Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités

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Remundo
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par Remundo » 07/07/24, 08:32

La folie humaine bis repetita.
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Obamot
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par Obamot » 07/07/24, 16:10

…oui et là ça a été filmé sur le vif, mais pourquoi les gens ne filment pas (les hélicos) dans les airs, parce que lorsqu’ils se font canarder, ils ne pensent qu’à une seule chose, c’est sauver leur peau… Ils sont idiots non? Fouille-poubelle n’a rien dit pour cette fois, mais il est content, il a trouvé un alibi pour le 7 octobre, la vertu des sionistes est sauve, il pourra dire que “tout n’est pas ni blanc ni noir avec eux” comme avec les néo-nazis.
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izentrop
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par izentrop » 21/07/24, 13:51


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gegyx
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par gegyx » 21/07/24, 15:51

Petit-fils de Mandela: le CIO devrait interdire à Israël de participer aux JO

Israël "mène une politique d’apartheid", et le Comité international olympique devrait interdire à Israël de participer aux JO de Paris, avance auprès de Sputnik Nkosi Mandela, petit-fils de Nelson Mandela.
Nkosi Mandela était présent dans la capitale française le 20 juillet. Un rassemblement y a eu lieu pour demander un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Les Jeux olympiques auront lieu à Paris du 26 juillet au 11 août.
Le petit-fils de Nelson Mandela est membre du comité d'organisation du Sommet mondial pour la Palestine. Le comité a préparé des lettres aux dirigeants de 7 organisations internationales avec un appel à soutenir leur demande de ne pas permettre à Israël de participer à l’événement sportif.
https://fr.sputniknews.africa/20240721/ ... 81780.html
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GuyGadeboisLeRetour
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par GuyGadeboisLeRetour » 21/07/24, 16:20

Similitude entre deux formes de totalitarismes inhumains:
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par GuyGadeboisLeRetour » 21/07/24, 16:27

Représailles. L’attaque d’Israël au Yémen, un dangereux tournant dans la guerre au Moyen-Orient
Israël a voulu envoyer un message à toute la région en frappant le port de Hodeïda, contrôlé par les rebelles houthistes du Yémen, en représailles à une attaque au drone à Tel Aviv. Avec le risque d’un engrenage et d’un nouveau front contre un allié de l’Iran, s’inquiète la presse israélienne.
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C’est “l’attaque la plus lointaine jamais menée depuis le territoire israélien par Tsahal”, souligne le site Ynetnews, en Israël, et sa réussite opérationnelle “envoie un message à l’ensemble de la région, en particulier à l’Iran, quant aux capacités militaires israéliennes de longue portée”, relève Ha’Aretz.

Toutefois, avec la première attaque de l’aviation israélienne au Yémen, menée samedi 20 juillet contre la ville portuaire de Hodeïda, sur la mer Rouge, “la guerre prend, après neuf mois, un nouveau tournant dangereux”, s’alarme le quotidien de gauche.

“Le bilan des victimes de l’attaque israélienne sur Hodeïda est de trois martyrs tués et 87 blessés”, a indiqué l’agence de presse Saba, dirigée par les rebelles houthistes, citant leur ministère de la Santé. Avant cela, un Israélien avait été tué et une dizaine d’autres blessés à Tel Aviv, vendredi, par un drone lancé par les houthistes, ces combattants chiites qui contrôlent une partie du Yémen.

Le fait que ce drone ait pu atterrir près de l’ambassade des États-Unis à Tel Aviv serait lié à “une grave erreur humaine au sein du système de défense antiaérienne israélien”, précise Ha’Aretz : l’engin avait été repéré mais non identifié comme hostile.

“Ligne rouge”

La frappe de samedi “devrait conduire à des tentatives de représailles houtistes”, explique le journal. Un tel engrenage “pourrait accroître le risque de voir éclater une guerre beaucoup plus intense, sur plusieurs fronts”. L’armée israélienne a annoncé dimanche matin avoir intercepté un missile tiré depuis le Yémen.

“D’après l’armée israélienne, les houthistes ont lancé plus de 200 drones et missiles de croisière sur Israël depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre, bien que seuls un drone et un missile aient touché le sol israélien”, rapporte le site régional Al Monitor. Face aux attaques menées contre son territoire et contre des navires internationaux, en solidarité avec les Palestiniens de Gaza, “Jérusalem [capitale revendiquée d’Israël] laissait les États-Unis conduire l’essentiel de sa défense – jusqu’à maintenant”, précise The Jerusalem Post.

Cette fois, “Jérusalem a décidé que les houthistes, affidés de l’Iran, avaient franchi une ligne rouge” avec l’attaque de drone à Tel Aviv, écrit le quotidien israélien.

“L’incendie à Hodeïda est visible dans tout le Moyen-Orient et sa signification est claire, a déclaré dans un communiqué le ministre de la Défense Yoav Gallant. Les houthistes nous ont attaqués plus de 200 fois. La première fois qu’ils ont blessé un citoyen israélien, nous les avons frappés. Et nous le ferons partout où ce sera nécessaire.”

Un faible espoir de dissuasion

Israël envisagerait “d’autres attaques contre le Yémen ainsi que de possibles attaques contre l’Iran, avec l’idée que les houthistes agissent suivant les injonctions de Téhéran”, ajoute The Jerusalem Post. L’État hébreu “a clairement indiqué qu’il avait conduit l’attaque sans aide des États-Unis, même si ceux-ci avaient été notifiés à l’avance”.

Alors que la coalition sous l’égide de Washington avait jusqu’ici évité de cibler Hodeïda, point d’entrée essentiel de l’aide humanitaire destinée au Yémen, Israël “a décidé de frapper quand même le port parce que la plupart des livraisons d’armes venues d’Iran transitent par là”, ajoute Ha’Aretz. Israël dit avoir visé des dépôts d’armes et des raffineries de pétrole, source de revenus pour les houthistes. Un dépôt de carburant a été touché selon les médias houthistes, relaie Middle East Eye.

“Les responsables de la défense en Israël savent que les chances de dissuader les houthistes de mener de nouvelles attaques sont faibles”, souligne le journal de gauche. Le pays espère néanmoins que les rebelles chiites “réduiront le nombre de drones lancés depuis le Yémen”, écrit le site Ynetnews.

Le contexte international est chargé

“Israël et les houthistes échangent des coups alors que l’Occident et Israël s’inquiètent de plus en plus des renseignements qui leur parviennent à propos du programme nucléaire de l’Iran”, observe Ha’Aretz.

Un autre point d’interrogation concerne l’attitude du Hezbollah, le mouvement armé chiite libanais, également proche de l’Iran, “qui a jusqu’ici évité de franchir la ‘ligne rouge’ d’une attaque dans le centre d’Israël”, malgré les affrontements violents à la frontière.
Cette opération militaire “ajoute encore plus de poids au voyage déjà controversé du Premier ministre Nétanyahou aux États-Unis”, souligne encore le quotidien. Dans un contexte de tension avec la Maison-Blanche, Benyamin Nétanyahou doit s’envoler lundi matin pour les États-Unis, où il compte s’adresser au Congrès mercredi et rencontrer le président Joe Biden, ainsi que le candidat républicain Donald Trump.

Gabriel Hassan
https://www.courrierinternational.com/a ... ent_220528
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par GuyGadeboisLeRetour » 21/07/24, 16:36

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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par GuyGadeboisLeRetour » 26/07/24, 13:11

Guerre Israël-Hamas. Nétanyahou est venu chercher le soutien d’un Congrès américain profondément divisé

Le dirigeant israélien s’est exprimé devant les élus à Washington pour la quatrième fois en bientôt trente ans de carrière. Mais il a cette fois suscité une opposition plus marquée et, c’est peut-être pire, de l’indifférence.


En visite officielle à Washington, le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, s’est “plongé dans une arène politique américaine particulièrement volatile”, avec un discours “enflammé” devant le Congrès mercredi 24 juillet, défendant sa gestion de la guerre à Gaza et exhortant le président Biden, ainsi que Donald Trump, à soutenir Israël contre l’Iran, résume The Wall Street Journal. Pendant près d’une heure, ce fin connaisseur des arcanes du Capitole, où il se rendait pour la quatrième fois depuis 1996 (un record), a su autant “lancer des piques acerbes” aux démocrates que “prodiguer des éloges” aux républicains.

Si le dirigeant israélien a bien remercié Joe Biden d’avoir soutenu son pays dans la guerre qu’il mène depuis neuf mois contre le Hamas, il a également cherché à “placer la Maison-Blanche sur la défensive” en appelant à accélérer de nouvelles livraisons d’armes, observe le journal conservateur. Il a par ailleurs exhorté les États-Unis à l’aider à lutter contre la menace croissante de l’Iran, traitant les manifestants contre la guerre à Gaza d’“idiots utiles” de la République islamique.

Qualifié de “rebelle” par le Washington Post, Benyamin Nétanyahou a balayé les critiques des Nations unies, des groupes de défense des droits de l’homme et de la Cour pénale internationale, selon lesquelles le gouvernement israélien a commis des crimes de guerre à Gaza. Un “non-sens”, a-t-il martelé. Il a enfin réaffirmé qu’Israël ne se contenterait de “rien de moins” qu’une victoire totale sur le Hamas, et a décrit une vision de la bande de Gaza après-guerre “en contradiction flagrante”, estime le quotidien de la capitale, avec l’accord de paix préconisé par l’administration Biden.

“De loin le pire discours”


Selon le New York Times, ce discours, auquel près de la moitié des élus démocrates n’a pas assisté, a révélé “les profondes divisions qui règnent à Washington au sujet de cette guerre”. Le quotidien new-yorkais a ainsi noté l’absence de plusieurs sénateurs de premier plan (dont Bernie Sanders et Dick Durbin, le numéro deux [whip] de la majorité démocrate) et de l’ancienne présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi, qui a décrit le discours du Premier ministre israélien comme étant “de loin le pire” jamais prononcé par “un dignitaire étranger invité à s’adresser au Congrès des États-Unis”.

Et pendant que M. Nétanyahou parlait, Rashida Tlaib, la seule Palestinienne-Américaine du Congrès, tenait une pancarte sur laquelle était écrit “criminel de guerre” d’un côté et “coupable de génocide” de l’autre. À l’extérieur de l’enceinte, des milliers de manifestants scandaient : “Nétanyahou, tu ne peux pas te cacher. Tu es en train de commettre un génocide.”
À lire aussi : Analyse. L’espoir d’un accord entre Israël et le Hamas menacé par les “lignes rouges” de Nétanyahou

De son côté, la vice-présidente et probable candidate démocrate à la présidence, Kamala Harris, qui faisait campagne dans le Midwest, a exceptionnellement refusé de présider la réunion aux côtés du président de la Chambre, Mike Johnson, “rompant ainsi avec la tradition”, commente le quotidien de centre gauche.

“De plus en plus marginalisé”

The Guardian a tout de même noté la présence dans l’assemblée d’un admirateur du Premier ministre israélien : Elon Musk. Le milliardaire a en effet “l’habitude de courtiser les dirigeants de droite des pays où ses différentes entreprises ont des intérêts commerciaux”, comme l’Argentine, le Brésil ou l’Inde, remarque le quotidien britannique. En l’occurrence, Musk avait annoncé la veille que son service Internet par satellite Starlink était désormais actif dans un hôpital de Gaza, avec le soutien du gouvernement israélien.

Malgré ces soutiens à droite, insiste Vox, il convient de reconnaître que Benyamin Nétanyahou n’est plus seulement “controversé” – ce à quoi “il est sûrement habitué” –, mais surtout “de plus en plus marginalisé”. À tel point que son intervention a été “éclipsée” par celle du président Biden, qui, juste après, a justifié depuis la Maison-Blanche sa décision de se retirer de l’élection présidentielle. Le Premier ministre israélien “devra peut-être s’habituer à être une personnalité sans importance”, tacle le média de gauche, qui titre : “Nétanyahou a-t-il finalement perdu l’Amérique ?”

Le quotidien israélien Ha’Aretz, très critique du gouvernement, regrette quant à lui que le dirigeant contesté n’ait fourni “aucun détail sur la manière dont il prévoit de sortir Israël de l’impasse tragique dans laquelle [le pays] s’est retrouvé piégé, sous sa surveillance”. Même si “ce fut un triomphe” pour Nétanyahou, qui “a obtenu tout ce qui comptait pour lui” – à savoir “52 standing ovations” –, les Israéliens, eux “n’ont rien eu”, déplore Ha’Aretz.
https://www.courrierinternational.com/r ... #article-1
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par Obamot » 26/07/24, 18:35

Ça on sait bien que Nétanyahou n’est plus fréquentable (enfin bon, tu retournes encore ta veste… oublié l’hélico, etc bonjour LeRetour de ton comportement bipolaire caractérisé de celui qui retourne sa veste… et Bham! 3 pavés d’un coup!)

Tu sais, tu mérites le même commentaire que celui fait à Végaz et Izentrop, y’a quelques mois, si c’est pour nous balancer régulièrement des copiés/collés mainstream, “on” n’en à rien à carrer franchement, il n’y a que ça dans les médias de grands chemins (dès les premiers paragraphes, ça donne envie de gerber), et comme t’es de moins en moins sociable ni capable de pondre des commentaires de fond, on peut facilement en déduire que c’est la raison de tes allégations mensongères? (Contre Gegyx, Janic, Remundo et moi…) M’enfin bref…

Quel ennui… Image
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Re: Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités




par Remundo » 26/07/24, 19:55

pour ce message, c'est toi Obamot qui est ennuyeux.

Le relai de Guy est tout à fait correct et informatif sur la situation.

Pas besoin d'incendier Guy ici.
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