Pour moi l’Ether correspond tout à fait à :.lhebui a écrit :Pour l'autre définition, je pense qu'il faut croire à la Vérité édictées par un ou plusieurs gourous (gousse d'ail, eau bénite, pieu en argent ???, et si on ressortait de son placard l'Ether que Poincaré avait du mal à défendre). Désolé mais rien ne compte que la réalité pour ma part.:
(B) Il n'y a pas de frontière entre énergie et matière. J'entends par là que la matière peut devenir énergie et réciproquement.
Pour moi le vide est plein d’énergie, d’ondes qui se croisent en tous les sens, mais pas suffisamment dense pour créer de la matière.
Il me semble qu’Albert n’a jamais réfuter l’Ether, et qu’à la fin de sa vie, il y croyait encore plus.
Il a proposé une théorie, et les scientifiques qui ont essayé de comprendre et de l’expliquer par la suite ont fait des développements et des interprétations, qui ne se trouvaient pas dans le premier jus. Malheureusement, la recherche a été bloquée tout le siécle dernier, par cette omerta.
Tous les textes et les expériences de l’Alchimie, cela ne se résume pas à du vide...
Tesla croyait à L’Ether.
R.L. Vallée et sa synergétique.
L’explication de la gravitation et de l’attraction des corps, par effet d’écran (Marcel Pages), est bien plus explicite que la déformation de l’espace à proximité d’une densité de matière (comme une boule sur un drap tendu)…
Le déplacement dans l’éther (le vide officiel), de toutes sortes d’ondes électromagnétiques (et autres ? ), est plus compréhensible s’il se fait sur un support énergétique.