Fabrication du ‘SARS-cov-X’: mystification labellisée
Bye-bye zoonose: fuite de labo quasi certaine:La “Grâce préventive” de Bidon n’a aucune vertu, elle sonne comme un coup de tonnerre dans le milieu scientifique et juridique, car beaucoup plus incriminante qu’exonératrice. C’est vu comme un incontestable aveu visant à “protéger” des criminels tels que le Dr Fauci et toute la clique! Et ce n’est pas le seul aveu ou conséquence!
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Le COVID-19 est-il le résultat d’une expérience scientifique hasardeuse menée sous l’égide de l’ONG EcoHealth Alliance, dirigée par le zoologiste britannique Peter Daszak ? Les soupçons s’amoncellent autour d’un projet controversé mené en collaboration avec l’Institut de virologie de Wuhan (WIV). Le projet DEFUSE,présenté en janvier 2018 à plusieurs agences américaines, proposait de manipuler des coronavirus de chauves-souris pour insérer un site de clivage de la furine, augmentant leur potentiel infectieux pour les humains.
Pile poil ce qui est observable dans le Covid-19 (qui ne peut décemment plus être appelé “SARS-Cov-2”) et largement commenté en 2020 déjà, par des chercheurs illustres comme Alexandra Henrion Caude généticienne, puis le Pr Montagnier etc… et qui ayant acquis à l’époque déjà, l’intime conviction sur preuve de séquençage et autres, que le virus était une fabrication.
Cette hypothèse, bien que rejetée à l’époque, soulève aujourd’hui des questions cruciales sur l’origine du COVID-19. Le zoologiste britannique et ancien président d’EcoHealth Alliance (EHA), le Dr Peter Daszak, est le premier individu sanctionné dans le cadre de l’enquête sur l’origine du Covid-19.Il est accusé d’avoir participé aux expériences dangereuses qui auraient pu déclencher la pandémie réalisées au sein de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV).
”Le gouvernement U.S. a décidé d’exclure le zoologiste Peter Daszak et l’EHA
et de les priver de financement”
Après deux ans d’enquête sur l’origine de la pandémie de coronavirus, fin décembre, des parlementaires américains ont présenté un
”Rapport” qui tend à prouver la théorie d’un accident de laboratoire en Chine.
Non seulement ce “Rapport” le prouve, mais il existe des quantités d’indices solides et convergents, comme les tentatives infructueuses par le Dr Fauci, “d’avoir voulu redéfinir le réel” en ayant voulu ré-écrire la définition même des GOF et ainsi tenter se disculper, ou encore bien plus grave, ses mensonges devant sénateurs et congressistes, et plus grave encore, l’omission de mise à jour de l’arbre phylogénétique.
Pourquoi le “Rapport” et ces “aveux” de Daszak sont-ils si importants?— l’OMS est revenue sur sa première intention de la soit-disant origine discutable de l’animal à l’homme.
— Il est prouvé que la séquence du RBD de SARS-CoV-2 n'est pas le produit d'une sélection positive, mais d'une recombinaison.
— Vu le “Rapport” et ce que dit Daszak, aucun élément plaide pour une “recombinaison naturelle“.
— Aucun chaînon manquant “animal à homme” trouvé (or pour une aussi “puissante” transmission à toute l’humanité, c’est très invraisemblable. De plus,
— il eût éventuellement fallu une double transmission, de l’animal à l’homme, puis de l’homme à l’animal et retour à l’homme (ou quelque chose…), si on voulait reproduire exactement “au naturel” les différentes manipulations qui ont conduit ã l’enrichissement successif des fonctions (GOF) telles qu’apparaissant dans le SARS-cov-X. Parce que les probabilités pour que cela se soit produit d’un coup d’un seul au naturel sont statistiquement irréalistes. Ceci explique sans doute pourquoi:
— l’arbre phylogénétique n’a JAMAIS été mis à jour, malgré la découverte de variants antérieurs à la souche “0” originale.
Ainsi, vu les incertitudes liées aux différentes méthodes destinées à préciser la nature et la situation du SARS-CoV-X (qu'il s'agisse de classification automatique, d'arbres phylogénétiques ou d'étude en réseaux), la présente situation met en évidence de façon cruciale l'absence d'une théorie générale des classifications qui permettrait d’affirmer avec certitude la source zoonotique, qui à défaut s’annule. Et ce dans un contexte parfaitement objectif, selon des critères biogénétiques univoques et indiscutables. Puisqu’au lieu de ça, il est impossible d’être laissés livrés à des hypothèses invérifiables ou des interprétations discutables, tels que les “défenseurs” de la cause zoonotique cherchent à le faire: puisque le seul fait unique et incontestable est la parfaite adaptation à l'homme du virus. CQFD
Les origines du Covid-19 restent difficiles à établir
parce qu’il y a toujours une volonté de cacher la vérité”
Originaire de Dukinfield, près de Manchesterle Dr Peter Daszak est un zoologiste britannique qui a occupé le poste de président d d’EcoHealth Alliance, une organisation non gouvernementale basée aux Etats-Unis ayant pour mission de protéger les personnes et les animaux contre les maladies infectieuses. Il a étudié à l’Université de Bangor et à l’Université d’East London. Il a travaillé à l’Université de Kingsdom dans le Surrey avant de se trouver à la tête d’EcoHealth. Ce dernier est connu pour avoir co-signé un article dans le Lancet affirmant que toute mise en doute de la transmission directe du virus de l’animal à l’homme relevait du complotisme. Le Dr Daszak est accusé d’avoir participé à des expériences dangereuses menées par des scientifiques de l’Institut de virologie de Wuhan. Les travaux consistaient à importer et manipuler des coronavirus de chauve-souris. Ils sont soupçonnés d’avoir déclenché la pandémie du Covid-19.
Peter Daszak, derrière l’expérience de laboratoire sino-américaine
Peter Daszak, ancien président d’EcoHealth Alliance, est devenu le premier scientifique à être formellement interdit de recevoir des fonds fédéraux américains. En décembre 2023, un sous-comité du Congrès américain a conclu que la pandémie de COVID-19 était « probablement liée à un accident de laboratoire », ajoutant du poids à la thèse de la fuite accidentelle.
Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a ainsi interdit à Daszak et EcoHealth de recevoir tout financement public pendant cinq ans, marquant une victoire pour la sécurité sanitaire mondiale. Selon James Comer, président du comité de réforme gouvernementale, cette décision est une réponse directe aux pratiques de « gain de fonction » menées par Daszak et ses équipes en Chine.
En effet, selon la conclusion de la sous-commission spéciale américaine sur la crise du Covid-19 qui a mené l’enquête, le SRAS-CoV-2 « était probablement apparemment apparu à la suite d’un accident lié à un laboratoire ou à la recherche ».
”Le Dr Daszak a affirmé que les laboratoires de Wuhan
ne détenaient pas de virus similaires au coronavirus
qui auraient pu provoquer la pandémie, même s’ils avaient fuité”
Ceci est un aveu implicite (comme l’interprète sans doute le “Courrier des stratèges”) puisque Peter Daszak en admet ainsi la possibilité “
au cas où le laboratoire en aurait disposé” ce qui de toute évidence est le cas puisque — sans vouloir rentrer dans des détails de syllabus juridiques complexes (il y a plusieurs aspects invraisemblables dans ses allégations et sa réthorique) — son organisation s’est refusée (et se refuse) de publier le séquençage de la moitié de son matériel biogénétique de virus disponible au moment des faits, et le plus gros, de ne pas avoir renseigné spontanément toutes les autorités de tous les pays concernés, d’une potentielle fuite de labo et/ou d’éventuels risques y relatifs — et préalablement avait mēme fait retirer la base de données en ligne — ce qui constitue des omissions aux conséquences criminelles (puisque dans l’intervalle, des membres de labo étaient tombés malades (suivis paraitrait-il d’un décès…)
Après une enquête qui a duré 8 mois, le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) a toutefois décidé de sanctionner le Dr Peter Daszak et l’EHA. Il a exclu le zoologiste et l’organisation, les empêchant ainsi de recevoir un financement fédéral sur une durée de 5 ans.
Pour information,
l’EHA et le WIV ont bénéficié d’une subvention américaine en mai 2014 dans le cadre de la réalisation d’un projet nommé « Comprendre le risque d’émergence du coronavirus des chauves-souris ». Mais les travaux de recherche ont été interdits en octobre 2014 suite à des inquiétudes sur le danger des expériences de « gain de fonction ».Malgré cette interdiction, des documents révèlent qu’en 2015, des scientifiques du WIV avaient déjà créé un virus chimérique ciblant les voies respiratoires humaines. En 2018, ils ont proposé de poursuivre ces recherches en insérant un site de clivage de la furine dans des coronavirus similaires au SRAS, une caractéristique retrouvée dans le COVID-19 et qui le rend particulièrement infectieux.Un manque de transparence
La base de données de Wuhan sur les souches virales a été retirée avant l’émergence du COVID-19, rendant impossible toute vérification des travaux en cours. De plus, des photographies montrent le personnel du WIV manipulant des chauves-souris avec un équipement de protection insuffisant, augmentant les risques de fuite accidentelle.Les services de renseignement américains ont également révélé qu’en novembre 2019, trois chercheurs du WIV ont été hospitalisés pour des symptômes similaires à ceux du COVID-19, quelques semaines avant que la pandémie ne soit déclarée.Notons que le Comité de surveillance de la Chambre a déclaré que
le Dr Daszak et EcoHealth ont « volontairement violé » des exigences liées à l’obtention d’une subvention de plusieurs millions de dollars des National Institutes of Health. Le président de la commission de surveillance et de réforme gouvernementale de la Chambre des représentants, James Comer considère cette décision du HHS comme une victoire pour « la sécurité des citoyens du monde entier ». Il a ajouté que l’EHA et son président « corrompu » sont exclus pour avoir utilisé les fonds des contribuables à financer des recherches de gain de fonction en Chine.
Le vice-président principal du White Coat Waste Project, Justin Goodman, a aussi salué cette décision du HHS. « Mieux vaut tard que jamais » a-t-il déclaré. « Depuis 2020, nous menons des efforts auprès des législateurs pour retirer le financement d’EcoHealth », a-t-il ajouté. Selon Goodman, les enquêtes ont révélé que l’organisation a reçu 60 millions de dollars des fonds des contribuables depuis le début de la pandémie. Parmi la liste des partenaires de l’Alliance, on y trouve plusieurs entreprises comme Johnson & Johnson, fabricant de vaccin anti-COVID qui a financé la campagne de Joe Biden, l’université de la Chine Orientale (à Shanghai) , les CDC US…
Bien que certains scientifiques comme le Dr Fauci continuent de soutenir une origine naturelle du virus,
cinq années de recherches n’ont pas permis d’identifier un animal hôte ou une chaîne de transmission claire. À ce jour, plus de 220 coronavirus liés au SRAS ont été collectés par le WIV, dont au moins 100 n’ont jamais été rendus publics.Source:
https://lecourrierdesstrateges.fr/2025/ ... boratoire/
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