brevets plus d'importance qu'ils n'ont... Si PSA et BOSCH veut faire de la récupération d'énergie cinétique par air comprimé, je ne pense pas qu'ils demanderont la permission à quiconque...
En 2013, il y a un arrière-plan technologique très vaste dans ce domaine technique.
Qu'y a-t-il dans ce véhicule ? Une ou deux bonbonnes d'air comprimé, un peu d'hydraulique, avec une pompe et un moteur (qui auraient pu être réunis en une seule machine réversible)...
Un peu "d'intelligence" dans le pilotage électronique. Là il y a matière à breveter pour un grand groupe.
Mais bon, ce véhicule me "gonfle" par son "brassage de vent" !
Il fera pareil qu'une Prius Hybride Synergy Drive. C'est à dire 0.5L/100km de moins qu'une thermique classique en ville, presqu'aucun gain sur route/autoroute.
C'est un coup médiatique bien plus qu'un progrès technique notable.
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le temps du retrait est venu
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Oui, on peut comprendre que l'on soit remonté contre un tel «coup»!
Qui comme tu le rappelles ne change rien à la problématique de base! Mais est-ce qu'une solution d'un véhicule hybride idéal (donc sans carburant fossile) serait réalisable? Et même vendable en l'état du monde actuel? Si la réponse est "non", alors on peut considérer que cette solution transitoire a le mérite d'exister!
Ainsi, il n'empêche que dans le grand «concert des hybrides», cette solution montre une certaine voie en attendant l'ère des ultraconensateurs au graphène et la sortie des énergies fossiles avec l'avènement de l'efficience énergétique et l'ère du transport tout électrique... C'est aussi la perspective de véhicules moins chers à l'usage et plus facile à entretenir par les utilisateurs (car si la récupération d'énergie tombe en panne, ce n'est pas toute l'électronique qui tombe en rade...) par ailleurs, il faut penser à l'intérêt économique pour les consommateurs ayant peu de moyen! Faire le plein à quand même doublé depuis les années soixante dix... Et surtout l'évolution des mentalités en direction du "choix spontané" des consommateurs — vers des solutions innovantes, n'est hélas pas pour demain — comme vers des véhicules ultralégers, bien que dans un futur proche, de très grande sécurité, puisque ne pouvant plus jamais rentrer en collision, car tous interconnectés entre eux via le GPS (et autre recoupement GSM pour améliorer la précision jusqu'au centimètre) et réactualisés en temps réel grâce à Galileo... (Ce serait déjà possible en l'état actuel des connaissances)
Au fond le problème principal dans la diversification des propulsions, c'est pas le marketing mais l'approvisionnement énergétique disponible de masse et l'approbation (ou non) des consommateurs qui ne sont pas, et de loin pas, entièrement malléables à merci par la pub ...c'est pas un scoop. Dans les solutions encore alternatives:
— pour l'électricité, des projets comme Désertec peinent à voir le jour (alors même qu'on saurait désormais nettoyer les réflecteurs sans la moindre goutte d'eau) à cause de l'islamisme grandissant (contre toute attente) dans les pays musulmans «libérés». Mais qui est surtout une stratégie machiavélique de déstabilisation de la CIA, de toute la zone sud de l'Europe, pour empêcher l'accès à de l'énergie «presque libre», et continuer dans la voie suicidaire actuelle...
— pour l'hydrogène et les piles à combustibles c'est le stand by... Toyota a annoncé il y a deux ans que ce serait "au point" cette année ou au plus tard l'an prochain (je me réjouis de voir ce qu'ils diront au salon de Genève en mars...)
— reste l'endémique problème de la sortie du pétrole (et du chantage qui va avec...) sachant comme aime à le rappeler Ahmed, que ce serait priver l'Amérique d'argent frais pour leur "blanchisseuse" censée laver une partie de leur endettement (à hauteur de la moitié du PIB mondial si l'on en croit Myret Zaki), car le grand bal des pétrodollars finirait par se tarir et le dollars tout court s'effondrer avec (menace pour eux qui risque bien d'arriver sans même que l'on sorte du pétrole...)!
En attendant, il faut développer les gisements des EnR comme le font l'Allemagne et la Suisse, pour essayer de conserver au mieux la sécurité de l'approvisionnement, qui est une problématique autant économique que stratégique et militaire.
Non de bleu, c'est fou ce à quoi peut nous amener la prout-prout de Guy Nègre... c'est fou!
Qui comme tu le rappelles ne change rien à la problématique de base! Mais est-ce qu'une solution d'un véhicule hybride idéal (donc sans carburant fossile) serait réalisable? Et même vendable en l'état du monde actuel? Si la réponse est "non", alors on peut considérer que cette solution transitoire a le mérite d'exister!
Ainsi, il n'empêche que dans le grand «concert des hybrides», cette solution montre une certaine voie en attendant l'ère des ultraconensateurs au graphène et la sortie des énergies fossiles avec l'avènement de l'efficience énergétique et l'ère du transport tout électrique... C'est aussi la perspective de véhicules moins chers à l'usage et plus facile à entretenir par les utilisateurs (car si la récupération d'énergie tombe en panne, ce n'est pas toute l'électronique qui tombe en rade...) par ailleurs, il faut penser à l'intérêt économique pour les consommateurs ayant peu de moyen! Faire le plein à quand même doublé depuis les années soixante dix... Et surtout l'évolution des mentalités en direction du "choix spontané" des consommateurs — vers des solutions innovantes, n'est hélas pas pour demain — comme vers des véhicules ultralégers, bien que dans un futur proche, de très grande sécurité, puisque ne pouvant plus jamais rentrer en collision, car tous interconnectés entre eux via le GPS (et autre recoupement GSM pour améliorer la précision jusqu'au centimètre) et réactualisés en temps réel grâce à Galileo... (Ce serait déjà possible en l'état actuel des connaissances)
Au fond le problème principal dans la diversification des propulsions, c'est pas le marketing mais l'approvisionnement énergétique disponible de masse et l'approbation (ou non) des consommateurs qui ne sont pas, et de loin pas, entièrement malléables à merci par la pub ...c'est pas un scoop. Dans les solutions encore alternatives:
— pour l'électricité, des projets comme Désertec peinent à voir le jour (alors même qu'on saurait désormais nettoyer les réflecteurs sans la moindre goutte d'eau) à cause de l'islamisme grandissant (contre toute attente) dans les pays musulmans «libérés». Mais qui est surtout une stratégie machiavélique de déstabilisation de la CIA, de toute la zone sud de l'Europe, pour empêcher l'accès à de l'énergie «presque libre», et continuer dans la voie suicidaire actuelle...
— pour l'hydrogène et les piles à combustibles c'est le stand by... Toyota a annoncé il y a deux ans que ce serait "au point" cette année ou au plus tard l'an prochain (je me réjouis de voir ce qu'ils diront au salon de Genève en mars...)
— reste l'endémique problème de la sortie du pétrole (et du chantage qui va avec...) sachant comme aime à le rappeler Ahmed, que ce serait priver l'Amérique d'argent frais pour leur "blanchisseuse" censée laver une partie de leur endettement (à hauteur de la moitié du PIB mondial si l'on en croit Myret Zaki), car le grand bal des pétrodollars finirait par se tarir et le dollars tout court s'effondrer avec (menace pour eux qui risque bien d'arriver sans même que l'on sorte du pétrole...)!
En attendant, il faut développer les gisements des EnR comme le font l'Allemagne et la Suisse, pour essayer de conserver au mieux la sécurité de l'approvisionnement, qui est une problématique autant économique que stratégique et militaire.
Non de bleu, c'est fou ce à quoi peut nous amener la prout-prout de Guy Nègre... c'est fou!
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