ABCon» 31/08/21, 11:59
Rajqawee a écrit :Hé hé ! C'est là qu'on devient incompétent. Et donc, faut laisser les pros (médecins) te dire quoi faire (laissez nous voir nos malades, c'est nous qui les connaissons)
Voilou.
ah bon, merci, je pensais que tu avais des compétences suffisantes pour savoir ce qu'il aurait fallu faire , mais là tu dis que tu ne sais pas . En fait tu es en train de dire que c'est évident qu'il ne fallait pas faire comme ça, mais que tu ne sais pas comment il aurait fallu faire.
Et debile premier a encore frappé ! incroyable d’être aussi con ! Raj vient de te dire que c’était l’affaire des médecins, pas des administratifs, donc ce n’est pas SON rôle d’y répondre !
Sauf que c'est pas le gouvernement qui décide de la démarche à suivre pour les soins, c'est pas son boulot, ni sa compétence, donc si il a transmis des messages sur la conduite à tenir, ça vient forcément des médecins, de qui d'autre sinon ?
Des spécialistes auprès des gouvernements, mais en conflit d’intérêt direct ou non avec BP, c’est de ça que dépend leur subsistance, le rigolo mégalo!
donc là tu es en train de dire que le gouvernement a fait des conneries en relayant le message des médecins et qu'il aurait dû écouter les médecins... ?????
re débile!Non pas
DES médecins mais
DE médecins en conflit d’intérêts ! Toujours tes problèmes avec le bon français car tu eusses dû te rendre compte de ta confusion, sinon!
Les médecins de ville n'allaient pas non plus garder tous leurs malades dans leur cabinet ni passer leur vie à en faire le tour pour surveiller leur O2, donc ils réclamaient quoi concrètement ?
La surveillance en O2 ,ne concerne que les cas avancés hospitalisables , vers lesquels les médecins concernés dirigent, eux!
La seule "revendication" que j'ai entendue moi, c'est qu'on les laisse prescrire de l'HCQ à leurs patients, sauf qu'on sait maintenant que c'est inefficace et que ça n'aurait rien changé, donc j'appelle ça du populisme et de l'incompétence;
tu as vu ça dans le marc de café comme d'hab'?!
Populisme et incompétence, dont tu es l’exemple le plus caractéristique une nouvelle fois, vu ton incompétence totale en matière de médecine.
es tu surpris que je ne suis pas surpris que tu ne le fasses pas ?
es-tu surpris que je ne
SOISpas surpris que tu ne le
FASSES pas. L'utilisation du subjonctif présent de "fasses"induit le subjonctif présent aussi pour le sois au lieu de suis!
« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré