Remundo a écrit :Il faut dimensionner tous les éléments mécaniques à la vitesse de vent maximum avec un coefficient de sécurité. 40 m/s avec un coeff 3 à la rupture semble un bon départ à mon avis.Car sinon l'éolienne sera détruite à la première tempête.
Ce que vous écrivez vaut pour les éoliennes horizontales qui sont les plus fragiles et les plus susceptibles d'avoir des avaries (rappel, j'en ai recueilli des témoignages à ce sujet auprès des membres de l'association ATOUVENT 2000 qui rassemble des auto constructeurs amateurs éoliens
Remundo a écrit :Pour ce qui est du rotor brassant l'eau, faudrait peut-être prévoir un désaccouplement en cas de tempête... ou alors lui aussi doit être dimensionné, mas le problème va se reporter sur le cubitainer lui-même, et lui n'est pas prévu pour être violemment brassé. Si la cage métallique est plutôt robuste, le plastique en particulier pourrait se fendre.
1° La vitesse du rotor Savonius plafonne assez vite et elle ne peut donc pas s'emballer (aucun désaccouplement nécessaire donc en cas de tempête).
2° le cubicuve possède une armature solide ; de plus il sera enterré et il y aura un haubanage en structure métallique de forme pyramidale. Je n'ai jamais entendu dire qu'une éolienne Savonius avait une quelconque fragilité par très forts vents et donc à l'opposé des éoliennes horizontales. C'est pour cela que les éoliennes Savonius tout comme les éoliennes Darrieus n'ont pas besoin de dispositifs de freinage etc.