Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie

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Re: Vaccins Covid (et autres), vous n'avez encore rien vu !




par GuyGadeboisLeRetour » 19/11/24, 14:22

Obamot a écrit :Apparement tu omets délibérément et régulièrement la combinaison de ces symboles typographiques:
“[…]”

Apparemment, tu utilises délibérément cette combinaison de symboles typographiques pour changer, à ton seul profit, l'esprit d'un post pourtant très court qui n'aurait eu aucune raison d'être dans ce cas précis, s'il avait été posté tel qu'il le fut à l'époque. Bref, oui, en effet, une double manipulation. CQFD (bis).

Mais sortons de la porcherie et revenons à nos moutons...

Une deuxième vague de vaccins à ARNm arrive sur le marché

Par Annick BOSSU
Publié le 05/11/2024, modifié le 07/11/2024


Au Japon, un nouveau « vaccin » à ARN messager contre la Covid, décrit comme « auto-amplificateur », a été approuvé pour la première fois en novembre 2023 avant d’être utilisé dans une campagne de vaccination qui a démarré en octobre 2024. Pourtant, ce « vaccin » suscite des craintes au sein de la communauté scientifique. En quoi ce produit se distingue-t-il des « vaccins » à ARN messager déjà largement utilisés lors de la crise Covid ? Pourquoi donne-t-il lieu à des inquiétudes nouvelles ?

Les « vaccins » à ARN messager (ARNm) injectés pendant la crise Covid n’ont pas fait preuve d’une très grande efficacité.En effet, nombre de personnes ayant reçu plusieurs doses d’ARNm anti-Covid ont pu être infectées et la propagation de la maladie n’a pas été stoppée par cette vaccination. Avec les nouveaux variants du virus Sars-Cov-2, tel Omicron, l’efficacité de ces injections s’est révélée encore moindre.

Récemment, l’industrie pharmaceutique a mis au point une nouvelle génération de « vaccins » basés sur un ARNm qui, une fois injecté, sera reproduit par les cellules du corps humain. Ce vaccin est destiné à booster la réponse immunitaire et mieux protéger contre les variants émergents. Qu’en est-il exactement ?

Particularités de l’ ARNm « auto-amplificateur »

Les vaccins à ARN messager utilisés lors de la crise Covid (Pfeizer/BioNTech et Moderna) contenaient un ARNm codant pour la protéine Spike, protéine de surface du virus Sars-CoV-2. Cet ARNm avait été reconstitué de façon synthétique pour être stabilisé, optimisé et humanisé. Cet ARNm non naturel était enveloppé dans une nanoparticule lipidique, également artificielle. A l’époque de la conception de ces vaccins à ARNm, Inf’OGM expliquait que certains virus à ARN (des alphavirus et des flavivirus) possèdent une enzyme qui permet au virus de se répliquer dans la cellule de l’hôte et que l’idée des futurs vaccins à ARNm serait d’y ajouter la séquence codant pour cette enzyme, ce qui amplifierait sa réplication. C’est désormais chose faite, avec quelques variantes.

Dans son principe, le vaccin qui vient d’être autorisé et utilisé au Japon est une nanoparticule lipidique contenant de l’ARNm d’une plus grande longueur (3 à 5 fois plus) que les ARNm utilisés dans les précédents vaccins. Cet ARNm contient en effet, en plus de la séquence génétique qui permet la synthèse de la molécule antigénique Spike, quatre séquences génétiques qui codent pour un complexe enzymatique appelé « réplicase ». Ce complexe, en utilisant les processus de réplication propres à toute cellule, ici humaine, recopie la longue molécule d’ARNm grâce à la complémentarité des bases azotées. Chacune des copies d’ARNm est ensuite traduite en protéine, ce qui augmente la quantité de protéines Spike produites par rapport aux vaccins ARNm de première générationiv, mais aussi celle des réplicases. Pour les concepteurs, cela est censé fonctionner comme une « photocopieuse ».

Dans le vaccin ARCT-154, mis au point par la société de biotechnologie Arcturus Thérapeutics, l’ARN messager utilisé est celui du virus de l’encéphalite équine vénézuélienne (VEEV), un alphavirus (à ARN) dont les gènes structurels (mais pas ceux codant pour le complexe réplicase) ont été remplacés par une séquence de la protéine Spike du SARS-CoV-2v telle que préparée dans les vaccins à ARNm de première génération et adaptée au variant Omicron.

Dans la modélisation de l’efficacité vaccinale relative du « vaccin » ARCT-154 (d’octobre 2024), celle-ci est corrélée à la réponse immunitaire en matière de taux d’anticorps. Les concepteurs concluent que « le vaccin ARCT-154 à ARNsa [sa pour « self amplifying »] devrait avoir une efficacité plus large et à plus long terme que le BNT162b2 [vaccin de Pfeizer/BioNTech] y compris contre les futurs variants circulants d’Omicron ». Le conditionnel de cette observation, qui marque l’incertitude des résultats, n’empêche pas la campagne de vaccination avec ARTC-154 au Japon et les avantages supposés n’ont pas été complétées par les études d’innocuité sur le long terme.

Quelles conséquences de la production d’ARNm par les cellules humaines ?


Ce « vaccin » à ARNm auto-amplificateur présente les mêmes incertitudes que ceux à ARNm déjà utilisés contre la Covid : possibilité de rétrotranscription de l’ARN en ADN, production de protéines imprévues, parfois allergisantes ou toxiques puisqu’un des nucléotides intégrés dans l’ARN n’est pas naturel (pseudo-uracile), excrétion de l’ARNm vaccinal de ses cellules de production et possibilité d’excrétion de l’ARNm ou de la protéine Spike hors du corps humain. A noter que cette dernière n’a pas été étudiée chez l’ être humain dans la phase d’essais des vaccins de première génération. Seule une étude incomplète chez le rat a été conduite.

Rappelons que, sur la base d’un document de l’Agence européenne du médicament (European Medicines Agency, EMA), les vaccins à ARNm dans leur ensemble répondent à la définition des médicaments de thérapie génique. Cependant, leur désignation en tant que « vaccin » leur permet d’échapper aux exigences des essais cliniques pour les produits génétiques, qui concernent en particulier la bio-distribution, le potentiel d’excrétion et la génotoxicité.

Avec ce « vaccin » auto-réplicateur, les quantités d’ARNm produites sont encore moins maîtrisées mais, du fait de l’ajout de séquences codant les réplicases, ces quantités seront grandement augmentées, avec en conséquence des quantités de protéine Spike supérieures. Comme le souligne l’EMA, cette protéine abondamment produite sera excrétée des cellules de production soit nue (non-neutralisée par des anticorps), soit dans des vésicules (dites d’exocytose) et distribuée dans de nombreux organes. Cette protéine, présente là où elle ne devrait pas, est responsable des effets secondaires observés suite à la vaccination. Avec l’augmentation de la quantité de protéines produites, ces derniers seront donc amplifiées. Or, parmi ces effets indésirables désormais reconnus par les agences réglementaires, citons, entre autres : les troubles hormonaux (troubles menstruels et fausses couches), troubles cardio-vasculaires, maladies auto-immunes… Beaucoup de ces troubles sont dus au fait que le récepteur de Spike est le même que celui de certaines hormones (ACE 2).

L’excrétion hors du corps humain d’éléments vaccinaux n’est pas non plus impossible. En effet, l’ARNm vaccinal circule dans les fluides corporels (sang, lymphe…) essentiellement dans les vésicules qui se sont formées dans les cellules de production de l’ARNm. Celles-ci, contenant de l’ARNm ou de la Spike, pourraient donc se retrouver dans les sécrétions (urine, salive, sueur, fluides nasopharyngés, lait maternel, etc.) et traverser la peau ou la barrière placentaire. Un document de Pfizer évoque cette possibilité. L’excrétion des nanoparticules injectées et contenant l’ARNm vaccinal n’est pas non plus exclue quand celles-ci sont présentes en trop grande quantité. Ces vésicules et ces nanoparticules excrétées contenant de l’ARNm vaccinal sont-elles capables de pénétrer dans l’organisme de personnes non vaccinées ? Chez l’animal, ces vésicules ou ces nanoparticules sont déjà des vecteurs de molécules testées avec succès en thérapie génique ou pour des vaccins, et ce par voie intranasale ou transcutanée, preuve qu’elles peuvent pénétrer de cette façon.

La transmission potentielle d’éléments vaccinaux contre la Covid à des personnes non vaccinées est donc une question sans réponse à l’heure actuelle. Si une telle situation devait se présenter, des questions sanitaires et éthiques se poseraient inévitablement. Le risque de se retrouver « vacciné » contre son gré existerait alors, avec de potentielles conséquences génétiques humaines non élucidées à ce jour.
https://infogm.org/une-deuxieme-vague-d ... le-marche/
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par Obamot » 19/11/24, 14:40

Encore un pavé pour détourner la conversation!
En pleine paranoïa, je viens de prouver le contraire.


Tu viens toi-même d’abréger mon propos

J’AI PROUVÉ QUE LA RAISON D’ÊTRE DE CES CROCHETS ÉTAIT JUSTEMENT DE RENDRE IMPOSSIBLE TOUTE MANIPULATION EN SIGNALANT SANS AMBIGUÏTÉ […] LE MARQUAGE […] VOULU PAR L’ABRÉVIATEUR.

SI TU VEUX FAIRE UNE DÉMONSTRATION, ALORS IL FAUT DÉMONTRER, mais là tu nous sors ton habituelle approche sophistique qui devrait s’auto-valider sans elle! Non sequitur…

Encore des allégations sans aucun exemple concret, bref… La porcherie avec tes déjections de mère2 c’est toi ici, tu veux des liens sur tes crottes? L’ordure qui a forcé le trait (grâce à tes ouailles) et a fait fuir plus d’un tiers du forum (voir le fil sur le départ de Remundo, DID67 et autres ) ça c’est ultra concret, référencé, prouvé, plié. Tu mens impunément au point que Remundo a été débordé et à préféré arrêter les frais... Un jour on connaîtra probablement les raisons réelles de tes accointances mystérieuses avec ton Boss (même si on n’a pas besoin de savoir les détails, beaucoup de choses ont déjà été rendue publique) donc cause toujours… :oops: :oops: :oops:

Arrête tes escroqueries intellectuelles… C’est tout.
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par sicetaitsimple » 19/11/24, 16:38

Obamot a écrit :[size=150]Encore un pavé pour détourner la conversation!

Au contraire, le "pavé" est totalement en phase avec le titre du fil!
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par GuyGadeboisLeRetour » 19/11/24, 16:42

sicetaitsimple a écrit :
Obamot a écrit :Encore un pavé pour détourner la conversation!

Au contraire, le "pavé" est totalement en phase avec le titre du fil!

Le mec avoue en plus, être en pleine crise de paranoïa !!!
Je cite, sans trucage:
En pleine paranoïa, je viens de prouver le contraire.
Est-ce là un appel au secours ? :cheesy:

J’AI PROUVÉ QUE LA RAISON D’ÊTRE DE CES CROCHETS ÉTAIT JUSTEMENT DE RENDRE […] POSSIBLE TOUTE MANIPULATION EN SIGNALANT SANS AMBIGUÏTÉ […] LE MARQUAGE […] VOULU PAR L’ABRÉVIATEUR.
:wink:
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Ahmed
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par Ahmed » 19/11/24, 17:05

Depuis qu'Obamot se soit officiellement et dignement retiré pour se consacrer à ses lourdes et essentielles tâches, il n'a jamais été aussi présent... :frown:
...ceci étant parfaitement conforme à mes (faciles) prévisions: désolé d'avoir eu raison, même si mon mérite est bien mince en la matière...
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par gegyx » 19/11/24, 19:15

oui et alors ? Le marabout de l'indigence ?


/ dans le doute, abstiens- toi de dire des sornettes
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reinoso
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par reinoso » 18/03/25, 16:44

le livre de Corinne Lalo représente un vrai travail d investigation il est extrêmement fouillé et sourcé
elle explique comment les chinois ont sorti une séquence de virus du chapeau et que de nombreux labos travaillaient sur une séquence quasi identique
... et qu' ils avaient déjà préparé le pseudo vaccin arnm bien avant la pseudo pandémie ( y compris institut Pasteur comme l avait annoncé maladroitement le professeur Fournillan )

ne regardez pas cette vidéo complotiste car vous pourriez apprendre ( en moins de 10 minutes ) comment fonctionne l arrière boutique des ces gouvernements corrompus

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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par izentrop » 18/03/25, 19:18

GuyGadeboisLeRetour a écrit :Le risque de se retrouver « vacciné » contre son gré existerait alors, avec de potentielles conséquences génétiques humaines non élucidées à ce jour.
https://infogm.org/une-deuxieme-vague-d ... le-marche/
Il y avait longtemps que tu nous avait pas posté ce genre d'article complotiste provenant d'un site complètement azimuté :shock:
La Commission européenne approuve KOSTAIVE® de CSL et Arcturus Therapeutics, le premier vaccin à ARNm auto-amplifiant contre la COVID-19
14 février 2025 à 8 h 00 HNE

- KOSTAIVE représente une avancée significative dans la technologie des vaccins, démontrant une immunogénicité et une persistance des anticorps supérieures jusqu'à 12 mois après la vaccination par rapport aux vaccins conventionnels à ARNm contre la COVID-19 dans les essais cliniques
https://ir.arcturusrx.com/news-releases ... erapeutics
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par janic » 18/03/25, 20:03

Il y avait longtemps que tu nous avait pas posté ce genre d'article complotiste provenant d'un site complètement azimuté
https://ir.arcturusrx.com/news-releases ... erapeutics
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Avis sur les vaccins Covid, immunité, effets secondaires et immunologie




par GuyGadeboisLeRetour » 18/03/25, 20:23

izentrop a écrit :C'est sans danger, c'est sur des rails, c'est approuvé...j'ai même mis le lien du fabriquant !


Une autorisation qui inquiète les experts

Après le Japon, l’Agence Européenne du Médicament vient d’émettre un avis favorable pour une nouvelle génération de vaccins à ARN messager auto-répliquant (kostaive). Cette technologie, basée sur le vaccin ARCT-154 développé par Arcturus Therapeutics, est qualifiée par Jean-Marc Sabatier de « la pire de toutes » et « la plus dangereuse » en raison d’une production continue et non maîtrisée de protéine Spike dans l’organisme.
Les différentes technologies vaccinales : comprendre les spécificités

Pour mieux saisir la particularité des vaccins ARN messager, il est essentiel de comprendre les différentes approches vaccinales existantes :

Les vaccins traditionnels inactivés


Cette technologie classique utilise le virus entier, tué chimiquement ou par la chaleur. Le système immunitaire reconnaît l’ensemble du virus inactivé et développe une réponse immunitaire. C’est le cas des vaccins contre la poliomyélite ou l’hépatite A. Ces vaccins sont stables et éprouvés, mais nécessitent souvent plusieurs doses pour être efficaces.

Les vaccins vivants atténués

Ces vaccins contiennent une version affaiblie du virus vivant, capable de se reproduire mais pas de provoquer la maladie chez les personnes en bonne santé. Les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole utilisent cette technique. Ils sont très efficaces mais contre-indiqués chez les personnes immunodéprimées.

Les vaccins à sous-unités protéiques


Cette approche n’utilise que des fragments spécifiques du virus, généralement des protéines de surface. Le vaccin contre l’hépatite B appartient à cette catégorie. Ces vaccins peuvent nécessiter des adjuvants pour renforcer la réponse immunitaire.

Les vaccins à vecteur viral

Ces vaccins utilisent un virus inoffensif modifié pour transporter une partie du code génétique du virus ciblé. Le vaccin AstraZeneca contre la Covid-19 utilise cette technologie. Ces vaccins induisent une forte réponse immunitaire mais peuvent être affectés par une immunité préexistante contre le vecteur viral.

Les vaccins ARN messager

Contrairement aux approches précédentes, les vaccins ARNm ne contiennent ni virus ni protéines, mais uniquement les instructions génétiques pour que nos cellules fabriquent une protéine spécifique du virus. Cette approche présente plusieurs particularités :

– Production directe par nos cellules de la protéine virale ciblée

– Absence de risque d’infection car aucun virus n’est utilisé

– Capacité à être modifiés rapidement pour s’adapter aux nouveaux variants

– Dans leur version classique, l’ARN messager se dégrade naturellement en quelques jours

L’ARN messager : des vaccins classiques à l’auto-réplication

Les vaccins ARN messager (ARNm) représentent une approche innovante qui se distingue des vaccins traditionnels. Au lieu d’injecter un virus inactivé ou atténué, ces vaccins utilisent des fragments d’instructions génétiques sous forme d’ARN messager. Ces instructions ordonnent aux cellules de fabriquer une protéine spécifique du virus – dans le cas du Covid-19, la protéine Spike. Cette protéine, inoffensive en elle-même, est ensuite reconnue par le système immunitaire qui développe des défenses contre elle.

Dans les vaccins ARNm classiques comme ceux de Pfizer ou Moderna, l’ARN messager est injecté en quantité définie et se dégrade naturellement au bout de quelques jours, limitant ainsi la production de protéine Spike dans le temps et en quantité. C’est comme un message unique qui s’autodétruit après avoir été lu par nos cellules. Une fois le message effacé, la production de protéine s’arrête.

En revanche, la nouvelle génération de vaccins ARNm auto-répliquants introduit un changement fondamental qui inquiète le Dr Sabatier. Ces vaccins contiennent des instructions permettant à l’ARN de créer des copies de lui-même dans les cellules. C’est comparable à un message qui, avant de s’effacer, créerait de nouvelles copies de lui-même. Ces copies continuent ensuite à se multiplier de façon autonome, sans qu’on puisse contrôler ni leur nombre ni leur destination dans l’organisme. Selon le Dr Sabatier, cette auto-réplication continue pose un risque majeur car la quantité de protéine Spike produite devient incontrôlable. « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller« , affirme-t-il avec inquiétude.

Le mécanisme précis expliqué par le Dr Sabatier


Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et expert en biologie cellulaire, détaille le fonctionnement de cette technologie. Ces nouveaux ARNm contiennent une portion d’ARN additionnelle codant pour un complexe réplicase. Ce complexe possède une activité ARN polymérase ARN dépendante, lui permettant de créer un brin d’ARN complémentaire au brin initial. Le processus génère un ARN double brin, dont le brin complémentaire sert de matrice pour fabriquer d’autres copies de l’ARN messager original.Le scientifique qualifie cette approche d’hérésie et prévoit des conséquences néfastes pour l’organisme humain, notamment en raison de la production continue dans le temps.

Les risques majeurs identifiés

Le chercheur pointe plusieurs dangers spécifiques. Comme il l’explique avec précision : « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller ». Contrairement aux vaccins ARNm actuels, les versions auto-amplifiantes contiennent un complexe enzymatique capable de répliquer l’ARN messager indéfiniment. Cette réplication incontrôlée soulève des inquiétudes majeures concernant :

1. Impact sur le système immunitaire


Les observations de Sabatier révèlent des risques significatifs pour le système immunitaire. Ses recherches indiquent qu’une production excessive de protéines virales pourrait déclencher des réactions auto-immunes. L’impact sur les cellules saines environnantes fait l’objet d’une attention particulière dans son analyse.

2. Persistance dans l’organisme

L’expert souligne que la persistance de l’ARN auto-répliquant dans l’organisme constitue un point critique. Ses travaux montrent que contrairement aux vaccins traditionnels, la durée d’action devient moins prévisible. Les mécanismes d’élimination de ces séquences génétiques demandent selon lui une investigation approfondie.

3. Interactions cellulaires complexes

Les recherches de Sabatier mettent en évidence la nécessité d’études approfondies sur les interactions cellulaires. Son expertise en biologie cellulaire lui permet d’identifier des zones d’investigation cruciales, notamment concernant l’impact sur différents types de cellules et tissus.

4. Stabilité génétique incertaine

Le scientifique met en lumière les enjeux de stabilité génétique. Ses analyses démontrent que les séquences auto-réplicantes pourraient potentiellement muter durant leur multiplication. Ce processus pourrait générer des variants imprévus de la protéine virale, nécessitant selon lui une surveillance particulière.

Les recommandations du Dr Sabatier

Face à ces observations, Sabatier propose des protocoles de suivi spécifiques. Il préconise la mise en place d’une surveillance rigoureuse et le développement d’outils de détection précis pour étudier le comportement de ces vaccins dans l’organisme.

L’impact sur la communauté scientifique

Les analyses de Sabatier trouvent un écho dans la communauté scientifique. Plusieurs laboratoires internationaux examinent actuellement les points soulevés par le chercheur. Ses observations contribuent à enrichir le débat scientifique sur cette nouvelle technologie.

Questionnements éthiques majeurs

Les travaux du Dr Sabatier soulèvent plusieurs questions éthiques fondamentales. D’abord, le principe du consentement éclairé est mis en cause : comment garantir qu’un patient puisse donner son accord en toute conscience pour un traitement dont la durée d’action et l’étendue sont imprévisibles ? Ensuite, la question de la réversibilité se pose : contrairement aux vaccins traditionnels, l’impossibilité d’arrêter le processus d’auto-réplication une fois déclenché soulève des interrogations sur l’autonomie du patient.

Le chercheur pointe également des questions de responsabilité médicale : comment établir la causalité entre le vaccin et d’éventuels effets indésirables si la production de protéine Spike peut continuer indéfiniment ? De plus, la possibilité théorique de transmission de ces séquences génétiques entre individus pose la question de l’impact sur les personnes non vaccinées, notamment dans le cas des femmes enceintes ou des personnes immunodéprimées.
Sur le plan de la recherche, le Dr Sabatier souligne l’importance du principe de précaution. Il estime que l’autorisation d’une technologie aux effets potentiellement illimités dans le temps nécessiterait logiquement des études de sécurité sur le très long terme, ce qui pose un paradoxe méthodologique.

Évolution du cadre réglementaire

Ces observations participent activement à l’évolution des protocoles d’évaluation. Les autorités sanitaires doivent notamment repenser leurs critères d’évaluation traditionnels, basés sur une durée d’action prévisible et limitée des traitements. L’établissement de nouveaux critères de sécurité pour encadrer ces innovations biotechnologiques devient crucial, particulièrement concernant le suivi à long terme et la pharmacovigilance.
https://www.vulgaris-medical.com/fr/alt ... -le-marche

Mais bien entendu, Jean Marc Sabatier (directeur de recherche au CNRS, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie, et d’une HDR en biochimie. Il a dirigé plusieurs équipes de recherche académique (CNRS, INSERM et université), ainsi qu’un laboratoire de recherche mixte
académique-industrie consacré à l’ingénierie des peptides thérapeutiques) est un complotiste de la pire espèce et un incompétent notoire.
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