Le conflit israëlo-palestinien : Histoire lointaine, récente et Actualités

[GuyGadeboisLeRetour]

[Obamot]

Aucun rapport, il s’agit ici non pas d’états, mais de la CPI, qui est une juridiction.

Encore du bla-bla-bla de diversion (comme d’hab…)

En tant que pervers narcissique, t’es tout juste bon à faire des jeux de mots de sot sur ce thème: tu ne reconnais jamais rien.

[GuyGadeboisLeRetour]

Guerre Israël-Hamas : la CPI émet des mandats d'arrêt contre Netanyahu, Gallant et Deif

La Cour pénale internationale a émis des mandats d'arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant, et le chef de la branche armée du Hamas Mohammed Deif, pour des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité dans la bande de Gaza, a-t-elle annoncé jeudi.

Rien à voir avec l’État palestinien...


Ps: "états" en minuscule ne signifie pas "groupement humain fixé sur un territoire déterminé, soumis à une même autorité" mais autre chose. Exemple: Je te trouve dans un sale état et tes états d'âme me sont totalement indifférents.

[Obamot]

C’est écrit noir sur blanc dans ton texte:

Guerre Israël-Hamas : la CPI émet des mandats d'arrêt contre Netanyahu, Gallant et Deif
[…] Dans un autre communiqué, la CPI a annoncé avoir émis un mandat d'arrêt contre Mohammed Deif, chef de la branche armée du Hamas, "pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre présumés commis sur le territoire de l'État d'Israël et de l'État de Palestine depuis au moins le 7 octobre 2023".

Donc Bla-bla-bla encore n’importe quoi, retourne à tes bijoux, joujoux, cailloux, choux, genoux hiboux poux…

Les déclarations de la CPI concernant la Palestine sont à voir comme une reconnaissance implicite de la Palestine en tant qu'État. Surtout adossées à “l’État d’Israël”.

Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit (comme d’hab dans tes manipulations incessantes).

La CPI, en tant qu'organe judiciaire, ne peut pas à elle seule conférer le statut d'État à la Palestine. C’est évident
Les critères de Montevideo pour définir ce qu’est un “État” ne sont pas absolus non plus.
Le droit international ne fournit pas de définition juridique stricte et exhaustive de ce qu'est un État.

Il ne s’agit donc pas d’une reconnaissance formelle de l’État de Palestine par la CPI (qui ne prend pas de décision politique) mais c’est précisément ce qui pourrait être très lourd de conséquence plus tard. Et ce puisque nolens volens, la CPI a mis ici à égalité Israël et Palestine en tant qu’états.

La reconnaissance d'un État est un acte politique qui relève de la souveraineté des états. Or même le statut “d’État” d’Israël serait remis en question par certains juristes de l’Institut de droit comparé à Lausanne.

C’est ces nuances (pour autant qu’elles te soient perceptibles) que tu n’appréhendes pas.

[GuyGadeboisLeRetour]

Ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit (comme d’hab dans tes manipulations incessantes).

Ah mais moi je ne te fais rien dire du tout, j'ai rien dit ni manipulé quoique ce soit. T'as besoin de personne pour délirer à pleins tube !

[GuyGadeboisLeRetour]

Opinion. “Épargnez les hôpitaux de Gaza !” L’appel indigné de “Ha’Aretz”

L’armée israélienne a lancé une offensive contre Kamal Adwan, le dernier grand hôpital encore opérationnel dans le nord du territoire palestinien, en affirmant qu’il s’agissait d’un “centre de commandement” du Hamas. Dans un éditorial, le quotidien de gauche israélien “Ha’Aretz” estime que l’opération a pour objectif véritable de vider la zone de tous ses habitants.



Vendredi 27 décembre, les forces armées israéliennes ont frappé l’hôpital Kamal Adwan, à Beit Lahia, pour la troisième fois. Selon l’Organisation mondiale de la santé, l’attaque a contraint le dernier hôpital encore fonctionnel dans le nord de la bande de Gaza à suspendre ses opérations. Des incendies se sont déclarés dans le laboratoire et le département de chirurgie de l’institution, et cinq membres du personnel médical, dont un pédiatre, ont été tués par les tirs de Tsahal.

Près de 350 personnes qui se trouvaient dans l’hôpital ont dû fuir, sans vêtements. Certains patients ont été transférés dans l’hôpital indonésien voisin, déjà pris pour cible par les Israéliens la semaine dernière. Le docteur Hossam Abou Safiya, directeur de Kamal Adwan, dont le fils, Ibrahim, est mort dans une frappe aérienne israélienne sur l’hôpital en octobre, a été arrêté par l’armée. On ne sait pas ce qu’il est advenu de lui [Amnesty International a exigé “sa libération immédiate”]. Trois médecins de Gaza sont décédés dans des prisons israéliennes durant leur interrogatoire ou du fait du manque de soins.



D’après les données des Nations unies, 1 057 membres du personnel de santé ont été tués depuis le début de la guerre à Gaza. Le système sanitaire s’est effondré à cause des lourdes pertes, de la destruction par l’armée des hôpitaux et d’une pénurie de médicaments, de lits et de personnel soignant. Sur les chaînes de télévision étrangères, des reportages sur les événements dans les hôpitaux de Gaza – la télévision israélienne évite ce genre de sujets – montrent des images poignantes d’enfants mourants sur des sols couverts de sang, de blessés à l’abandon qui gémissent de douleur, et d’une terrible surpopulation.

Deux pistolets et un couteau pour seul butin

Dimanche 29 décembre, l’armée israélienne a affirmé avoir arrêté plus de 240 terroristes dans l’hôpital, dont le directeur a été suspendu, accusé d’être un agent du Hamas, [et avoir abattu une vingtaine de combattants palestiniens au cours de son raid sur l’hôpital]. Pour étayer ses revendications, l’armée a publié des photos de deux pistolets et d’un couteau retrouvés à l’hôpital. Un maigre butin qui peine à soutenir les affirmations de Tsahal. On n’évacue pas des dizaines de patients et de médecins d’un hôpital en les faisant défiler en sous-vêtements dans la nuit froide afin de les humilier pour deux pistolets et un couteau.

On peut sans risque partir du principe qu’en prenant délibérément pour cibles les hôpitaux de Gaza, c’est un autre effet qui est recherché. Apparemment, dans le cadre du nettoyage ethnique du nord de la bande de Gaza, au cours duquel l’armée a détruit presque tous les logements et les infrastructures de la région pour empêcher le retour des centaines de milliers de gens qui en ont été expulsés, il a également été décidé de détruire les hôpitaux.

En l’absence d’installations médicales, le nord de Gaza se videra plus rapidement, alors que les malades et les blessés fuient vers le sud dans l’espoir de s’y faire soigner. Une région de cette importance ne peut exister sans hôpitaux, surtout en temps de guerre.

La quatrième convention de Genève accorde un statut particulier aux hôpitaux en temps de guerre. Le fait que des armes légères et des munitions se trouvent dans un hôpital ne justifie pas qu’on l’attaque, pas plus que la présence de combattants ennemis qui y sont traités. Le nord de Gaza a été ravagé et dévasté. L’armée israélienne s’emploie maintenant simplement à en parachever la destruction. C’est une action illégale, et il est de toute façon interdit d’y inclure les hôpitaux.

https://www.courrierinternational.com/a ... etz_226065
L'article original: https://www.haaretz.com/opinion/editori ... 5e067e0000