Cancer et environnement

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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bham
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Cancer et environnement




par bham » 06/04/08, 06:13

A défaut de rubrique sur la santé, je poste ici.

Cancer et environnement
Annie Sasco, épidémiologiste à l'Inserm
"Face au cancer, il existe des éléments que l'individu ne peut pas contrôler"

LE MONDE 01.04.08

Médecin épidémiologiste, le docteur Annie Sasco a travaillé plus de vingt ans au Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Elle est désormais directrice de recherche à l'Inserm (unité 897-Bordeaux), responsable de l'équipe épidémiologie pour la prévention du cancer.

Question : Dans son rapport du 18 février, l'académie nationale de médecine note une diminution du nombre de cancers du sein depuis 2005 et l'attribue à la moindre utilisation des traitements hormonaux substitutifs (THS). Les études scientifiques mettant en cause les effets secondaires des THS datent du début des années 2000. Peut-on, si vite, mesurer l'impact d'un moindre recours à ces traitements ?

Réponse : Les produits de nature hormonale peuvent avoir deux types d'action. Soit être un cancérogène au sens traditionnel du terme, c'est-à-dire capable d'induire une mutation de l'ADN, soit être un excellent facteur de croissance, donc favoriser la croissance des cellules, en particulier des cellules cancéreuses. Comme il s'agit d'un effet de promotion à relativement court terme, cela peut expliquer que, si on supprime le THS chez des femmes qui, du fait de leur âge, sont susceptibles d'avoir dans leurs organismes quelques cellules cancéreuses (ce qui ne veut pas dire que toutes feront un cancer), on parvienne à une baisse rapide du nombre de cancers.
Chez certains individus, des cellules cancéreuses peuvent rester tranquilles dans leur coin, contrôlées par l'organisme. Mais si on les aide à pousser en leur donnant des facteurs de croissance elles vont se réveiller. Néanmoins, le cancer qui arrive n'est pas forcément lié uniquement au THS. Il y a toujours plusieurs facteurs mais le THS peut favoriser l'apparition du cancer du sein.

Q : L'académie prend position en faveur de la chimioprévention pour les femmes étant - pour des raisons génétiques - exposées à très haut risque au cancer du sein. Qu'en pensez-vous ?

R : Je pense qu'il est urgent d'attendre et que, de toute façon, cela ne peut pas être une solution pour l'ensemble de la population. La médicalisation croissante n'est pas la seule solution. Actuellement, on assiste à un dérapage : on traite des gens qui ne sont pas encore malades pour éviter qu'ils ne tombent malades. C'est vrai dans beaucoup de pathologies (hypertension, cholestérol, etc.). Le problème est que nous ne sommes pas sûrs de réellement empêcher la survenue de la maladie et que sont utilisés des médicaments, peut-être efficaces, mais agressifs, avec des effets secondaires. Même lorsqu'ont été proposés des médicaments considérés comme non dangereux, tels que les vitamines (bétacarotène, alpha-tocophérol), pour éviter le cancer du poumon chez les fumeurs, cela n'a pas marché.
On avait remarqué que les gens qui développaient un cancer du poumon avaient des taux de vitamines dans leur sang plus bas. L'idée a alors été de leur donner un supplément de vitamines. Un premier essai réalisé, il y a quinze ans, en Finlande, a montré que ceux à qui on avait donné des vitamines avaient fait plus de cancers du poumon que ceux à qui on n'avait rien donné. Il n'est jamais neutre de modifier, par des moyens pharmacologiques, les apports des gens. Dans l'alimentation, c'est pareil. Il faut être naïf pour croire qu'avec quelques molécules chimiques insérées dans des gélules on reproduit tous les effets d'une classe d'aliments. C'est rechercher la facilité sous prétexte qu'il est plus facile de prescrire que de proscrire.

Q : Comment améliorer la prévention vis-à-vis du cancer ?

R : Dire qu'il ne faut pas fumer, boire le moins d'alcool possible, avoir une alimentation équilibrée, de préférence sans trop de résidus de pesticides et de polluants divers, faire de d'exercice physique, tout cela est très bien. Mais il existe d'autres éléments que l'individu ne peut pas contrôler : l'air qu'il respire, l'eau qu'il boit, l'endroit où il habite, l'exposition aux champs électromagnétiques. Il faudrait être plus drastique notamment sur les pesticides. Aujourd'hui, quand on fait un repas normal, en France, on est exposé aux résidus de 21 pesticides. Il faudrait davantage éliminer de notre mode de vie et de notre environnement les composés dont on sait avec certitude ou que l'on soupçonne très fortement d'être des cancérogènes pour l'être humain. Mais on se heurte à des intérêts commerciaux. Cela relève de décisions politiques sur lesquels chacun d'entre nous peut peser.


Q : Mais les récentes études montrent que le rôle joué par l'environnement (eau, air, alimentation) est extrêmement minime, inférieur à 1 %, dans les causes des cancers...

R : Les chiffres dont on dispose reflètent ce qui s'est passé au cours des trente dernières années. Il y a quarante ans, il y avait infiniment moins, dans notre environnement, de pesticides ou de champs électromagnétiques. Le téléphone portable, le Wi-Fi n'existaient pas. Or le cancer est un effet secondaire à long terme. Il faut vingt ou quarante ans, pour faire un cancer. Les effets du téléphone portable, par exemple, commencent juste à être entraperçus. Nous baignons dans les ondes. Qu'il s'agisse de l'alimentation, des radiations ionisantes, des champs électromagnétiques, des dioxines, ou encore de certains cosmétiques, faut-il attendre une certitude absolue ? Ou dire qu'il faudrait quand même faire attention parce que nous avons des données chez l'animal et quelques-unes sur l'être humain qui ne sont pas vraiment rassurantes.
Pour les cosmétiques, il faut savoir que ce n'est pas le prix qui fait la différence de qualité.

Q : Cela risque de faire beaucoup de choses vis-à-vis desquelles on serait censé faire attention...

R : Je ne veux pas angoisser les populations. Mais il est légitime de poser ces questions. L'augmentation du nombre de cancers est liée en partie au vieillissement de la population et au dépistage (c'est caricatural pour la prostate), mais cela est loin de tout expliquer. Le 27 novembre, à l'université Qinghua de Pékin, Nicolas Sarkozy, lui-même, a déclaré : "Les opinions publiques demandent que nous agissions ensemble pour que cesse le scandale des cancers dus à la pollution".
Je suis pleinement d'accord.

(Propos recueillis par Sandrine Blanchard)
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chris06
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par chris06 » 06/04/08, 14:56

Il y a quelques années pas si lointaines que ça où les gens décédaient faute d'antibiotique, où les chaudières recrachaient des nuages noirs de fumées (certainement pas écolo :cheesy: ), où les locomotives en faisaient de même, où les usines recrachaient des déchets polluants dans les rivières et autres cours d'eau....

Depuis quelques temps, il est dans l'air du temps (tiens encore l'air :mrgreen: ) de nous parler de la pollution à l'intérieure des logements, des effets peut être car il s'agit seulement pour la plupart de suppositions cancérigènes des téléphones portables et autres outils modernes.

Force est tout de même de constater que nous vivons de plus en plus longtemps malgré l'horrible pollution qui nous entoure, les cancers qui rodent pour nous sauter dessus au coin de la rue :cheesy:

Avant il n'y avait pas de téléphone portable, pas d'usine etc... et l'espérance de vie n'était pas énorme.

Ce qui est sûr c'est que l'immortalité n'existe pas :idea: et que pour beaucoup de personnes qui évoquent ces sujets dans les médias c'est aussi pour elles un moyen qu'on parle d'elles....
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jonule
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par jonule » 07/04/08, 10:04

c'est nul comme remarque, autant dire que la cancer a été inventé aussi !
on ne peut maitriser les statistiques,et surtout inciter à les produire !

c'est un peu se voiler la face ou se cacher les yeux ...
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bham
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par bham » 07/04/08, 10:31

chris06 a écrit : Il y a quelques années pas si lointaines que ça où les gens décédaient faute d'antibiotique, où les chaudières recrachaient des nuages noirs de fumées (certainement pas écolo :cheesy: ), où les locomotives en faisaient de même, où les usines recrachaient des déchets polluants dans les rivières et autres cours d'eau....
Avant il n'y avait pas de téléphone portable, pas d'usine etc... et l'espérance de vie n'était pas énorme.

Tu as en partie raison, l'espérance de vie était moins grande et l'on pouvait mourir d'une grippe, de tétanos, tuberculose....etc. Les organismes étaient sans doute aussi plus résistants.


chris06 a écrit :Depuis quelques temps, il est dans l'air du temps (tiens encore l'air :mrgreen: ) de nous parler de la pollution à l'intérieure des logements, des effets peut être car il s'agit seulement pour la plupart de suppositions cancérigènes des téléphones portables et autres outils modernes.
Force est tout de même de constater que nous vivons de plus en plus longtemps malgré l'horrible pollution qui nous entoure, les cancers qui rodent pour nous sauter dessus au coin de la rue :cheesy: ....

Oui encore en partie vrai, nous vivons de plus en plus longtemps malgré tout cela. Mais sans vouloir vivre 200 ans, pourquoi alors s'obstiner à avoir une médecine de soins et une hygiène de vie saine ?
Là où autrefois les gens mourraient d'un tas de maladies qu'on a réussi à éradiquer, aujourd'hui on meurt, en partie, du développement anarchique de nos propres cellules. Le but n'est pas de vivre le plus longtemps possible mais de vivre bien. De plus, les cancers engendrent des souffrances importantes et des coûts de maladie tout aussi importants, et ça touche ausi bien des enfants que des personnes âgées.
Pour aborder le problème des pesticides, ces derniers sont utilisés pour lutter contre les insectes, herbes indésirables, moisissures et donc pour augmenter la production, garantir la conservation des fruits et légumes (par les fongicides). Cela permet d'avoir, en théorie des fruits et légumes sains en abondance. En réalité, le consommateur paie indirectement ces traitements en achetant ses fruits et légumes pour, au final risquer de développer des cancers, source de douleurs et de coûts pour la collectivité.
Les diverses pollutions actuelles, si elles peuvent être moins "radicales" que les pollutions anciennes, n'en sont pas moins agressives et perturbantes pour des organismes qui développent alors des maladies + ou - graves, en tous cas invalidantes.
chris06 a écrit :Ce qui est sûr c'est que l'immortalité n'existe pas :idea: et que pour beaucoup de personnes qui évoquent ces sujets dans les médias c'est aussi pour elles un moyen qu'on parle d'elles....

Ce qu'on évoque dans les médias est basé en général sur des études scientifiques qui sont publiées régulièrement. Je ne pense pas que des chercheurs veuillent se faire "mousser" par des études qui leur ont demandé des mois de recherche et d'analyse. Ils font des constats, essaient de chercher les relations de cause à effet, pourquoi, par exemple y-a-t-il de plus en plus d'allergies, ce qui est une réaction de l'organisme à des éléments perturbateurs.
Encore une fois, le but n'est pas forcément de devenir immortel mais de vivre mieux. Pour ma part, je ne souhaite pas que mes enfants subissent les effets néfastes de produits ou de techniques risquant de perturber le fonctionnement de leur organisme.
Sinon, autant ne pas faire de gosses.
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chris06
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par chris06 » 07/04/08, 13:20

Ce qu'on évoque dans les médias est basé en général sur des études scientifiques qui sont publiées régulièrement. Je ne pense pas que des chercheurs veuillent se faire "mousser" par des études qui leur ont demandé des mois de recherche et d'analyse. Ils font des constats, essaient de chercher les relations de cause à effet, pourquoi, par exemple y-a-t-il de plus en plus d'allergies, ce qui est une réaction de l'organisme à des éléments perturbateurs.
Encore une fois, le but n'est pas forcément de devenir immortel mais de vivre mieux. Pour ma part, je ne souhaite pas que mes enfants subissent les effets néfastes de produits ou de techniques risquant de perturber le fonctionnement de leur organisme.
Sinon, autant ne pas faire de gosses.




Tu sais lorque les premières lignes de chemin de fer ont été construites, des scientifiques (hé oui !) disaient que le train occasionnaient des fausses couches chez les vaches... Ce n'est pas parce qu'un scientifique dit quelque chose qu'il faut avaler ses paroles... Quant aux médias, ils cherchent à faire dans le sensationnel ; faire peur aux gens notamment et apparemment ca marche...

Actuellement, on avance beaucoup de choses alors qu'en réalité ce n'est fondé sur rien.

Il y a de plus en plus d'enfants allergiques... Ca n'a rien d'étonnant lorqu'on voit les milieux aseptiques dans lesquels ils vivent. Alors forcément les organismes n'étant pas habitués à se défendre et bien ils ne se défendent pas. Les gens ont tellement peur des microbes qu'ils nettoient tout avec des produits anti-bactériens et on voit le résultat. Quand je pense que certains se promènent avec des gels antibactériens sur eux :lol:
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bham
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par bham » 07/04/08, 13:52

chris06 a écrit :
... Ce n'est pas parce qu'un scientifique dit quelque chose qu'il faut avaler ses paroles... Quant aux médias, ils cherchent à faire dans le sensationnel ; faire peur aux gens notamment et apparemment ca marche...
Actuellement, on avance beaucoup de choses alors qu'en réalité ce n'est fondé sur rien.
Il y a de plus en plus d'enfants allergiques... Ca n'a rien d'étonnant lorqu'on voit les milieux aseptiques dans lesquels ils vivent. Alors forcément les organismes n'étant pas habitués à se défendre et bien ils ne se défendent pas. Les gens ont tellement peur des microbes qu'ils nettoient tout avec des produits anti-bactériens et on voit le résultat. Quand je pense que certains se promènent avec des gels antibactériens sur eux :lol:

Oui y'a du vrai dans ce que tu dis mais est-ce une raison pour dire : ça pourrait être pire, toute cette pollution c'est de la foutaise, tout est sous contrôle ? Et les cancers sont bien liés à qqchose.
"fondé sur rien " : oui les études d'impact sont parfois contradictoires mais en général les conclusions des études se recoupent.
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par chris06 » 07/04/08, 15:36

Oui y'a du vrai dans ce que tu dis mais est-ce une raison pour dire : ça pourrait être pire, toute cette pollution c'est de la foutaise, tout est sous contrôle ? Et les cancers sont bien liés à qqchose.
"fondé sur rien " : oui les études d'impact sont parfois contradictoires mais en général les conclusions des études se recoupent.


Mais non les études scientifiques ne sont pas forcément vraies car leur conclusion sont les mêmes. L'exemple que j'ai donné précédemment pour le chemin de fer et les fausses couches des vaches étaient validé par l'ensemble de la communauté scientifique et cela n'a pas empêché que ce soit faux.

Personne ne dit que la pollution c'est de la foutaise. Simplement, cela a toujours existé sous une forme ou une autre.

Tu sembles effrayer par le cancer car dans tous tes propos quasiment, on retrouve ce mot. Le cancer existe et pareil a toujours existé simplement la medecine ne savait pas l'identifier notamment à cause d'une espérance de vie moindre qu'aujourd'hui. On sait que certains cancers sont génétiques (et oui malheureusement on peut être programmé pour en développer un), certains facteurs jouent un rôle important car prouvés : tabac, alcool, soleil notamment, certains cancers sont liés à certaines professions (là encore tous les gens travaillant dans les mêmes conditions n'en développeront pas un. Alors la génétique jouerait t'elle aussi un rôle là encore ?).

Je connais des tas de gens qui ont peur de tout mais par contre s'en vont en vacances dans des pays où l'hygiène est plus que douteuse et là sans aucun état d'âme (reviennent avec des maladies qui demanderont des soins à vie) ou se font griller au soleil des journées entières... :cry:

Bref ayons un comportement responsable mais pas une peur irraisonnée.

Bref, il est certain qu'il faut faire un effort et essayer de vivre dans un milieu le moins pollué possible mais on ne peut pas vivre dans une bulle. Il faut vivre aussi simplement.
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par boubka » 07/04/08, 19:14

on vit de plus en plus longtemps....... les vieux oui , pour nos generations on n en sait rien!
qui vivrat verra
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bham
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par bham » 08/04/08, 07:25

chris06 a écrit :Tu sembles effrayer par le cancer car dans tous tes propos quasiment, on retrouve ce mot.

Dans tous mes propos ? on voit que t'es nouveau ; sur près d'un millier de messages que j'ai posté sur ce forum, le mot cancer me semble apparaître bien peu souvent.

chris06 a écrit :Bref ayons un comportement responsable mais pas une peur irraisonnée.

Je vois que nous avons du mal à nous comprendre ; dans mon approche, il n'y a point de peur irraisonnée, juste des interrogations, de l'inquiétude justifiée sur notre environnement, notre alimentation, notre santé et de l'information que chacun est à même de considérer comme recevable ou non.

Que tu acceptes cette situation sanitaire comme n'étant finalement pas pire qu'avant, que ça a toujours existé, que les études ne démontrent finalement rien, ça te regarde, mais je trouve du coup que c'est un comportement qui n'a rien de responsable.

Et donc entre "les gens qui ont peur de tout" et ceux qui comme toi se satisfont de la situation, il me semble qu'il y a un juste milieu fait d'interrogations responsables.
Sans ces interrogations, on laisse tout faire sous prétexte qu'on ne peut pas vivre dans une bulle. Donc on nourrit des vaches avec de la M..., ça donne la vache folle, on pesticide à tout va, on bricole les gènes, on fait des clones,....etc.
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denis
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par denis » 08/04/08, 09:01

laisse ...... c'est un mec de chez monzanto ! :cheesy:
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le blanc n'existerait pas sans le noir , mais quand meme!


http://maison-en-paille.blogspot.fr/

 


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