Nucléaire : AREVA (socatri) et ASN (état) mentent comme 1986

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jonule
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Nucléaire : AREVA (socatri) et ASN (état) mentent comme 1986




par jonule » 15/07/08, 16:39

début Juillet, Socatri (EDF AREVA) déverse "par accident" 30 m3 d'éffluents radioactifs dans le sol et rivière du site à Tricastin, par le fleuve et la nappe phréatique le poison mortel se déverse, contamine l'enivronnement et ses populations.
l'accident n'est déclaré que plus tard le lendemain, le mal ayant eu le temps d'être fait.

>Comme en 1986 à Tchernobyl, le meme lobby incompétent ment à la population, à travers des outils (notamment une nouvelle loi sur la transparence / secret défense).



l'organisme indépendant la CRIIRAD le seul, créé en 1986 suite à Tchernobyl pour dénoncer à l'époque le scandale, que pas assez de personne n'ont écouté ou cru malheureusement mes parents y compris (oui j'ai magné du lait des oeufs et bien d'autres aliments contaminés je n'ai pas attaqué la France pour autant) a mis à jour certaines informations dont le public a droit à avoir accès.

Notamment qu'il n'y a pas QUE de l'uranium naturel dans les rejets, et qu'il est bien + dangereux à bien des points de vue que le niveau de radioactivité ambient des Vosges ne t'en déplaise chatam. tu devrais ouvrir les yeux un peu, meme si tu n'es plus concerné.

Moi aussi je reviens d'un super week-end et ce que je craignais s'est bien passé ...

De plus en plus de zones d’ombre et de laxisme :

La CRIIRAD épingle la SOCATRI et l’ASN
Communiqué du 11 juillet 2008

La CRIIRAD a procédé à l’analyse critique des documents diffusés par la SOCATRI, documents qui ont servi de base à l’information diffusée par les services officiels, et notamment par les préfectures de la Drôme et du Vaucluse1. Il s’agit de deux documents d’information émanant de l’exploitant à l’origine de la pollution, la SOCATRI et adressés par fax au conseil général de la Drôme qui les a retransmis à la CRIIRAD, en tant que membre de la CIGEET, par fax, le 10 juillet :

- à 9h20 pour le document envoyé par la SOCATRI, la veille, à 23h ;
- à 16h52 : un document de 13 pages envoyé par la SOCATRI le matin même à 8h09 (soit un délai de plus de 8 heures pour la retransmission de l’information).
Elle a également pris connaissance du communiqué et des décisions publiées ce jour 11 juillet par l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN).

Opacité et irresponsabilité du côté de l’exploitant (SOCATRI-AREVA)

Opacité sur la composition radiologique et chimique du contenu de la cuve


Dès le 8 juillet, la CRIIRAD demandait la publication des informations chiffrées relatives aux effluents uranifères qui se trouvaient dans la cuve qui a débordé :

1/ caractérisation radiologique avec tous les isotopes (notamment ceux de l’uranium, y compris les uraniums artificiels présents dans l’uranium de retraitement que la Socatri est autorisée à traiter). 2/ caractérisation chimique.

Plus de 3 jours après la fuite ces données de base n’ont toujours pas été rendues publiques.

Par ailleurs, l’échantillon d’eau prélevé par la CRIIRAD le 9 juillet vers 16 heures dans la Gaffière, à l’aval immédiat du site de la SOCATRI a été confié pour analyse par spectrométrie de masse au laboratoire d’analyse de la Drôme. L’analyse révèle la présence d’atomes de masse 236 ce qui suggère la présence d’uranium 236. Si ce résultat était confirmé, il démentirait les affirmations de la SOCATRI sur la présence exclusive d’uranium à composition isotopique naturelle (pas d’uranium artificiel et 0,7% d’uranium 235).

Opacité sur la pollution de la nappe alluviale

Selon les derniers chiffres publiés par la SOCATRI et repris par l’Etat, 224 kg d’uranium auraient été rejetés dans l’environnement : 1/3, soit 74 kg se seraient déversés dans la Gaffière (et de là vers le lac Trop Long et le Lauzon) et 2/3, 150 kg se sont répandus sur le sol. La SOCATRI a affirmé que la contamination n’avait pas atteint la nappe alluviale… mais sans publier aucun résultat qui permette de le garantir. La CRIIRAD renouvelle sa demande sur la publication des résultats des analyses de carottages de sol qui devraient permettre de savoir jusqu’à quelle profondeur est parvenue la contamination. La CRIIRAD demande la publication de tous les résultats : extension spatiale, activités massiques, volumes de terres contaminés, etc.

La CRIIRAD demande également la publication des niveaux de contamination de l’ensemble des piézomètres installés sur le site nucléaire (l’ensemble du site et pas seulement l’emplacement SOCATRI) ainsi qu’à ses abords. Pour évaluer la situation, il est indispensable de connaître la situation avant le rejet accidentel (chiffres les plus récents mais avant la pollution) et les résultats des analyses effectuées depuis lors.

L’analyse des résultats des mesures effectuées sur le sol et dans la nappe permettra de vérifier si la contamination a ou n’a pas atteint la nappe (avec la réserve qu’il s’agira des chiffres des exploitants). Rappelons en effet que, sur le site nucléaire du Tricastin, la nappe alluviale est très superficielle : à environ 2 à 4 mètres du niveau du sol.

Les retards dans la publication des résultats ne sont pas de bon augure. L’expérience de la CRIIRAD montre que lorsque les analyses démontrent l’absence d’impact elles sont communiquées immédiatement et spontanément ; lorsqu’il y a des réticences et des délais c’est en général que les responsables veulent dissimuler des problèmes et attendent que les valeurs diminuent pour donner des résultats plus rassurants.



Par ailleurs, la CRIIRAD a constaté qu’au moins deux exploitants du site du Tricastin (CEA et AREVA NC) préfèrent laisser le sol et la nappe alluviale se contaminer plutôt que de retirer les déchets radioactifs à l’origine des pollutions. Ils laissent la contamination parvenir jusqu’à la nappe et mettent en place un pompage (sur des années, voire des dizaines d’années) et rejettent l’eau contaminée sans traitement, directement dans le canal Donzère-Mondragon). Cette pratique qui constitue une violation des règles fondamentales de gestion des déchets radioactifs a été mise en œuvre sur la partie nord-est du site de Tricastin (cf. dossier déchets radioactifs enfouis dans butte de terre). Ces pratiques bénéficiant jusqu’à ce jour d’une totale impunité, on est en droit de craindre que la SOCATRI n’utilise la même technique. En tout cas cela doit être absolument vérifié.

Incohérences dans les résultats d’analyses des eaux de la Gaffière et du Lauzon

Zone de Texte: La SOCATRI a effectué des prélèvement dans le Rhône – amont, dans le site (canal et Gaffière), dans l’environnement (11 stations échelonnées sur le cours de la Gaffière, puis du Lauzon jusqu’à son point de rejet dans le Rhône, au sud de Pont-Saint-Esprit). Les résultats (en microgrammes d’uranium par litre d’eau) sont repris dans le tableau ci-dessous.

Ils soulèvent un certain nombre de questions, et notamment :

1/ où est passée la contamination entre l’intérieur et l’extérieur du site SOCATRI : le ruisseau dit La Gaffière traverse le site Socatri, passe sous la route et ressort de l’autre côté, à travers deux buses. Que s’est-il passé entre le site Socatri où la contamination de la Gaffière atteint 41 600 µg/l le 8 juillet à 9h30 et l’extérieur du site, à quelques dizaines de mètres, où la contamination a chuté à 49 µg/l ? 99,9% de la contamination se sont volatilisés en quelques minutes et il n’y a pas une ligne d’explication. Les autorités préfectorales, l’ASN et l’IRSN ne sont pas très curieux puisqu’ils reprennent et diffusent ces données sans se poser apparemment aucune question.

2/ pourquoi les niveaux de contamination augmentent à partir du confluent de la Mayre Girard et de la Gaffière ? Officiellement, il n’y a pas eu de fuite dans la Mayre Girard, ruisseau qui passe en limite ouest du site du Tricastin. Soit c’est faux (et SOCATRI a aussi menti sur ce point) ; soit ces valeurs indiquent qu’une première vague de rejets radioactifs dans l’environnement a eu lieu bien avant 6h30 (et SOCATRI l’a dissimulé… à moins qu’elle ne s’en soit même pas aperçu).

Questions sur la contamination de l’eau de nappe sur les communes de Bollène, Lapalud et Lamotte-du-Rhône

Plusieurs témoignages convergents de résidents de la zone affectée par la pollution2 font état de prélèvements d’eau de nappe effectués par la SOCATRI dans leur puits privé (eau qu’ils utilisent habituellement pour leur consommation et pour l’irrigation). Ils ont alors appelé la SOCATRI pour obtenir le résultat des analyses. Leur interlocuteur leur a répondu que l’eau de leur puits présentait une contamination supérieure à la norme mais sans leur donner de valeur chiffrée et en refusant absolument de leur communiquer le moindre document écrit. Dans tous les cas, la consigne aurait été la même : « adressez-vous à notre service juridique de la SOCATRI qui s’occupera de votre indemnisation ! »

Ces témoignages sont cohérents avec une note figurant au bas d’un des tableaux de la page 1/13 du document envoyé par la SOCATRI au Conseil général de la Drôme. Une lecture rapide du tableau semble indiquer qu’aucun résultat ne dépasse les normes de l’OMS de 15 µg/litre. Or, la note fait mention d’un résultat plus inquiétant, qui dépasse de plus de 4 fois la limite OMS : 64 µg/l. Rien n’est indiqué quant à l’heure du prélèvement : 6h, 9h, 13h … ? Tout est fait au contraire pour laisser croire au lecteur que ce chiffre n’est pas validé, qu’il s’agit d’une anomalie métrologique. La CRIIRAD est convaincue qu’il n’en est rien : s’il s’agissait d’une erreur de mesure cela serait indiqué.

Rien ne permet de conclure que cette valeur de 64 µg/l constitue un maximum. Les contrôles n’ont pas été effectués avec une fréquence suffisante pour s’en assurer. On ne connaît toujours pas la chronologie de l’extension de la contamination dans les eaux de la nappe superficielle. De plus, les témoignages dont nous disposons font état de plusieurs dépassements des normes. Un seul résultat figure dans le tableau établi et diffusé par la SOCATRI.

Comment se fait-il que nous en soyons réduits à de telles interrogations ?

Est-ce au pollueur de mener l’enquête ?

Que font les services de l’Etat ?


Rappelons les garanties qu’est censée apporter la loi du 13 juin 2006. L’article 18 stipule par exemple que :

« L'État est responsable de l'information du public sur les modalités et les résultats du contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection. Il fournit au public une information sur les conséquences, sur le territoire national, des activités nucléaires exercées hors de celui-ci, notamment en cas d'incident ou d'accident. »

L’auto-surveillance (le contrôle exercé par l’exploitant lui-même) joue déjà un rôle très (trop)3 important en situation normale. En situation de pollution accidentelle, cette prééminence du pollueur par rapport au contrôleur pose des problèmes encore plus aigus.

L’ASN vient d’annoncer sa décision de renforcer le plan de surveillance … de la SOCATRI ! L’exploitant pollueur devra effectuer des mesures une fois par jour et informer l’ASN et les préfectures de toute évolution anormale.

Laxisme du côté de l’ASN

· Dans ce dossier, les retards s’accumulent : retard dans l’information, retard dans la mise en œuvre des mesures de protection… et retard dans l’inspection diligentée par l’Autorité de sûreté nucléaire : elle a eu lieu de 10 juillet, soit plus de 48 heures après le rejet. La notification a été faite le 11 juillet (24 heures supplémentaires) et elle donne encore 24 heures de délai à l’exploitant pour vidanger les cuves qui contiennent des effluents liquides radioactifs et qui fuient ainsi que celles qui sont associées à des dispositifs de secours inopérants !!!

Précisons que se pose ici la question de la responsabilité – ou de l’irresponsabilité de l’exploitant : si la SOCATRI doit attendre une inspection et une notification de l’ASN pour vider les cuves qui fuient ou qui ne sont pas associées aux cuves de rétention prescrites par l’arrêté de 2005, c’est une suspension de l’autorisation d’exercer qui s’impose, et dans les plus brefs délais !

· Les limites de rejet dans l’environnement sont pulvérisées et l’ASN ne signale que des « écarts », au maximum de simples « anomalies » !

L’ASN vient de confirmer la proposition SOCATRI de classement de la fuite radioactive au niveau 1 de l’échelle INES. Est ainsi classé comme simple anomalie, pas même comme incident, le rejet incontrôlé des effluents radioactifs qui se sont déversés dans le sol et ont pollué les ruisseaux de La Gaffière et du Lauzon. Les quantités rejetées sont pourtant 27 fois supérieures au maximum que l’exploitant est autorisé à rejeter sur l’année (et dans le canal de Donzère-Mondragon, pas dans des ruisseaux aux capacités de dilution plus de 1 000 fois inférieures !). Sans compter que la pollution de l’environnement est consécutive à la violation des prescriptions de l’arrêté interministériel du 16 août 2005.

En 2007, la SOCATRI a rejeté dans l’atmosphère 42 fois plus de carbone 14 et 5 fois plus de tritium que le maximum fixé par l’arrêté du 16 août 2005 qui régit l’installation. Le dépassement était lié pour l’essentiel à un rejet incontrôlé qui s’est produit début décembre 2007. L’ASN n’a pris aucune sanction et a classé ce dysfonctionnement grave au niveau 0 de l’échelle INES : pas un incident grave (niveau 3), ni même un simple incident (niveau 2), pas même une anomalie (niveau 1), mais un simple écart par rapport à la règle (niveau 0) !

Ce type de décision crée un climat de permissivité, voire d’impunité, extrêmement préjudiciable à la protection de l’environnement et surtout de la santé des populations environnantes : tous les polluants radioactifs et chimiques rejetés dans l’atmosphère sont directement respirés par la population.

La CRIIRAD se félicite de la décision prise par M. Didier GUILLAUME,

président du Conseil Général de la Drôme, d’organiser une réunion exceptionnelle de la CIGEET vendredi prochain 18 juillet à 8h30. En effet, les informations publiées par la SOCATRI posent plus de questions qu’elles n’apportent de réponses.

Cette réunion aura lieu à Valence, dans les locaux de la Préfecture.

1 Cf. notamment le communiqué n°5 faisant le « Point de la situation le 10 juillet à 16 heures ».

2 Il s’agit de la zone sud de l’ilot situé entre le Rhône et le canal de Donzère-Mondragon, soit la partie située à l’aval hydraulique du site nucléaire, c’est-à-dire au sud : voir image satellite google.

3 Un rôle trop important de l’avis de la CRIIRAD qui a pu démontrer à de très nombreuses reprises que cette auto-surveillance ne permettait pas de rendre compte de l’impact de l’installation et qu’elle n’était pas suffisamment contrôlée ni par les services de l’Etat ni par ceux de l’Autorité de Sûreté nucléaire qui considèrent a priori que l’exploitant fait bien son travail et exigent bien trop rarement la rectification de ses plans de surveillance environnementaux.


Voila, bon moi si j'ai affiché tout ça c'est pour que les gens se rendent compte du mensonge politique nucléaire, après je m'en bat l'oeuf.
ce que je sais c'est que tout ça aurait pu arrivé près de chez moi et de mes gosses, et que c'est pareil pour vous sauf quand il sera trop tard pour chialer de malformations ou cancers.

il ne faut pas fermer les yeux ou avoir peur, il faut être RÉALISTE bordel.




Ainsi, les 13 et 14 juillet, M. Sarkozy, qui a pris pour 6 mois la présidence de l'Union européenne, recevra à Paris de nombreux chefs d'Etat : les 27 pays de l'Union européenne seront représentés, ainsi que de nombreux pays du Moyen-Orient. En particulier, même si sa venue est incertaine, le dictateur libyen M. Kadhafi est à nouveau invité à Paris.

Or, un des objectifs principaux du Président français, lors de ces deux journées, sera de trouver des débouchés pour l'industrie nucléaire française qui, contrairement à ce qui est prétendu ici où là, est loin d'être florissante. Pour ce faire, M. Sarkozy entend :

- faire prendre en compte le nucléaire dans la catégorie... des énergies renouvelables, au mépris de l’évidence scientifique et du sens des mots.
- convaincre les dirigeants politiques étrangers que la dissémination du nucléaire ne serait pas, en dépit du bon sens, un risque en soi avec la vente de réacteurs nucléaire civils alors qu’il ne s’agit que d’une course vers la prolifération de la bombe atomique sur toute la surface du globe.

Les citoyens européens sont donc invités à se rassembler en nombre à Paris le 12 juillet pour exprimer que :
- le nucléaire n'est ni propre, ni renouvelable ;
- la vente de réacteurs nucléaires, en particulier à des dictateurs comme M. Kadhafi, met en danger l'environnement et la survie de la planète ;
- ce ne sont jamais les peuples, mais leurs dirigeants, qui veulent du nucléaire ;
- nucléaire "civil" et nucléaire militaire sont indissociables.


La majorité des 435 réacteurs en service sur la planète sont très anciens, et vont fermer dans les 20 ans qui viennent. C'est pour tenter de freiner ce déclin, et non du fait d'une prétendue "renaissance du nucléaire", que des dirigeants politiques et industriels veulent construire de nouveaux réacteurs dans divers pays. Le Réseau "Sortir du nucléaire" estime au contraire qu'il faut profiter de ces nombreuses fermetures de réacteurs pour hâter la fin de l'industrie nucléaire.

A fortiori, il ne faut surtout pas construire de nouveaux réacteurs. Les enquêtes d'opinion montrent d'ailleurs que plus de 90% des citoyens demandent prioritairement des investissements dans les plans d'économies d'énergie et de développement massif des énergies renouvelables, et non dans le nucléaire. C'est cette voie qu'il faut suivre pour sauver la planète du péril nucléaire ET lutter contre le réchauffement climatique. Et pour respecter la démocratie.
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par minguinhirigue » 15/07/08, 17:20

S'il n'y avait qu'eux ? :(

Menaces radioactives sur nos aliments, ou comment vendre et acheter légalement des aliments contaminés ! :
http://www.criirad.org/actualites/dossiers2005/menacesradioactivesaliments/menacesaliments.html
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par toto65 » 18/07/08, 18:47

Vous allez peut être me trouver parano mais je me demande si cette affaire n'est pas monté en mayonnaise.
Je m'explique.
Qu'il y ai des problèmes je suis ok. Que tout ne soit pas divulgé ok.
Que la socrati soit négligante ok. Je ne ni en aucun cas les faits.
Mais l'entreprise TOTAL et l'entreprise BOUYGUE veulent une partie d'AREVA. C'est dans les tiroirs depuis un moment (cf les divers journaux).
Je me demande juste si ce n'est pas une entré en matière pour affaiblir et découper Areva.
Je ne dis pas que c'est bien ou mal, je me pose juste la question.
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par jonule » 19/07/08, 14:30

pff ... qu'est-ce qu'on en a à fout' de leurs querelles d'apotiquaires ?
ce qui compte c'est la pollution de l'environnement et les contaminés, qui ne seront pas comptabilisés sur la liste des accidents nucléaires et sur les cartes des cancers.
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par toto65 » 01/08/08, 16:01

ce qui compte c'est la pollution

Je trouve que c'est important de ne pas être un mouton de panurge. Plusieurs cas de figure:
1-il y a toujours eu de tel accidents et ça fait des années que les infos ne nous sont pas communiquées.
2-cette usine c'est le je-m'en-foutisme complet.
3-Les médias exagèrent les faits pour vendre des bouts d'areva à TOTAL et Co.
qu'est-ce qu'on en a à fout' de leurs querelles d'apotiquaires

Tu aimerais que TOTAL gère du nucléaire?
Bien sur c'est juste une divagation de ma part, mais qu'en même je me demandé ce que des esprit affutés comme vous en penserez?
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par lejustemilieu » 01/08/08, 16:31

Toto
Tu aimerais que TOTAL gère du nucléaire?

Total, ou pas total, les "machines " seront toujours pilotées par des hommes...donc il y aura toujours des accidents.
La mécanique, l'électronique, l'électricité est aussi sujette aux accidents.
Donc, si une "machine" ou industrie est " à risque", il faut l'éliminer purement et simplement..
La voiture fait aussi des milliers de morts chaque année... :cheesy: hop, on supprime.
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Vous avez dit uranium!!




par loupenequet » 02/08/08, 03:21

Bonjour

:cheesy: Uranium, fuite,pétrtole,fuite,poillutions diverses, fuites,nuisances,fuites, armements à l'uranium enrichie,fuites etc etc......?
Est-on vraiment si étonné que cela?? Qui sème le vent récolte la tempête,Les Citoyens votent tout est dit!!! Rien n'empêche à un gouvernement de supprimer ce qui est injuste ou contre les libertés indivduelles. Que les élus soient d'un bord ou de l'autre s'ils n'ont pas leur libre arbitre il ne faut pas s'en plaindre. Certain élus qui ont été condamnés par la justice sont réélus à des postes de décideurs. Pourquoi!!! c'est pas avec le couteau sous la gorge que les Français les ont réélus donc c'est que la majorité des votants aiment les gens qui ne sont pas clairs. Dans ces onditions il faut s'étonner de rien. Pauvre France.
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par lejustemilieu » 02/08/08, 05:50

Certain élus qui ont été condamnés par la justice sont réélus à des postes de décideurs.

Ho, en Belgique c'est exactement la meme musique.
Comme dit un de mes collègues, il y a les en..leurs, et les en..lés.
Quand je vois les élections dans tous les pays, la force, la rage qu'ils ont pour etre élus, chaque fois je me demande; ils se battent pour leur pays, ou pour l'argent et le pouvoir qu'ils auront...
La réponse est claire.
Le vote est obligatoire en Belgique :cheesy: , sous peine d'amande; oui; oui démocratie..ces dernières années, je ne vais plus voter...et ce donquichotisme risque de me couter cher :?
Voilà, c'était le coup de gueule du matin. :D
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Re: Vous avez dit uranium!!




par Flytox » 02/08/08, 13:56

Bonjour loupenequet
loupenequet a écrit :Certain élus qui ont été condamnés par la justice sont réélus à des postes de décideurs. Pourquoi!!! c'est pas avec le couteau sous la gorge que les Français les ont réélus donc c'est que la majorité des votants aiment les gens qui ne sont pas clairs. Dans ces onditions il faut s'étonner de rien. Pauvre France.


Cette amnésie / immobilisme des populations par rapport à leur dirigeant pourris n'est pas que un mal Français. Il y a de nombreux exemples un peu partout dans le monde. ( Un exemple au pif )

http://www.bibliomonde.com/donnee/autri ... t-150.html

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[Eugène Ionesco]
http://www.editions-harmattan.fr/index. ... te&no=4132
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par jonule » 04/08/08, 12:20

lejustemilieu a écrit :Toto
Tu aimerais que TOTAL gère du nucléaire?

Total, ou pas total, les "machines " seront toujours pilotées par des hommes...donc il y aura toujours des accidents.

c'est une des raisons pour laquelle le nucléaire n'est pas valable dans la pratique.
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