Le végétalisme comme thérapeutique

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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par janic » 27/10/15, 20:26

ce soir sur France 5 dans C dans l'air sur "la viande et le cancer" Evidemment avec des pro bidoche, même moindrement consommée. et de même sur France 2 à 20h45: "les pouvoirs extraordinaires du corps humain" avec comparaison entre pathologies occidentales et orientales.
et à l'instant sur le journal de France 2 sur le crudisme et l''interview d'une "nutritionniste" qui ferait se tordre de rire n'importe quel biologiste. C'est ça les médias!
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angelosa
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par angelosa » 20/11/15, 09:53

Bonjour a tous, la vie c'est comme si on était tombe dans une rivière, il y a ceux qui veulent absolument rejoindre l'endroit ou ils sont tombes, s'épuisent et se noient et ceux qui se laissent emporter par le courant en attendant de rejoindre une rive pour sortir. Il faut aussi éviter les conclusions hâtives, a l'école on me donnait l'exemple de la sauterelle, vous lui enlevez une patte et lui dites de sauter, il faut crier pour qu'elle saute, vous lui enlevez les 2 pattes et lui criez de sauter elle ne saute pas, conclusion elle est devenue sourde.
La vie c'est comme un rêve, tout ce que vous savez dans votre rêve, vous l'avez appris a l'état éveille mais le personnage de votre rêve ne se pose meme pas la question d'ou vient tout ce qu'il sait. Et bien de votre vivant vous savez énormément de choses mais ignorez que vous le savez (parce qu'il y a des gens qui ont intérêt a ce que vous l'ignoriez) au point que parfois vous essayez de découvrir scientifiquement analyses a l'appui la nourriture qui est bonne pour vous. Ne vous fatiguez pas, votre instinct est la, écoutez la personne qui est en train de dormir et rever votre vie.
Depuis tout petit, j'ai compris qu'il faut regarder autour de soi et que la réponse est devant nos yeux par exemple aucun animal ne s'habille, aucun animal mange cuit, aucun animal cuisine, aucun animal ne se nourrit d'extrait de plantes (ils ne mangent pas le jus mais le fruit, il n'enlèvent la peau que des fruits qui semblent prévus pour, oranges, bananes ...) Donc ne vous laissez pas entrainer par la foule, observez, choisissez par vous meme, promenez vous dans la nature, aimez la, respectez la, elle vit comme vous et veut vous faire plaisir, gouttez les plantes de votre jardin y compris les plantes sauvages, votre envie vous guidera vers ce qui est bon pour vous. Si vous aimez la nature, vous n'aurez pas envie de cuire ce qui a été crée parfait pour vous. Bien sur n'allons pas d'un extreme a l'autre par exemple le matin je mets dans une poêle des legumes coupes en petits morceaux et je casse un ou 2 œufs dessus puis mets un couvercle transparent le tout a feu doux le temps que je me rase, des que le blanc est presque cuit je sers. Les legumes ont garde leur craquant, parfum et couleur et je peux manger les œufs sans m'en mettre de partout (non gluant) quand je vais au resto une fois par semaine, ou quand je suis invite je mange comme tout le monde (mal) mais ce n'est pas grave car je donne a mon corps une semaine pour faire le ménage. Par contre si ca fait de nombreuses années que vous vous nourrissez mal et que vous décidiez de changer pour une nourriture plus saine sans additifs ni médicaments, il est impératif de faire un nettoyage du foie pour le débarrasser des calculs gros comme des petits pois.(vous serez surpris)
Ne suivez rien aveuglement, votre instinct vous dira ce qui est bon dans chaque regime, religion, livre, protocole thérapeutique ...
N'oubliez pas la lumière source de vie, nos dirigeants ne veulent pas que vous profitiez des bienfaits du soleil en nous obligeant a nous habiller et en nous disant que c'est cancérigène afin atrophier notre glande pinéale et de nous priver de vitamine D.
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Obamot
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par Obamot » 20/11/15, 12:59

D'abord bravo, c'est très poétique. Et en effet, la notion du plaisir est primordiale...

Question: qu'est-ce qu'une "nourriture plus saine" pour Angelosa?

Parce qu'en "seconde lecture" on note quand même quelques mélanges.
Si j'ai du plaisir à me gaver de hamburgers frites et ketchup agrémenté de coca "parce que mon instinct me dit que c'est bon pour moi", est-ce que c'est ça que je dois/peux manger? Je veux dire: pour rester en bonne santé? Pas vraiment, de nombreuses études attestent que les personnes carencées à lourdement carencées perdent cet instinct et sont paradoxalement plus volontier "attirées par ce qui les détruit" (comme les diabétique par le sucre, ou les alcooliques par le vin ou les spiritueux). On ne peut donc fixer de règle dans ce sens là, il faut aussi avoir un peu de jugeote.

Ensuite, les œufs cuisinés ne sont pas spécialement bons pour le foie, puisque c'est le contraire! Seuls les œufs pochés (cuits à l'eau mais encore mollets) ne sont pas nocifs. Et ça reste dans la classe des produits animaux (je ne suis pas "ultra" donc pas contre pour les œufs...)

Enfin une légère contradiction se détache, on je peut pas clamer le plaisir pour ensuite parler de "régime" (puisque ceci implique effort et privation.) Donc j'irai même plus loin, c'est un mot a bannir du vocabulaire de la diététique, non sans avoir étudié ce qu'il vaudrait bien manger pour ne pas être carencé.

Pour le soleil ce n'est pas un problème, une exposition modérée 1 ou 2 heures, peut suffire à faire le plein de vitamine D pour six mois... Donc en effet il ne faut pas craindre s'exposer au lever ou au coucher du soleil mais pas besoin de se faire rôtir (et se protéger lorsqu'il est à son apogée, lorsque "ça tape", et éviter les coups de soleil c'est certain.)

Pour l'aspect "religion", flanqué comme ça sans explication, désolé c'est trop perso, je n'adhère pas du tout (même si il est sûrement fondé d'en parler s'agissant de traditions culturelles et de règles de santé et d'hygiène de vie que l'on trouve en effet dans certains textes sacrés, mais ces conseils ne sont pas spécifiques à ceux qui font religion de foi, on ne peut donc mettre ça à toutes les sauces sans connaître les tenants et aboutissants — d'ailleurs relativement à ça — les conseils de Angelosa semblent peut être une adaptation à des goûts perso mais un peu douteux sur le plan nutritionnel, désolé).

Mais 100% d'accord pour que chacun choisisse par lui-même (pour finir sur une note positive)
Crdt.
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”

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par janic » 20/11/15, 15:08

bonjour
Oui! ca ressemble à du VGR crudiste ou cru /cuit teinté d'instincto avec bien sur quelques contradictions: mais qui n'en pas?
obamot, je nuancerais (selon mon avis) ton propos
Pas vraiment, de nombreuses études attestent que les personnes carencées à lourdement carencées perdent cet instinct et sont paradoxalement plus volontier "attirées par ce qui les détruit" (comme les diabétique par le sucre, ou les alcooliques par le vin ou les spiritueux).
Ce type de comportement n’existe que lorsque l’ensemble des conditions qui ont conduit à ces carences sont maintenues. Donc l’instinct ne pas agir évidemment. Pour l’éviter il faut créer une rupture plus ou moins brutale pour redonner aux fonctions déficientes la possibilité (quand il n’y a pas irréversibilité) de se rétablir. Par le jeûne progressif ou brutal selon les circonstances (en automobile on appelle cela de la réinitialisation) et autres thérapies douces.
Pour le sucre : il y a sucre et sucre (et donc sucré) qui nourrissent ou pas un diabète. Pour l’alcool (un peu de sémantique) est alcoolique tout consommateur, indépendamment de la quantité, de ce produit. La nuance vient de la dépendance ou pas que cela va engendrer, laquelle est indépendante de la qualité de drogue destructrice qui le concerne.

Un autre point (mais c’est du commentaire pas une accusation) :
quand je vais au resto une fois par semaine, ou quand je suis invite je mange comme tout le monde (mal) mais ce n'est pas grave car je donne a mon corps une semaine pour faire le ménage.

C’est comme dire : je me donne chaque semaine un coup de marteau sur le doigt, mais c’est pas grave car je donne a mon corps une semaine pour faire le réparer.
C’est de l’autojustification non nécessaire puisque chacun est libre d’assumer ses choix. Mais dans l’ensemble ce n’est pas si mauvais que ça (si on le replace dans le cadre d’un domaine que peu de personnes explorent) !
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angelosa
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par angelosa » 21/11/15, 10:16

Bonjour et merci pour vos commentaires.
Je fais quelques tris dans la nourriture, je ne mange pas de produits laitiers que j'adore, j'evite le gluten en faisant du pain de mais, je ne mange pas de produits industriels (ceux ou il est note "ingrédients"), quand je dis que je vais au resto, c'est ici au Portugal dans un petit resto ou on nous sert un repas familial, soupe puis viande ou poisson avec legumes du jardin, vin, cafe pour 5,5 euros, les repas chez les amis ca se passe chez les voisins ici a la campagne ou on ne mange que ce qu'on produit donc quand je dis que je mange "mal" c'est juste parce qu'il y a de la viande que je ne mange plus a la maison a part les œufs que je fais cuire poses sur mes legumes et donc a la vapeur douce.
Bien sur je ne peux pas dans un petit message improvise, écrire tout ce qu'il faut faire pour être en bonne sante, le but était de faire profiter de mon expérience, donner des idées et ouvrir la porte a vos commentaires. Je souhaite a tous une bonne sante physique et morale.
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Re: Le végétalisme comme thérapeutique




par janic » 06/12/19, 11:23



A 6mn
Et maintenant on va parler de la vit B12(…) réserve qui est disponible pour environ 3 ans(…) 7’11’’
« on ne la retrouve naturellement que dans les produits d’origine animale, on aura beau dire, on aura beau faire, il n’existe pas d’autre source en dehors d’un supplémentation médicale ou industrielle de certains aliments. Tous les régimes excluant tout produit d’origine animale s’expose donc au risque de carence comme le régime végétalien, mais !!!! notre société propose des aliments enrichis en vit B12 , et il est relativement facile de s’en faire prescrire dans le milieu médical. Un adulte en bonne santé qui décide d’exclure tout produit animal de son alimentation et qui fait les choses intelligemment n’est pas carencé en vitB12.
Donc dans notre société actuelle, de ce point de vue là ça ne pose aucun problème de se nourrir de produits d’origine animale, dans la nature c’est une autre histoire maintenant ce dossier est clos
en dehors d’un supplémentation médicale ou industrielle de certains aliments. Tous les régimes excluant tout produit d’origine animale s’expose donc au risque de carence comme le régime végétalien, mais !!!! notre société propose des aliments enrichis en vit B12 , et il est relativement facile de s’en faire prescrire dans le milieu médical. Un adulte en bonne santé qui décide d’exclure tout produit animal de son alimentation et qui fait les choses intelligemment n’est pas carencé en vitB12.
Donc dans notre société actuelle, de ce point de vue là ça ne pose aucun problème de se nourrir de produits d’origine animale, dans la nature c’est une autre histoire maintenant ce dossier est clos


j'apprécie ses interventions, souvent claires et précises, quant il connait bien ses sujets, mais là comme pour les vaccins(mais nul n'est parfait) il marche à coté de ses pompes et particulièrement concernant les parties en gras. manifestement il ne connait personne VGL ne se supplémentant pas, ce qui annule son discours pompé chez les industriels de la bidoche et répété à l'envi.

on ne la retrouve naturellement que dans les produits d’origine animale, on aura beau dire, on aura beau faire, il n’existe pas d’autre source (...)
comment concilie-t-il son affirmation avec la réalité?
Je n'ai plus consommé de produits d'origine animale depuis 5 décennies, ma femme aussi(pour me limiter à ce seul cercle restreint, mais bien plus large en vérité) soit 16 fois plus longtemps que dans son discours! Mes enfants jusqu'à leur mariage non plus , c'est à dire sans aucun produit d'origine animale après l'allaitement maternel, uniquement en bio et sans aucun ajout de B12.

Donc dans notre société actuelle, de ce point de vue là ça ne pose aucun problème de se nourrir de produits d’origine animale, dans la nature c’est une autre histoire maintenant ce dossier est clos

Ce qui confirme, comme le font les vegans,[*] qu'hors de la vit B12 de supplémentation, aucun salut possible. malgré les références médicales et diététiques qu'ils utilisent.

[*] vegan et VGL sont deux catégories alimentaires bien distinctes.
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Re: Le végétalisme comme thérapeutique




par GuyGadebois » 10/12/19, 16:41

Si vous refusez obstinément la supplémentation, vous faites un pari qu'un grand nombre de végétaliens ont perdu avant vous. Bien sûr, vous êtes libres et rien ne prouve que vous ne serez pas une rare exception. Mais dans le présent, la majorité de ceux tentent cet exploit se conduisent à l'échec⁷, très souvent après des années sans le moindre symptôme.

Or il est très risqué de jouer au hasard avec la B12 parce que une carence avancée peut occasionner des symptômes neurologiques graves et des séquelles permanentes. Il est également difficile d'anticiper cette carence car elle se développe silencieusement au fil des mois ou des années. De plus, ses symptômes peuvent être masqués par la vitamine B9, elle-même omni-présente dans les verdures, avant d'évoluer jusqu'à son stade avancé. Plus pernicieux encore, une carence en vitamine B12 bloque l'assimilation... de la vitamine B12.

Si vous pensez ne pas avoir besoin de supplémentation avec vos choix de vie actuels, il est possible au moins de le vérifier périodiquement en demandant un test à son médecin. Le test généralement considéré comme étant le plus fiable est le test MMA¹³.

http://vegecru.com/vitamine-b12
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Re: Le végétalisme comme thérapeutique




par janic » 10/12/19, 20:03

http://vegecru.com/vitamine-b12
Grand classique des vegans qui recrutent de nouveaux adeptes sur l’aspect sentimental, affectif, qu’ils appellent éthique(sic) mais exceptionnellement à partir de connaissances en physiologie et diététique.
Si vous refusez obstinément la supplémentation, vous faites un pari qu'un grand nombre de végétaliens ont perdu avant vous.
Exemple impossible à démontrer justement. Leur littérature se réfère au site américain gouv. Qui peine à trouver sur une population de centaines de millions d’américains et en trouve tout juste 10 sur 10 ans et avec ce commentaire que 2 femmes VG enceintes en manquaient, mais que le majorité des cas de carences de B12 se retrouvaient surtout chez les personnes âgées non VG.
Bien sûr, vous êtes libres et rien ne prouve que vous ne serez pas une rare exception.
Toujours du même genre ! Leur littérature insiste sur le fait que le stock de B12 dans un organisme ne peut satisfaire les besoins au-delà de 3 ans, quelques fois 5 ans, sans apport extérieur, et lorsque je leur ai demandé des références sérieuses qu’au-delà de cette période, il était impossible de vivre sans cet apport, pas un (une) n’a pu y répondre, sinon se référer à leur site vegan!
Or tout leur discours leur est fourni par l’industrie de la bidoche qui a envahi la littérature sur ce sujet et auxquelles ils se réfèrent(pourquoi ne se réfèrent-ils pas jusqu’au bout de leur logique qui affirme que l’homme étant omnivore il ne peut pas survivre sans ?) et ce n’est pas leur seule contradiction( même si l’intention est louable)
Mais dans le présent, la majorité de ceux tentent cet exploit se conduisent à l'échec⁷, très souvent après des années sans le moindre symptôme.
On ne peut dire "après des années", il faut une durée maximale chiffrée, donnée par ce même corps médical( de bidocheurs)
Or il est très risqué de jouer au hasard avec la B12 parce que une carence avancée peut occasionner des symptômes neurologiques graves et des séquelles permanentes. Il est également difficile d'anticiper cette carence car elle se développe silencieusement au fil des mois ou des années. De plus, ses symptômes peuvent être masqués par la vitamine B9, elle-même omni-présente dans les verdures, avant d'évoluer jusqu'à son stade avancé. Plus pernicieux encore, une carence en vitamine B12 bloque l'assimilation... de la vitamine B12.
Rediscours non référencé comme le reste.
Si vous pensez ne pas avoir besoin de supplémentation avec vos choix de vie actuels, il est possible au moins de le vérifier périodiquement en demandant un test à son médecin. Le test généralement considéré comme étant le plus fiable est le test MMA¹³.
Ne serait-ce pas justement de l’autopromotion de leurs usines de production de B12, par manipulation génétique, après avoir été de synthèse chimique.
Pour autant leur dernière recommandation est pleine de bon sens, théorique, car généralement ils poussent leurs adhérents à en consommer sans avoir testé leur stock de B12 et les voilà obligés d'en consommer toute leur vie, une fois le doigt pris dans l'engrenage.
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Re: Le végétalisme comme thérapeutique




par GuyGadebois » 10/12/19, 20:56

Je te signale, au cas où, que le site est pro vegan à fond, qu'ils sont documentés et de bons conseils. Après, si tu veux continuer à jouer les tètes de con genre "je sais tout, j'ai tout compris, ça fait 50 ans que j'ai pas bouffé de trucs animaux, gnagna", libre à toi, j'en ai rien à cirer. Tu peux crever la bouche ouverte dans le caniveau demain, je te connais pas, je te pleurerai pas. Mais laisse-moi te dire que ta prétention, ta suffisance et ta vanité sont tes pires ennemis. Alors fais gaffe quand même.
Ps: Mis à part "toi, tonself et you" quelles sont tes références? Je dis ça parce que les symptômes et résultantes des carences en vitamine B12 sont référencées, étudiées, vérifiées, validées et qu'on retrouve les mêmes infos partout, que ce soit chez les végans ou chez les "autres" (salauds de viandards). Alors mis à part quelques fakirs extrémistes débiles dans ton genre (qui se rassurent en se regardant penser et écrire), personne ne viendra polémiquer sur les propriétés et les vertus INDISPENSABLES de cette vitamine.

D'ailleurs (comme par hasard), tu possèdes certains symptômes décrits ci-dessous, à toi de reconnaître lesquels (ou pas):

La carence en vitamine B12 touche de si nombreux processus métaboliques que les symptômes peuvent être remarquablement divers :

langue irritée ou dégradée ;
diarrhée ;
anorexie ;
douleurs dorsales et dans les membres ;
anémie ;
alopécie ;
perte d’énergie ;
essoufflement ;
palpitations ;
tachycardie ;
dégradation du système nerveux ;
fourmillements (courants chez les véganes non complémentés) ;
engourdissements (début de paralysie) ;
perte de sensibilité à la douleur et à la pression (début de paralysie) ;
paralysie partielle ou totale (mains, pieds puis le reste) ;
vision floue et cécité progressive ;
surdité progressive ;
démarche anormale ;
mémoire défaillante ;
hallucinations ;
paranoïa, irritabilité, changement de personnalité ;
confusion ;
dépression ;
perte de sommeil ;
démence ;
effondrement des défenses immunitaires, etc.

https://www.vivelab12.fr/la-carence-en-b12/
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Re: Le végétalisme comme thérapeutique




par Jérôme » 10/12/19, 22:56

janic a écrit :Grand classique des vegans qui recrutent de nouveaux adeptes sur l’aspect sentimental, affectif, qu’ils appellent éthique(sic)

C'est toujours plus éthique que de conseiller aux gens de ne pas se supplémenter en B12.
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