Drogue et prostitution pour gonfler le PIB et la croissance
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Re: Drogue et prostitution pour gonfler le PIB et la croissance
Le CBD n'est pas une drogue. Sinon, ton message ressemble fortement à un "placement de produits illégaux".
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Re: Drogue et prostitution pour gonfler le PIB et la croissance
Supprimons toutes les drogues juste pour voir...
L'humanité aura disparue dans moins de 6 mois...dans une violence extrême.
Je ne vois aucune issue, légalisons et passons à autre chose.
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Re: Drogue et prostitution pour gonfler le PIB et la croissance
23/10/24, 08:54
Or les drogués savent que notre système social, vache à lait, les prendra en charge si des effets délétères se manifestent suite à une consommation régulière , dite festive ,mais pouvant aller jusqu'à la dépendance. L'illusion est, et reste, de croire qu'il y a des drogues dites douces sans effets et conséquences.
Il y a tellement de drogues officielles ou non, que tenter de les supprimer est totalement illusoire, d'autant que consommer ces produits correspondent à un mal être général qui lui ne disparaîtrait pas pour autant. La légalisation n'aurait pour effet que de concurrencer la vente illégale (pas de taxes, d'impôts, etc...)Supprimons toutes les drogues juste pour voir...
L'humanité aura disparue dans moins de 6 mois...dans une violence extrême.
Je ne vois aucune issue, légalisons et passons à autre chose.
Or les drogués savent que notre système social, vache à lait, les prendra en charge si des effets délétères se manifestent suite à une consommation régulière , dite festive ,mais pouvant aller jusqu'à la dépendance. L'illusion est, et reste, de croire qu'il y a des drogues dites douces sans effets et conséquences.
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Drogue et prostitution pour gonfler le PIB et la croissance
Une drogue sans effets ça s'appelle "une arnaque".
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Re: Drogue et prostitution pour gonfler le PIB et la croissance
https://www.drogues.gouv.fr/quest-ce-qu ... 0psychique.
On appelle « drogue » toute substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le fonctionnement du système nerveux central (sensations, perceptions, humeurs, sentiments, motricité) ou qui modifie les états de conscience.
Une drogue est un produit susceptible d’entraîner une dépendance physique et/ou psychique. Les dangers ou risques d’une substance dépendent de nombreux facteurs : l’âge et le sexe du consommateur, le mode de consommation, la fréquence à laquelle il consomme, etc.
En général, parmi les drogues, on peut distinguer celles qui semblent apaiser, telles que l’alcool, les tranquillisants (médicaments), le cannabis ou les opiacés ; celles qui stimulent, telles que la cocaïne, l’ecstasy ou les amphétamines ; celles qui provoquent des hallucinations, telles que le LSD ou les champignons hallucinogènes. Ces effets peuvent varier selon la dose consommée.
Classification des drogues par leurs effets
On distingue les substances psychoactives d’origine
"naturelle" : extraite d’une plante ou d’un champignon, à l’état quasi brut ou retraitée chimiquement
"synthétique" : totalement fabriquée en laboratoire à partir de produits chimiques.
"dépresseur" : elles agissent sur le cerveau en ralentissant certaines fonctions ou sensations. Un ralentissement de la fonction respiratoire et l’endormissement sont souvent des effets secondaires de ces drogues.
"stimulant" : elles accroissent les sensations et certaines fonctions organiques comme le rythme cardiaque ou encore la sensation d’éveil... Leur action "stimulante" est souvent suivie d’un contrecoup avec par exemple des sensations inverses de fatigue et d’irritabilité.
"hallucinogène" : elles modifient les perceptions visuelles, auditives et corporelles. Ces modifications sont très dépendantes du contexte et de la personne qui utilise de telles drogues.
"stimulants-hallucinogènes" : elles stimulent les sensations et certaines fonctions organiques tout en produisant des distorsions des perceptions, mais de manière moins marquée qu’avec un hallucinogène.
Le terme de drogues recouvre aussi bien les drogues illicites comme le cannabis, l’héroïne ou la cocaïne que les drogues licites comme la nicotine, l’alcool ou les médicaments.
Le terme "stupéfiant" a une signification juridique : c’est le terme utilisé pour désigner les substances psychoactives interdites, inscrites sur une liste des "stupéfiants". Les produits qui figurent sur cette liste ne représentent pas toutes les "drogues", mais seulement celles qui sont formellement interdites ou dont l’usage est contrôlé : hallucinogènes, amphétamines, cannabis, cocaïne, etc. Le terme "stupéfiant" ou "assimilé stupéfiant" s’applique également à une certaine classe de médicaments dont les règles de prescription et de dispensation sont plus strictes que pour les autres médicaments. Le terme "psychotropes" a également une signification juridique : c’est le terme utilisé pour désigner les substances psychoactives réglementées car appartenant à la catégorie des substances vénéneuses.
L’objectif du classement des produits est de limiter l’usage des stupéfiants et des psychotropes aux seules fins médicales et scientifiques et d’encadrer leur utilisation afin d’éviter tout abus ou détournement vers l’usage illégal ou le trafic, qui constituent des infractions pénales passibles de peines de prison et d’amendes. La liste des « stupéfiants » est régulièrement mise à jour en fonction de la connaissance des substances dangereuses disponibles sur le marché.
Depuis quelques années de nouvelles substances psychoactives naturelles ou synthétiques (NSP) apparaissent sur le marché. Fabriquées en laboratoire, elles imitent les effets du cannabis, de la cocaïne, de la MDMA / ecstasy, des amphétamines ou d’autres drogues illégales. Elles peuvent provoquer des intoxications parfois mortelles ; dès que la preuve de leur caractère dangereux est apportée, leur classement dans la liste des stupéfiants ou des psychotropes est demandé, soit au niveau national, soit au niveau international.
On appelle « drogue » toute substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le fonctionnement du système nerveux central (sensations, perceptions, humeurs, sentiments, motricité) ou qui modifie les états de conscience.
Une drogue est un produit susceptible d’entraîner une dépendance physique et/ou psychique. Les dangers ou risques d’une substance dépendent de nombreux facteurs : l’âge et le sexe du consommateur, le mode de consommation, la fréquence à laquelle il consomme, etc.
En général, parmi les drogues, on peut distinguer celles qui semblent apaiser, telles que l’alcool, les tranquillisants (médicaments), le cannabis ou les opiacés ; celles qui stimulent, telles que la cocaïne, l’ecstasy ou les amphétamines ; celles qui provoquent des hallucinations, telles que le LSD ou les champignons hallucinogènes. Ces effets peuvent varier selon la dose consommée.
Classification des drogues par leurs effets
On distingue les substances psychoactives d’origine
"naturelle" : extraite d’une plante ou d’un champignon, à l’état quasi brut ou retraitée chimiquement
"synthétique" : totalement fabriquée en laboratoire à partir de produits chimiques.
"dépresseur" : elles agissent sur le cerveau en ralentissant certaines fonctions ou sensations. Un ralentissement de la fonction respiratoire et l’endormissement sont souvent des effets secondaires de ces drogues.
"stimulant" : elles accroissent les sensations et certaines fonctions organiques comme le rythme cardiaque ou encore la sensation d’éveil... Leur action "stimulante" est souvent suivie d’un contrecoup avec par exemple des sensations inverses de fatigue et d’irritabilité.
"hallucinogène" : elles modifient les perceptions visuelles, auditives et corporelles. Ces modifications sont très dépendantes du contexte et de la personne qui utilise de telles drogues.
"stimulants-hallucinogènes" : elles stimulent les sensations et certaines fonctions organiques tout en produisant des distorsions des perceptions, mais de manière moins marquée qu’avec un hallucinogène.
Le terme de drogues recouvre aussi bien les drogues illicites comme le cannabis, l’héroïne ou la cocaïne que les drogues licites comme la nicotine, l’alcool ou les médicaments.
Le terme "stupéfiant" a une signification juridique : c’est le terme utilisé pour désigner les substances psychoactives interdites, inscrites sur une liste des "stupéfiants". Les produits qui figurent sur cette liste ne représentent pas toutes les "drogues", mais seulement celles qui sont formellement interdites ou dont l’usage est contrôlé : hallucinogènes, amphétamines, cannabis, cocaïne, etc. Le terme "stupéfiant" ou "assimilé stupéfiant" s’applique également à une certaine classe de médicaments dont les règles de prescription et de dispensation sont plus strictes que pour les autres médicaments. Le terme "psychotropes" a également une signification juridique : c’est le terme utilisé pour désigner les substances psychoactives réglementées car appartenant à la catégorie des substances vénéneuses.
L’objectif du classement des produits est de limiter l’usage des stupéfiants et des psychotropes aux seules fins médicales et scientifiques et d’encadrer leur utilisation afin d’éviter tout abus ou détournement vers l’usage illégal ou le trafic, qui constituent des infractions pénales passibles de peines de prison et d’amendes. La liste des « stupéfiants » est régulièrement mise à jour en fonction de la connaissance des substances dangereuses disponibles sur le marché.
Depuis quelques années de nouvelles substances psychoactives naturelles ou synthétiques (NSP) apparaissent sur le marché. Fabriquées en laboratoire, elles imitent les effets du cannabis, de la cocaïne, de la MDMA / ecstasy, des amphétamines ou d’autres drogues illégales. Elles peuvent provoquer des intoxications parfois mortelles ; dès que la preuve de leur caractère dangereux est apportée, leur classement dans la liste des stupéfiants ou des psychotropes est demandé, soit au niveau national, soit au niveau international.
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