Ce qui serait intéressant de voir est le réel gain d'espérance de vie, pas si le seuil de l'OMS était respecté, mais si le taux de pollution atmosphérique étaient encore plus réduit. Gagner quelques mois d'espérance de vie ne donne en effet pas trop envie de faire beaucoup d'effort pour améliorer la qualité de l'air respiré. Je serais très curieux de savoir quel serait notre longévité si la majorité des pays avaient un score proche de Stockolm (parmi les plus bas) par exemple. L'idée est certe idéaliste, mais elle permet de créer un objectif à atteindre et qui fait réellement à rêver. On pourrait se demander de quoi mourrions nous alors si ce n'est de la pollution ?
Concentration de Dioxide d’azote en France – Mars 2019, 14-25 mars 2020 – Agence spatiale européenne