Hélas, les choses se sont bousculées.
J'ai esquissé avec vous une "démarche" dans l'idée d'une auto-édition (ou de finaliser un manuscrit en vue de démarcher un éditeur avec un produit fini, "léché").
Et puis, par chance, cela n'a pas tourné comme ça :
- août, retour de vacances, un commentaire sur Youtube : "Je suis éditrice, comment je peux vous contacter ?"
- contact téléphonique : je pose mes exigences (un livre où j'explique mais pas où je donne des recettes toutes faites - genre l'autre) ; c'est accepté ; on se met d'accord sur un format (250 000 signes), mais avec un timing : les livres sur la jardinage sortent en février. J'ai donc jusqu'au 15 octobre, délai étendu ensuite au 30 octobre, pour remettre le manuscrit [pour cette raison, une bonne partie de mes vacances en Crète, bookées avec mon épouse, se sont passées sur le clavier du portable sous un olivier !]
- je me vois contrainte de reformater gravement ce que j'avais déjà écrit durant l'hiver 2016-2017 et que j'avais fait lire à certains (en janvier 2017, devant la taille que prenait le brouillon, j'en étais resté aux deux livres-jumeaux) ; il est clair qu'aucun éditeur ne va éditer en même temps deux livres d'un inconnu !
- j'arrive tout juste à boucler dans le délai (pdf envoyé le 30 à 23 h !), faire lire à mon entourage pour dépister les premiers bugs, tics de langage, etc...
- ensuite, ce seront des navettes techniques : mise en page, corrections - re-corrections (la dernière interviendra le matin du jour où le manuscrit est parti chez l'éditeur)
- à noter : aucun modif du texte à la demande de l'éditeur, que des corrections de français et la demande d'expliciter deux passages qui n'étaient pas suffisamment clairs...
- à noter, l'éditeur accepte de publier les 490 000 signes (après envoi de mon pdf, je n'ai pas eu de nouvelles pendant plus de 2 semaines ; j'avais fini par être persuadé que cela avait filé à la poubelle !)
Donc non, ce sera ma seule et entière responsabilité.