The Venus Project

[Ahmed]

Je pense qu'elle a raison et que seule une démarche collective possède un sens, indépendamment du contenu intrinsèque (qui a évidemment aussi son importance!). L'individuation ne peut s'effectuer qu'à l'intérieur d'un groupe.
Dans une perspective d'effondrement systémique, l'appartenance à un ou des réseaux, fussent-ils informels et pas forcément orientés strictement vers ces préoccupations (mais à plus forte raison s'ils le sont) est essentielle.

[janic]

Pour la viande, nous en mangeons peu, et du bio.

C'est déjà beaucoup!

Par contre, l'abandon total est difficile, il faut calculer les apports en protéine etc.

Je ne puis me prononcer sur les difficultés réelles ou subjectives d'un abandon (c'est comme pour la cigarette ou l'alcool, la difficulté n'est qu'apparente et d'ordre mental)
Pour les protéines, il ne faut pas se laisser piéger par ce discours distillé par les marchands de bidoche par des "spécialistes" aux ordres bien conformés dans les universités. Vois la vache dans son champ, elle ne fait pas de calculs de protéines ou l'éléphant dans sa savane et dans ces deux cas, non limitatifs, il y a de la viande en pagaille: où trouvent-ils leurs protéines?

Ma femme n'y verrait pas de problème, mais j'aime le gout de la viande (je ne mange ni poissons ni crustacés).

Il faut distinguer le goût de la viande elle même, de la préparation culinaire dont les accommodements changent fondamentalement le goût du produit initial. Essaie de manger un morceau cru, directement, sans artifices (sans couteau par exemple) et la réponse se trouvera dans ta perception de ce goût et moyens véritables.
Sinon tu es sur une "bonne" voie.