Chaudière à vaporisation polycombustible
danielj: effectivement avec mon poele passif, je rencontre un problème, le conduit s'obstrue rapidement, j'en déduis une mauvaise combustion.
L'adjonction d'air serait donc la solution?
Je me demande avant d'en arriver là s'il n'y aurait pas une adaptation à faire sur mon poele pour améliorer la combustion...Plus de trous dans le tube d'oxygénation par exemple....
L'adjonction d'air serait donc la solution?
Je me demande avant d'en arriver là s'il n'y aurait pas une adaptation à faire sur mon poele pour améliorer la combustion...Plus de trous dans le tube d'oxygénation par exemple....
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bonjour,
c'est bien, vous avez travailler par la!!
pour yannouk, j'ai vu ton poel, il est bien, mais le système qui fonctionne a dépression, demande beaucoup de tirage est un grand nombres de trou d'arriver d'air, car sa risque de fumer noir est faire des particules!!, essaie de refaire plein de petit trous (3mm) pour turbuler les gaz a l’intérieur est bien oxygéner.
pour danielj, super , on veux des photos!!
c'est bien, vous avez travailler par la!!
pour yannouk, j'ai vu ton poel, il est bien, mais le système qui fonctionne a dépression, demande beaucoup de tirage est un grand nombres de trou d'arriver d'air, car sa risque de fumer noir est faire des particules!!, essaie de refaire plein de petit trous (3mm) pour turbuler les gaz a l’intérieur est bien oxygéner.
pour danielj, super , on veux des photos!!
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pot de vaporisation poly combustible
Danielj le 26-12-2014...... C'est un peu long, mais ça résume des mois d'éssais !
Suite à ma première découverte en 2013 de la vaporisation de l'huile avec Jaques Albert de "ECOTECO" (voir son site) et à l'invention de Marc Feller(céramiste inventeur), j'ai cherché d'autres sites et je suis tombé sur ECONOLOGIE.com et ce blog...(voir à partir de la page15...)
Après de nombreux essais je fais un bilan.
Mon but était de régler tous les problèmes et de dimensionner un pot de vaporisation pour le chauffage de ma maison. Et d'automatiser le fonctionnement.
La maison fait 165m2 et est bien isolée, j'ai un chauffage par le sol à eau chaude TBT alimenté par une chaudière électrique de 8 kw (oui ça suffit !...), je suis dans le Lot et Garonne...
J'ai commencé avec des tests sur un mini pot diam. inter. 63mm et h= 115mm pour voir la faisabilité et tester la puissance brulée en mesurant le débit d'huile consommée par unité de temps soit +- 2,5 kw.
Pression d'air et débit d'air était ma recherche, ainsi que l'automatisation du démarrage. Finalement la pression minimale est faible environ 0.1 bar, mais le débit doit être conforme à la consommation de la flamme pour avoir un volume stœchiométrique et donc une bonne combustion, un bon rendement, et pas de rejets polluants ou toxiques( oui, ça peut).
Donc le nombre de trous dans la canne d'air est à ajuster. J'ai commencé avec des trous de un millimètre, c'est trop juste car il faut augmenter la pression d'air. Finalement je fais des trous de 2 millimètres, mais je crois qu'on peut faire un peu plus gros, sans aller à 6 mm, car là la combustion se dégrade ! (moins d'effet de turbulence).
Je cherche à obtenir une puissance de +- 12 kw. J'ai fait un pot plus grand, de diam inter de 70mm et h= 134mm , je suis arrivé à 7 kw. Je me suis rendu compte que la puissance max est +- proportionnelle au volume du pot.
De plus je remarque une dégradation et une oxydation rapide de la surface extérieure du pot qui monte à 800 ou 900 °C... Va falloir trouver de tuyaux plus épais (ici 3 et 4mm), ou en inox ?.
J'ai récupéré une ancienne chaudière à gaz murale 'thémis 223' de 23 kw. J'ai conservé la pompe eau et l'échangeur en cuivre, j'ai supprimé le bruleur gaz et le crénage qui entourait la flamme( et qui était tapissé d'amiante semble-t-il !).
J'ai fait un carénage en tôle inox de 0,8mm en forme de cône pour canaliser le flux des flammes du pot ver l'échangeur. J'ai fabriqué un dernier pot de diam inter de 108mm ep: 3.5mm, h = 135mm. pour mettre dans cette chaudière.
J'ai alimenté en huile(colza) avec une pompe à fuel de chaudière domestique 50kw, que je fais tourner sans contre-pression, à faible vitesse +- 1 tour seconde. elle est entraînée par une perceuse sans fil à vitesse variable à l'aide d'un jeu de poulies(rapport +- 1/3) car ça tournait trop vite pour la pompe et le couple était insuffisant .
La canne d'air(acier) est en diamètre de 14mm, avec 26 trous de 2mm. Elle est munie d'un té 1/2 pouce à bi-cônes qui me permet d'injecter de l'air ET DU GAZ D'ALLUMAGE pour pouvoir automatiser le démarrage de la chaudière ! Voir les dessins joints.
Un robinet de gaz permet de régler le débit de gaz(un tampon de laine d'acier sur le siège permet un réglage progressif).
Un détendeur gaz à 2,5 bars alimente cet injecteur de gaz, car la pression d'air est supérieure à celle d'un détendeur ordinaire(soit 0.025 bars ou 25milli bars) détendeur prévu au départ pour un désherbeur thermique !
Un générateur d'étincelles piézo récupéré sur la vielle chaudière me permet d'allumer à distance, reste à trouver un générateur(230v) électrique d'étincelles type plaque gaz !
le débit d'air est assuré parfaitement par un moteur-turbine d'aspirateur et son variateur(placé dans un coffre en bois). Un manomètre(classe 1%) mesure la pression d'air.
Une balance mesure le poids d'huile consommé par unité de temps(15mn).
Un thermomètre me permet de mesurer la température d'eau de sortie et d'entrée dans la chaudière, donc de déduire la puissance utile fournie, connaissant le débit d'eau de 20,71 l/mn (eau pesée)...
Un wattmètre mesure la puissance absorbée par le ventilateur.
Le démarrage ce fait de la manière suivante :
1- marche de la pompe eau et du ventilateur, 2- générateur d'étincelles, 3- ouverture gaz propane d'allumage, 4- attente d'une température suffisante du pot (+- 600 °C), 5- arrêt des étincelles, 6- marche de la pompe huile, 7- tempo pour laisser allumer l'huile, 8- arrêt du gaz d'allumage, 9- sécurités de température mini et maxi libérées !
L'arrêt :
1- arrêt de la pompe huile et du ventilateur, 2- arrêt (éventuel) de la pompe eau.
Calculs préliminaires :
Le débit d'eau qui traverse la chaudière est constant et est de 20,71 l/mn( soit de 345,2 gr par secondes), donc pour 1°C de delta t :
1 calorie par seconde = 4,18 joules/seconde(ou watt), correspond à 1gr d'eau élevée de 1°C en 1 seconde. Si le débit est de 345,2 gr/s on a :
Pw = 345,2 x 4,18 = 1443 w par °C. de delta t.
Le PCI de l'huile de colza utilisée ici est de 10397 wh par kg.
Les tests son résumés ci dessous:
Mesures n°1: (pompe huile: +-1 tour en 6 sec.). Bruit présent mais faible.
P.air mini + dérivation air; M.ventil= 200w; Dt = 9,5° - 7,5 = 2 °C ; P1= 1443x2 = 2886 w ; 0,340kgr. huile /h = 10397x0,340 = 3535 w consommé. ; rendement/PCI = 2886/3535 = 82 %.
Mesures n°2: (pompe huile: +-1 tour en 2 sec.). Bruit moyen.
P.air 0,2B ; M.ventil= 310w ; Dt = 13° - 7,5 = 5,5 °C ; P2= 7936 w ; 1,048gr huile /h = 10397x1,048= 10896 w conso. ; rendement/PCI = 7936/10896 = 73 %. (trop d'excès d'air!)
Mesures n°3: (pompe huile: +- 1,1 tour en 1 sec.). Bruit assez fort.
P.air 0,25B ; M.ventil= 420w ; Dt = 16° - 7,5 = 8,5 °C ; P3= 12265 w ; 1,484gr huile /h = 10397x1,484= 15429 w conso. ; rendement/PCI = 12265/15429 = 79,4 %.
Mesures n°4: (pompe huile: +- 2 tours en 1 sec.). Bruit fort.
P.air 0,30B ; M.ventil= 750w ; Dt = 19° - 7,5 = 11,5 °C ; P4= 16594 w ; 1,908gr huile /h = 10397x1,908= 19837 w conso. ; rendement/PCI = 16594/19837 = 85,6 %.
Nota: la mesure de delta t. est peu précise car mon thermomètre est précis au quart de °C seulement...
Le rendement global peut être calculé en tenant compte de la conso. du ventilateur...
Remarque importante, la quantité d'air injectée, doit être ajustée avec attention, car le rendement en dépend beaucoup. Trop d'air : le rendement baisse beaucoup; manque d'air : baisse du rendement, imbrulés, gaz très toxiques dans les fumées ! Danger !
L'évaluation du bruit est importante, et il apparaît qu'il faudra faire une chaufferie à l'extérieur de la maison, car le niveau sonore est trop important au maxi !
Reste à inventer un schéma élec. pour gérer tout ça en automatique !
Voir les dessins et photos ci-après...
Les vidéos vont suivre !
Bon réveillon
Suite à ma première découverte en 2013 de la vaporisation de l'huile avec Jaques Albert de "ECOTECO" (voir son site) et à l'invention de Marc Feller(céramiste inventeur), j'ai cherché d'autres sites et je suis tombé sur ECONOLOGIE.com et ce blog...(voir à partir de la page15...)
Après de nombreux essais je fais un bilan.
Mon but était de régler tous les problèmes et de dimensionner un pot de vaporisation pour le chauffage de ma maison. Et d'automatiser le fonctionnement.
La maison fait 165m2 et est bien isolée, j'ai un chauffage par le sol à eau chaude TBT alimenté par une chaudière électrique de 8 kw (oui ça suffit !...), je suis dans le Lot et Garonne...
J'ai commencé avec des tests sur un mini pot diam. inter. 63mm et h= 115mm pour voir la faisabilité et tester la puissance brulée en mesurant le débit d'huile consommée par unité de temps soit +- 2,5 kw.
Pression d'air et débit d'air était ma recherche, ainsi que l'automatisation du démarrage. Finalement la pression minimale est faible environ 0.1 bar, mais le débit doit être conforme à la consommation de la flamme pour avoir un volume stœchiométrique et donc une bonne combustion, un bon rendement, et pas de rejets polluants ou toxiques( oui, ça peut).
Donc le nombre de trous dans la canne d'air est à ajuster. J'ai commencé avec des trous de un millimètre, c'est trop juste car il faut augmenter la pression d'air. Finalement je fais des trous de 2 millimètres, mais je crois qu'on peut faire un peu plus gros, sans aller à 6 mm, car là la combustion se dégrade ! (moins d'effet de turbulence).
Je cherche à obtenir une puissance de +- 12 kw. J'ai fait un pot plus grand, de diam inter de 70mm et h= 134mm , je suis arrivé à 7 kw. Je me suis rendu compte que la puissance max est +- proportionnelle au volume du pot.
De plus je remarque une dégradation et une oxydation rapide de la surface extérieure du pot qui monte à 800 ou 900 °C... Va falloir trouver de tuyaux plus épais (ici 3 et 4mm), ou en inox ?.
J'ai récupéré une ancienne chaudière à gaz murale 'thémis 223' de 23 kw. J'ai conservé la pompe eau et l'échangeur en cuivre, j'ai supprimé le bruleur gaz et le crénage qui entourait la flamme( et qui était tapissé d'amiante semble-t-il !).
J'ai fait un carénage en tôle inox de 0,8mm en forme de cône pour canaliser le flux des flammes du pot ver l'échangeur. J'ai fabriqué un dernier pot de diam inter de 108mm ep: 3.5mm, h = 135mm. pour mettre dans cette chaudière.
J'ai alimenté en huile(colza) avec une pompe à fuel de chaudière domestique 50kw, que je fais tourner sans contre-pression, à faible vitesse +- 1 tour seconde. elle est entraînée par une perceuse sans fil à vitesse variable à l'aide d'un jeu de poulies(rapport +- 1/3) car ça tournait trop vite pour la pompe et le couple était insuffisant .
La canne d'air(acier) est en diamètre de 14mm, avec 26 trous de 2mm. Elle est munie d'un té 1/2 pouce à bi-cônes qui me permet d'injecter de l'air ET DU GAZ D'ALLUMAGE pour pouvoir automatiser le démarrage de la chaudière ! Voir les dessins joints.
Un robinet de gaz permet de régler le débit de gaz(un tampon de laine d'acier sur le siège permet un réglage progressif).
Un détendeur gaz à 2,5 bars alimente cet injecteur de gaz, car la pression d'air est supérieure à celle d'un détendeur ordinaire(soit 0.025 bars ou 25milli bars) détendeur prévu au départ pour un désherbeur thermique !
Un générateur d'étincelles piézo récupéré sur la vielle chaudière me permet d'allumer à distance, reste à trouver un générateur(230v) électrique d'étincelles type plaque gaz !
le débit d'air est assuré parfaitement par un moteur-turbine d'aspirateur et son variateur(placé dans un coffre en bois). Un manomètre(classe 1%) mesure la pression d'air.
Une balance mesure le poids d'huile consommé par unité de temps(15mn).
Un thermomètre me permet de mesurer la température d'eau de sortie et d'entrée dans la chaudière, donc de déduire la puissance utile fournie, connaissant le débit d'eau de 20,71 l/mn (eau pesée)...
Un wattmètre mesure la puissance absorbée par le ventilateur.
Le démarrage ce fait de la manière suivante :
1- marche de la pompe eau et du ventilateur, 2- générateur d'étincelles, 3- ouverture gaz propane d'allumage, 4- attente d'une température suffisante du pot (+- 600 °C), 5- arrêt des étincelles, 6- marche de la pompe huile, 7- tempo pour laisser allumer l'huile, 8- arrêt du gaz d'allumage, 9- sécurités de température mini et maxi libérées !
L'arrêt :
1- arrêt de la pompe huile et du ventilateur, 2- arrêt (éventuel) de la pompe eau.
Calculs préliminaires :
Le débit d'eau qui traverse la chaudière est constant et est de 20,71 l/mn( soit de 345,2 gr par secondes), donc pour 1°C de delta t :
1 calorie par seconde = 4,18 joules/seconde(ou watt), correspond à 1gr d'eau élevée de 1°C en 1 seconde. Si le débit est de 345,2 gr/s on a :
Pw = 345,2 x 4,18 = 1443 w par °C. de delta t.
Le PCI de l'huile de colza utilisée ici est de 10397 wh par kg.
Les tests son résumés ci dessous:
Mesures n°1: (pompe huile: +-1 tour en 6 sec.). Bruit présent mais faible.
P.air mini + dérivation air; M.ventil= 200w; Dt = 9,5° - 7,5 = 2 °C ; P1= 1443x2 = 2886 w ; 0,340kgr. huile /h = 10397x0,340 = 3535 w consommé. ; rendement/PCI = 2886/3535 = 82 %.
Mesures n°2: (pompe huile: +-1 tour en 2 sec.). Bruit moyen.
P.air 0,2B ; M.ventil= 310w ; Dt = 13° - 7,5 = 5,5 °C ; P2= 7936 w ; 1,048gr huile /h = 10397x1,048= 10896 w conso. ; rendement/PCI = 7936/10896 = 73 %. (trop d'excès d'air!)
Mesures n°3: (pompe huile: +- 1,1 tour en 1 sec.). Bruit assez fort.
P.air 0,25B ; M.ventil= 420w ; Dt = 16° - 7,5 = 8,5 °C ; P3= 12265 w ; 1,484gr huile /h = 10397x1,484= 15429 w conso. ; rendement/PCI = 12265/15429 = 79,4 %.
Mesures n°4: (pompe huile: +- 2 tours en 1 sec.). Bruit fort.
P.air 0,30B ; M.ventil= 750w ; Dt = 19° - 7,5 = 11,5 °C ; P4= 16594 w ; 1,908gr huile /h = 10397x1,908= 19837 w conso. ; rendement/PCI = 16594/19837 = 85,6 %.
Nota: la mesure de delta t. est peu précise car mon thermomètre est précis au quart de °C seulement...
Le rendement global peut être calculé en tenant compte de la conso. du ventilateur...
Remarque importante, la quantité d'air injectée, doit être ajustée avec attention, car le rendement en dépend beaucoup. Trop d'air : le rendement baisse beaucoup; manque d'air : baisse du rendement, imbrulés, gaz très toxiques dans les fumées ! Danger !
L'évaluation du bruit est importante, et il apparaît qu'il faudra faire une chaufferie à l'extérieur de la maison, car le niveau sonore est trop important au maxi !
Reste à inventer un schéma élec. pour gérer tout ça en automatique !
Voir les dessins et photos ci-après...
Les vidéos vont suivre !
Bon réveillon
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pot de vaporisation poly combustible
Vidéo 1 démarrage chaudière
http://www.dailymotion.com/video/x2dmzqi_demarrage_tech
http://www.dailymotion.com/video/x2dmzqi_demarrage_tech
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