VetusLignum a écrit :Obamot a écrit :Après la chlorphéniramine, un autre antihistaminique donnerait des résultats invitro :
https://www.thailandmedical.news/news/c ... rophylaxisCOVID-19 traitement : Une nouvelle étude invitro menée par des chercheurs autrichiens de l'Université de Vienne a démontré que l'azélastine, un antihistaminique nasal, était capable d'inhiber les infections par le CoV-2 du SRAS dans des essais utilisant du tissu nasal humain reconstitué et des cellules épithéliales de rein de singe Vero E6. L'équipe d'étude affirme que l'azalastine est un candidat médicament potentiel qui pourrait être utilisé pour réduire la transmission virale dans le COVID-19 et également comme prophylaxie appropriée, mais qui justifie des recherches plus détaillées.
De nouveau une molécule ã base de chlore, pas si éloignée de la chlorphéniramine.
Et aussi Cetirizine et Famotidine, qui réduiraient les symptomes pulmonaires.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101 ... 20137752v2
Merci. Encore 2 antihistaminiques, dont l’un est également chloré.
Beaucoup disent qu’il n’y a pas de traitement et mettent en perspective les espoirs d’un hypothétique vaccin (alors que le virus mute à vitesse grand V. Je pense qu’au contraire, on peut faire beaucoup plus avec des mesures de précaution et prévention simple et extrêmement efficaces. Pourquoi? Parce que: et un traitement, et un vaccin, ont les mêmes défis en terme de résultat pour emporter l’avantage du bénéfice sur les risques, c’est de faire moins de 0,5% de létalité, ce qui sera déjà un score extrêmement difficile à atteindre.
Alors que peut-on faire à titre individuel, en attendant l’automne et l’hiver, pour qu’en cas d’infection, se donner toutes les chances d’améliorer ce score de 0,5 de létalité (à son propre niveau, avec bonne perspective de résultats immédiats au cas où) et comment?
C’est de faire une prévention ciblée sur tout ce qui constitue le talon d’achile du virus
— faire un biocheck pour connaître ses points faibles et éventuelles d’efficiences et les compenser.
— particulièrement surveiller l’apport en zinc et apports de Vitamine D et C (500mg au minimum par jour pour cette dernière). Pour que bien avant d’être infecté, l’organisme dispose déjà de bonnes réserves de tous les nutriments et autres vitamines qui semblent donner des résultats (sauf la Vit C que le corps ne sait pas stocker...)
— agir d’ores et déjà pour ventiler et s’oxygéner tous les jours ses poumons en allant se balader, faire du vélo, bref se bouger un peu! Ce qui aura également un effet bénéfique sur le cœur et comorbidités éventuelles. On commence avec 10 min. par jour, c’est rien..!
— l’hydroxychloroquine basifiant le milieu cellulaire, on peut donner un sérieux coup de pouce à cet effet en privilégiant d’ores et déjà les aliments basiques plutôt qu’acides (patates et tous les racineux, légumes, salades, et mêmes les fruits qui lors d’exercices physiques voient leur acidité se transformer en sels alcalins...) et surtout commencer par éviter les apports acides en bannissant petit à petit et lentement, tous les APPORTS acides dans la nourriture “industrielle”, tout ce qui contient du sucre raffiné, les sodas, gâteaux, et tous ces aliments contenant des calories vides. Comme baisser sa consommation de viennoiseries et de pain. Lorsque l’on peut, on remplace par des fruits, des légumes et des légumineuses... Et baisser sa consommation de viande ã une fois par semaine, suffirait... Arrêtons les orgies de malbouffe!
— l’un des principaux écueil rencontré avec le covid c’est tous les problèmes inflammatoires: en réduisant les apports acides, en réduisant drastiquement l’exposition à tous les produits de l’agro-industrie contenant (on le voit sur les emballages) toutes sortes d’adjuvants chimiques qui se combinent ensuite dans le corps entre eux, en veillant à ne pas étre en contact avec d’autres agents chimiques domestiques ou industriels irritants, par inhalation ou contact épidermique, en faisant tout ça on réduit les risques inflammatoires en augmentant notre seuil de tolérance (dont le sien est indiqué dans le biocheck).
— sans oublier les gestes barrières et port du masque en public.
En faisant toutes ses choses simples et petit à petit, on renforce ses défenses immunitaires et agissons de façon ciblée sur les tous les éléments qui constituent les points faibles du covid. Et nulle doute que c’est par là que nous avons le plus de chance de baisser, non seulement la létalité, mais l’impact global néfaste que pourrait avoir le virus et mieux assurer ses propres capacités de récupération après une infection éventuelle. Et pour ça nulle besoin d’attendre de nouvelles molécules salvatrice ou l’hypothétique efficacité d’un vaccin pour gagner quelques dixièmes de pourcents !
C’est pas compliqué et on peut commencer maintenant.