Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France

[Christophe]

Hein Guy que c'est vré !

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[phil59]

Là, je pense que c'est un truc, qui n'a pas beaucoup à voir avec le vin, même si ça joue un rôle, c'est très loin d'être le facteur primordial !

C'est un eu comme à l'été, il y a beaucoup moins de personnes qui meurt de froid ...

[Christophe]

C'est de l'humour évidement...quoique...

Quand on part avec un déficit abyssal de neurones et capacités cognitives, quelqu'un qui en est bien fourni d'origine peut largement être intellectuellement supérieur même alcoolisé !

Y a aussi cette vieille légende comme quoi l'alcool tuerait les neurones les moins performantes en priorité, laissant la place à des neuves plus performantes !!

[phil59]

J'avais très bien compris !

Mais, je voulais remettre une couche, car, avec celles que je tiens, je peux partager !

Quoique si 50 000 morts par an, avec l'alcool, plus 40 000 à cause des émissions de moteur thermique, on touche presque les 100 000.

Bon, d'accord, les moteurs thermiques sont 20% de moins nocif que l'alcool !

Bon, je rejoints Christophe à la cave, avec les mains sur la tête !!!!!!

Et pi, ce soir, je prendrais 2 apéros à votre santé !

[GuyGadeboisLeRetour]

Le Parisien a interrogé, le 14 octobre 2023, le Dr. Pierre Souvet, cardiologue éminent et président de l'Association santé environnement France. Selon une récente étude conjointe de l'Observatoire régional de santé Île-de-France (ORS) et Airparif, il apparaît que la simple observation des seuils recommandés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pourrait prévenir la perte de pas moins de 7 900 vies chaque année en moyenne dans la région. À l'échelle nationale, les chiffres oscillent entre 48 000 décès prématurés liés à la pollution de l'air, selon Santé publique France, et un étonnant total de 97 000, d'après les estimations de l'Université de Harvard. Une étude du journal européen de cardiologie se situe entre les deux, évoquant environ 67 000 morts prématurées.

Selon Pierre Souvet, il est indubitable que la pollution de l'air constitue un enjeu sanitaire majeur, tuant plus que l'alcool, à l'origine de 49 000 décès annuels en France. À l'échelle mondiale, la mortalité attribuée à la pollution de l'air dépasse même celle liée au tabagisme. Les recherches mettent en lumière qu'un sur-risque de mortalité persiste même lorsque les valeurs recommandées par l'OMS sont respectées. L'inquiétant constat est que les effets délétères de la pollution de l'air s'étendent à une multitude de domaines de la santé. En premier lieu, les maladies vasculaires, affectant le cœur et les poumons, sont en première ligne, provoquant des obstructions artérielles conduisant à des infarctus du myocarde ou des accidents vasculaires cérébraux. Les affections respiratoires, parfois mortelles, telles que l'asthme, s'ajoutent à la liste.

Des cancers liés à la pollution de l'air

De surcroît, les cancers du poumon et de la vessie sont directement liés à une exposition prolongée à la pollution de l'air. Une étude récente réalisée en France a établi un lien entre cette forme de pollution et le cancer du sein, soulevant de nouvelles questions sur l'étendue de ses effets néfastes. Les dommages au cerveau se confirment également, avec des taux accrus de maladies telles qu'Alzheimer chez les personnes résidant à proximité de voies de circulation, ainsi que des troubles cognitifs, notamment chez les enfants, engendrant des difficultés verbales et une diminution du quotient intellectuel. La pollution favorise aussi l'antibiorésistance, le diabète, et les glaucomes.

Fait alarmant, la pollution de l'air aggrave de manière significative la mortalité due au Covid-19 dans les zones les plus touchées. La fragilité du système respiratoire facilite la pénétration du virus, bien que cela n'ait pas encore été démontré par des études scientifiques. Pour le cardiologue, il est légitime de se demander si des problèmes similaires ne se posent pas avec d'autres maladies respiratoires telles que la bronchiolite ou la grippe. Actuellement, une menace émergente réside dans les particules ultrafines, notamment les PM1, qui mesurent moins d'un micron. Les moteurs de voiture modernes émettent de plus en plus de ces particules minuscules, qui se révèlent être encore plus inflammatoires et capables de traverser les barrières physiologiques pour atteindre les régions les plus profondes de notre organisme. Les études sur ce sujet restent limitées, laissant de nombreuses questions en suspens.

https://www.capital.fr/economie-politiq ... ce-1482233

[janic]

guy

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Ce forum est alors soluble dans la superstition des athées de l'évolution, le vaccinalisme arbitraire et l'obscurantisme du complotiste pseudo-pseudo-scientiste... de retour!