Andre a écrit :Je pense que c'est le contraire ,dans un diesel auto a pleinne charge l,injection de gasoil est dans un temps trés court et ce n'est pas le manque d'air qui fait que cela fumme ,mais la quantité de gasoil qui doit traverser un front de flamme pour se frayer un chemin pour trouver de l'air en arriere
bonjour André
il y a beaucoup d'anciens moteurs diésel dont la pompe à injection a fini d'injecter vers moins 10° avant le PMH (exemple réel pompe en ligne : injection de pleine charge de moins 24° à moins 12° avant PMH) dans ce cas, à -20° avant PMH, il n'y a peut-être pas encore eu un début de combustion.
Andre a écrit :Alors que a mi régime le moteur est plus doux en fonctionement et que la dose d'eau ne fait gagner que peu sur le rendement..
tu veux dire à mi-charge : dans ce cas, la T° de combustion est sans doute inférieure à la T° de "crackage supposé"
Pour en revenir à mon raisonnement,
la chaleur de vaporisation de l'eau correspond à env 537 calories/g :
çà fait un régulateur extraordinaire, par exemple, quand on fait bouillir une casserolle d'eau : tant qu'il y a de l'eau entre les nouilles, elles restent à 100°C, après la T° monte et adieu le repas
est-ce qu'on peut transposer la "chaleur latente de vaporisation" de l'eau liquide avec la "chaleur latente de crackage" de l'eau déjà en vapeur sèche
si la vaporisation de l'eau liquide se passe obligatoirement sous les 374°C, (sous 220 bar), çà veux dire qu'un excés d'eau empêcherairait la combustion de dépasser ces 374°C :
aucun intérêt
si le crackage de la vapeur d'eau se passe vers 1500°C, c'est beaucoup plus interressant comme T° de régulation de combustion :
et l'énergie perdue du crackage (moins interressante près du PMH) est forcément récupérée bien avant la sortie à l'échappement, puisque la T° éch atteint difficilement les 800°C
si trop de retard à l'injection fait facilement des imbrûlés, il suffirait de mettre plus d'avance, en sachant qu'une injection de vapeur empècherait la montée en T° de combustion au PMH, et la maintien automatiquement au meilleur compromis ensuite :
optimisation du diagramme automatique
est-ce que quelqu'un connaît :
la T° de crackage de l'eau en fonction de la pression
la chaleur latente de crackage (combien de calories/g) en équivalent chaleur
si le rendement est optimisé par ce principe, je ne tiens pas compte de l'effet ionisant ou effet pantone.
est-ce que l'effet pantone est de rendre la T° de crackage de la vapeur à la bonne T° (qui ne l'est peut-être pas dans mon exposé : pris au hazard à 1500°C)
boulon