Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue

Agriculture et sols. Pollution, contrôles, dépollution des sols, humus et nouvelles techniques agricoles.
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Adrien (ex-nico239)
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Adrien (ex-nico239) » 25/01/19, 16:11

pheno37 a écrit :Bonjour.
Que pensez-vous de la technique du semis en bouteille?


Je trouve cela super pour le côté PRATIQUE.

J'en ai fait l'an dernier mais comme d'habitude dans de mauvaises conditions ... (d'attention et de vigilance).

Pratique car la bouteille protège peu que peu
Tu peux recouvrir facilement d'un voile
C'est facilement transportable
Pas besoin de beaucoup se prendre la tête à arroser si tu mets un bon lit de gravier de plusieurs cm que tu remplis d'eau.
Ça protège des bestioles si tu les sors
Du froid également
Pour planter hop un coup de ciseaux au cul de la bouteille, les graviers virent et tu poses directement au sol bien calé par du foin
Tu te passes du repiquage en godet intermédiaire puisque le contenant est grand à l'origine
Donc je trouve que cela donne plutôt moins de travail que planche de semis plus transplant dans godets de 9 comme cette année

Ça fait déjà pas mal :wink:

En 2020, normalement, j'aurai du temps et je pense que je me ferai mes semis comme cela... à suivre
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stylo67
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par stylo67 » 25/01/19, 19:41

Lettre parue sur le blog de Mr Gatineau publié sur son site lejardinvivant.fr

Pour l’instant, toutes les lettres que j’ai adressées aux différents présidents, comme à M. Hollande en 2016, ou aux présidentiables de 2017, ou aux différents ministres concernés, toutes, sans exception, sont restées lettre morte.

Christophe Gatineau
Cultivateur limousin, agronome,
et auteur d’un Éloge du ver de terre.
http://sosweetplanet.com/podcast-eloge- ... -gatineau/

Lettre à M. Emmanuel Macron

Objet : Le ver de terre est en urgence absolue

Monsieur le Président,

Il y a urgence, le temps presse, les vers de terre disparaissent, et avec eux, les sols nourriciers.

Pour résumer, les vers de terre nourrissent les sols, et les sols nourrissent les plantes qui nous nourrissent ; ou nourrissent les animaux que nous mangeons. Et si dans la Nature, comme dans la vie, personne n’est irremplaçable, aucune technologie ou bestiole ne peut remplacer le travail de ces animaux. Un fait rare, exceptionnel, en opposition avec celui de l’abeille à miel, puisque, rien qu’en France, un insecte sur 4 est un pollinisateur, 10 000 pollinisent dont 1 000 espèces d’abeilles !

Plaidoyer
À l’image du cycle de l’eau, c’est un cercle vertueux, un échange de bons procédés où chacun nourrit l’autre. Raison pour laquelle le ver de terre a toujours été le partenaire ancestral de l’agriculteur, son abondance signant la fertilité et la bonne santé des sols. Et plus une terre est fertile, plus elle est productive, plus notre nourriture est saine et riche.

Sans l’ombre d’un doute, le fond de ma lettre concerne donc l’alimentation de demain. Et ma requête doit être prise dans ce sens, car, même si pour l’heure, les rayons de nos supermarchés regorgent de nourriture comme jamais, rien n’est « jamais » acquis ou figé dans le marbre.

D’ailleurs, le célèbre astrophysicien, Hubert Reeves, ni connu pour être un catastrophiste et encore moins un fantaisiste, déclarait le 3 mai 2018 sur le plateau de France 2 :

« La disparition des vers de terre est un phénomène aussi inquiétant que la fonte des glaces. »

Pourquoi M. Reeves a-t-il mis en perspective le ver de terre avec le bouleversement climatique ? Question de bon sens puisque les sols et les glaces fondent comme neige au soleil : un quart des sols européens étant aujourd’hui usés.

En langage scientifique, on dit « victimes » d’érosion. Autrement dit, quand les sols sont lessivés de toute vie, usés, ils migrent vers les mers et les océans, via les sources et les rivières, laissant place à des champs de cailloux.

Pourquoi ?

Quand nous avons décidé de ne plus nourrir les vers de terre et toute la diversité biologique, il y a 50 ans, nous avons brisé le cycle. En effet, dans un système de cause à effet, où chacun nourrit ou se nourrit de l’autre, en cessant de nourrir les vers de terre, les sols ont cessé de nourrir les plantes…

Pourquoi les vers de terre
sont-ils si importants ?
Parce qu’ils peuvent représenter jusqu’à 80 % de la masse des êtres vivants qui fabriquent la nourriture des plantes dans un sol cultivé. Et en cessant de les nourrir, c’est bien l’ensemble d’un agrosystème qui s’est effondré, mort de faim ou empoisonné. Et pour revenir à l’érosion, parce qu’il ne faut jamais se tromper de sens, c’est bien l’extinction du ver de terre qui cause l’érosion des sols, comme le réchauffement climatique cause l’érosion des pôles.

Une urgence absolue
Monsieur le Président, il y a urgence à sauver les sols, et, dans ce domaine, nous avons besoin d’initiatives fortes et innovantes. Mais pour les sauver, il faut commencer par sauver son fer de lance, cet infatigable laboureur qui les rajeunit en permanence, les oxygène, les fertilise…

Bref, le ver de terre bénéficie d’un beau capital sympathie dans l’opinion publique. Pour preuve, le projet que j’ai porté au printemps dernier, Sauvons le ver de terre, est arrivé en tête de la catégorie biodiversité lors de l’élection citoyenne organisée par votre ministère de la Transition écologique et solidaire.

Les Français ont donc choisi le ver de terre comme étant une priorité absolue dans la reconquête de la biodiversité.

Mais contre toute attente, et sans vouloir comparer ni opposer, votre gouvernement investit des millions d’euros pour réhabiliter l’ours et le loup, mais pas un seul centime sur la tête de notre allié le plus précieux pour une agriculture durable et économe en énergie. Mieux, l’État l’a carrément oublié puisqu’il ne bénéficie d’aucune protection, d’aucun plan d’action national ou européen, et d’aucune mesure dans la loi pour la reconquête de la biodiversité alors que l’arsenal juridique existe.

Aux yeux de la loi
Aux yeux de la loi, il n’existe pas, alors que, depuis Charles Darwin, nous savons que le lombric terrestre est un animal à part entière qui vit dans un terrier où il s’aménage une chambre. Une chambre dont il recouvre volontairement le sol de feuilles, de petites pierres ou de graines, à la seule fin de pouvoir s’y reposer en toute quiétude. Et nous savons aussi, qu’avant de s’y enrouler, il a pris un soin infini à refermer l’entrée de sa galerie.

Monsieur le Président, sachant que notre futur dépend des sols, et les sols de l’avenir du ver de terre, je vous demande de lui accorder un droit à exister en lui offrant un statut juridique. L’ours et le loup ont des droits, rien ne justifie aujourd’hui que le lombric terrestre n’en ait pas.

Je vous demande
Monsieur le Président, il y a urgence à sauver le ver de terre, et, indirectement, à sauver toute la diversité biologique. Le ver de terre est le moteur de la transition écologique et solidaire, car, sans lui, sans eux, pas de sols nourriciers, pas de nourriture, pas de transition.

Aussi, en dehors de tout dogme politique, je demande audience pour vous exposer la cause du ver de terre, celle qui fonde l’alimentation de demain.

Dans l’attente, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, mes sentiments les plus distingués.

Ps. Ci-joint, un exemplaire de l’Éloge du ver de terre, un livre qui se finit par la lettre écrite il y a 2 ans à votre prédécesseur

http://www.lejardinvivant.fr/2019/01/19/2019-annee-du-ver-de-terre/
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Moindreffor » 25/01/19, 20:19

nico239 a écrit :
pheno37 a écrit :Bonjour.
Que pensez-vous de la technique du semis en bouteille?


Je trouve cela super pour le côté PRATIQUE.

J'en ai fait l'an dernier mais comme d'habitude dans de mauvaises conditions ... (d'attention et de vigilance).

Pratique car la bouteille protège peu que peu
Tu peux recouvrir facilement d'un voile
C'est facilement transportable
Pas besoin de beaucoup se prendre la tête à arroser si tu mets un bon lit de gravier de plusieurs cm que tu remplis d'eau.
Ça protège des bestioles si tu les sors
Du froid également
Pour planter hop un coup de ciseaux au cul de la bouteille, les graviers virent et tu poses directement au sol bien calé par du foin
Tu te passes du repiquage en godet intermédiaire puisque le contenant est grand à l'origine
Donc je trouve que cela donne plutôt moins de travail que planche de semis plus transplant dans godets de 9 comme cette année

Ça fait déjà pas mal :wink:

En 2020, normalement, j'aurai du temps et je pense que je me ferai mes semis comme cela... à suivre

moins de travail, il faut remplir avec du gravier, mettre le terreau par un petit trou, tasser un tout petit peu, ensuite semer et c'est là que je trouve ça pas pratique, car si tu ne mets qu'une graine c'est risqué, si tu en mets plusieurs s'il ne faudra garder qu'un pied tu vas devoir attendre le repiquage pour éliminer les autres
pour l'arrosage, si tu mets trop d'eau impossible d'en enlever sans percer la bouteille
si tu as un plan à fort développement foliaire le diamètre de la bouteille va te limiter
donc pour moi ça à tout de la bonne fausse idée, j'ai vu des vidéos et je suis un peu comme Didier, le mec te vante ses super plants, la super technique et quand tu regardes l'image ben c'est bof, et surtout il n'y a aucun suivi après repiquage, juste une belle théorie, donc Nico, je pense que tu n'es pas trop responsable si ça n'a pas été super :mrgreen:

la protection d'un plan repiqué par une bouteille oui, même si je pense que faire un châssis en dur sera bien plus efficace
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Adrien (ex-nico239) » 25/01/19, 23:55

Moindreffor a écrit :moins de travail, il faut remplir avec du gravier, mettre le terreau par un petit trou, tasser un tout petit peu, ensuite semer et c'est là que je trouve ça pas pratique, car si tu ne mets qu'une graine c'est risqué, si tu en mets plusieurs s'il ne faudra garder qu'un pied tu vas devoir attendre le repiquage pour éliminer les autres
pour l'arrosage, si tu mets trop d'eau impossible d'en enlever sans percer la bouteille
si tu as un plan à fort développement foliaire le diamètre de la bouteille va te limiter
donc pour moi ça à tout de la bonne fausse idée, j'ai vu des vidéos et je suis un peu comme Didier, le mec te vante ses super plants, la super technique et quand tu regardes l'image ben c'est bof, et surtout il n'y a aucun suivi après repiquage, juste une belle théorie, donc Nico, je pense que tu n'es pas trop responsable si ça n'a pas été super :mrgreen:

la protection d'un plan repiqué par une bouteille oui, même si je pense que faire un châssis en dur sera bien plus efficace


Image

Je persiste et je signe.

Oublions la notion de bouteille et parlons de contenant

L'objet que je trouve pratique c'est
Un contenant suffisamment haut pour recevoir un
- un réservoir qui permet de tenir un bout de temps sans s'en occuper
- suffisamment de terre pour que les semis puissent y croître un bout de temps
- dont l'occupation de surface au sol est faible
- facilement transportable et si possible en nombre... en l'occurrence dans n'importe quel casier à.... bouteille
- et qui joue le même rôle de protection que les mini serres du commerce
- qui est gratuit-

Déjà y en a pas 36


Après au niveau gestion, pour mettre une poignée de gravier au fond d'une bouteille cela te prend 10 secondes et encore je suis large.

Évidemment que je ne me rejoue pas la fable du Renard et de la Cigogne...

Le haut des bouteilles est découpé avec au choix la position ouverte ou fermée : la photo n'illustre la découpe et rien d'autre

Image


Tu ne peux pas mettre trop d'eau puisque, la bouteille étant transparente, tu vois le niveau monter à l'oeil nu au moment du remplissage donc ... AU CONTRAIRE tu peux adopter un niveau pile poil.

À l'inverse tu peux contrôler tes niveaux d'un seul coup d'oeil tout en ayant un accès facile au contenant si tu veux tâter du doigt.

Sur le coup c'est le même régime que pour les alvéoles : 1 graine par bouteille
T'as vite fait de voir, comme dans les alvéoles si dans une bouteille 1 graine ne germe pas et bien tu en ressèmes une autre.

Comme ta terre ne débute qu'à environ la moitié de la bouteille : aucun soucis, me semble-t-il puisque la part de bouteille qui entoure la plante n'est plus que d'une 15aine de cm.
M'étonnerait qu'en l'espace de 15cm les feuilles soient gênées par la bouteille et une fois dépassé ce stade le plan se retrouve HORS de la bouteille.



Sur l'échec de mon expérience cet été... cela n'avait rien à voir avec un consciencieux semis d'hiver... à l'intérieur

C'était plutôt trash
Je ne sais plus où j'ai foutu les photos ou l'on voit les plants, là je n'ai retrouvé que celle ci qui montre un plant après noyade :mrgreen:

Comme tu peux le voir on est TRÈS loin du terreau de semis

En plus à l'époque j'avais commis l'erreur de découper totalement la bouteille du coup les orages ont régulièrement englouti les pousses : la raison de l'échec est là et pas ni dans la bouteille, ni même peut-être dans la terre utilisée qui sait.

NÉANMOINS je réitérerai l'expérience qui portait non pas tant sur les bouteilles que sur le semis en «terre hostile« (ce qui ne veux cependant rien dire car, s'il le faut, ces mottes d'argile caillouteuses sont peut-être mieux adaptées que le joli terreau tout fin de jardinerie, mais cela est un autre débat.)

Image



Après que ce soit bouteille, jardinière, plaques de semis, godets de 9 ou je ne sais quoi encore je pense que c'est pareil en terme de levée, pousse, croissance.

En tous cas ne vois pas pourquoi cela serait différent.

Encore une fois ce n'est ni une théorie, ni même une méthode, mais juste une question de choix de contenant.



Question en suspens, vu que je ne suis jamais allé jusqu'à la phase :
- je découpe mon cul de bouteille
- je récupère mes graviers dans un seau pour la prochaine
- je découpe la bouteille jusqu'au niveau de la terre
- tout en conservant la partie haute (col et goulot) jusqu'à ce qu'elle ne serve plus à rien
- je pose la bouteille par terre.
- au passage j'emmerde UN PEU les limaces sans rien faire puisque le plan est à L'INTÉRIEUR de la bouteille
- j'entoure de foin et je m'en vais
J'ignore si les racines qui ont poussé dans la bouteille et qui vont se retrouver au contact de la «vraie» terre vont en prendre aisément le chemin?

L'expérience nous le dira.

Certes tu peux opposer cette mise en terre à
- je démoule mon godet,
- je prépare un trou pour l'accueillir
- il est tout nu face aux limaces
- attention en l'entourant de foin car il est fragile

Je préfère la solution 1

Mais du coup tu m'as donné une idée et vu qu'on est en plein dans les semis : je vais me faire quelques bouteilles tiens :wink:
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Moindreffor » 26/01/19, 14:23

Attention Nico, tu nous présentes là une adaptation du semis en bouteille :mrgreen: c'est beaucoup plus réfléchi ton truc :mrgreen:
pour l'arrosage effectivement tu vois, mais si tu ouvres dehors et que paf! une averse, là c'est la noyade :(
après faut récupérer des bouteilles, tu parles de 1500 godets, tu te vois avec 1500 bouteilles? :mrgreen:
après comme tu le dis tu n'es pas allé jusqu'au bout du bout, donc voilà...
je sais que tu vas retenter l'affaire et j'espère avec succès, tu pourras alors nous faire un vrai bilan, et comparer effectivement avec les plants en godets, M. Bouteille VS Mme Godet les paris sont ouverts

pour ma part, je vais acheter des cloches pour recouvrir mes plants, j'ai déjà utilisé des demies bouteilles de 5L, mais c'est très léger donc ça s'envole facilement, il faut donc amarrer, de plus ce plastic n'aime pas trop les UV et devient vite cassant donc, la durée de vie de la bouteille (5L) ne fut que d'une année ou deux, donc j'ai finalement renoncé...

effectivement la gratuité et l'abondance de bouteille est un argument de poids,

attention aussi le fait que la bouteille soit transparente expose les racines qui viennent toucher les bords à la lumière du jour
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Adrien (ex-nico239) » 26/01/19, 14:59

Moindreffor a écrit :Attention Nico, tu nous présentes là une adaptation du semis en bouteille :mrgreen: c'est beaucoup plus réfléchi ton truc :mrgreen:
pour l'arrosage effectivement tu vois, mais si tu ouvres dehors et que paf! une averse, là c'est la noyade :(


Ben vu que j'ai déjà testé.. risque pas que j'ouvre en extérieur, sauf comme je fais pour mes fougères : quand je suis LÀ et que je peux surveiller.



Moindreffor a écrit :après faut récupérer des bouteilles, tu parles de 1500 godets, tu te vois avec 1500 bouteilles? :mrgreen:


Ouh là je m'appelle pas Mme Image Image donc il est évident que c'est pour des quantités moindres.




Moindreffor a écrit :je sais que tu vas retenter l'affaire et j'espère avec succès, tu pourras alors nous faire un vrai bilan, et comparer effectivement avec les plants en godets, M. Bouteille VS Mme Godet les paris sont ouverts


ma foi ce n'est qu'un contenant différent rien de plus.




Moindreffor a écrit :
pour ma part, je vais acheter des cloches pour recouvrir mes plants, j'ai déjà utilisé des demies bouteilles de 5L, mais c'est très léger donc ça s'envole facilement, il faut donc amarrer, de plus ce plastic n'aime pas trop les UV et devient vite cassant donc, la durée de vie de la bouteille (5L) ne fut que d'une année ou deux, donc j'ai finalement renoncé...


Hier à Silence ça pousse il faisait la promo des cloches.

Mais c'est pour recouvrir des plants en extérieur alors ce qui est différent?




Moindreffor a écrit :
effectivement la gratuité et l'abondance de bouteille est un argument de poids,

attention aussi le fait que la bouteille soit transparente expose les racines qui viennent toucher les bords à la lumière du jour


C'est clair que la gratuité est un plus.

Ma foi pour les racines je sais pas...

À suivre
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Moindreffor » 26/01/19, 15:12

nico239 a écrit :
Moindreffor a écrit :pour ma part, je vais acheter des cloches pour recouvrir mes plants, j'ai déjà utilisé des demies bouteilles de 5L, mais c'est très léger donc ça s'envole facilement, il faut donc amarrer, de plus ce plastic n'aime pas trop les UV et devient vite cassant donc, la durée de vie de la bouteille (5L) ne fut que d'une année ou deux, donc j'ai finalement renoncé...

Hier à Silence ça pousse il faisait la promo des cloches.
Mais c'est pour recouvrir des plants en extérieur alors ce qui est différent?
À suivre

j'ai vu aussi, j'aimais bien celle en verre, mais faut trouver
tu peux utiliser ses cloches après le repiquage en effet, mais tu peux aussi semer dessous
je vais partir sur un châssis également, les godets démarrés en intérieur et j'ai la mini serre
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Adrien (ex-nico239) » 26/01/19, 15:33

Eh celles en verre valent une blinde...

J'avais failli acheter un stock en plastique en Chine avec mon frère et puis on a changé d'avis
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Moindreffor » 26/01/19, 15:42

nico239 a écrit :Eh celles en verre valent une blinde...

J'avais failli acheter un stock en plastique en Chine avec mon frère et puis on a changé d'avis

je suis en pleine réflexion pour m'en faire une sur mesure en polycarbonate, ce n'est pas donné non plus, par rapport à ce que tu peux acheter en solde en fin d'année, mais c'est du sur mesure
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Re: Le Potager du Paresseux : Jardiner plus que Bio sans fatigue




par Julienmos » 27/01/19, 19:40

un qui travaille pas le sol, mais qui "paille" avec... du compost !

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