Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
J'étais sur que cela allait te plaire !
Tu peux développer ?
Parce que moi j'ai quelques arguments...
Tu peux développer ?
Parce que moi j'ai quelques arguments...
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
Christophe » 04/10/21, 10:55
pas plus que çà!J'étais sur que cela allait te plaire !
c'est simple les humains ont plus d'imagination pour se détruire que se construire, ce qui est étonnant c'est qu'ils existent encore! Faut croire qu'il a été bien conçu malgré tout!Tu peux développer ?
j'adore les arguments!Parce que moi j'ai quelques arguments..
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« On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres: mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison » Henri Poincaré
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
janic a écrit :c'est simple les humains ont plus d'imagination pour se détruire que se construire, ce qui est étonnant c'est qu'ils existent encore!
Ton étonnement montre que tu as tord non ? C'est un argument non ?
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
christophe
ah bon? Développe pour voir!Ton étonnement montre que tu as tord non ? C'est un argument non ?
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
Non je te laisse un peu macérer pour le moment...macérer dans le schnaps évidement !
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
alors macérons, macérons
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
On se trompe un peu de débat ici. En gros:
1) l’alcool ou le joint, en tant que “substance pour se désinhiber” et briser la barriėre infranchissable qui nous coupe de l’expression de nos sentiments (vers et pour les autres) La clope ou la pause café en tant que “moyen pour se donner du courage pour se remettre au taf” (et on pourrait même rajouter les viennoiseries, sodas, et autres gâteaux...)
Toutes ces béquilles sont autant de comportements, de cognitions qui relèvent initialement de l’esprit et de la pensée et parfois de l’inconscients, c’est l’aspect volatile qui peut être compris comme pré-requis pour passer au point “2”.
2) la notion de “bénéfice VS risque” mais d’où vient-elle (hors ses origines sémantiques)? Les injections d’ARN-messager nous le font comprendre:
— donner à nos cellules l’ordre de fabriquer des substances qui lui seront délibérément nocive afin de créer une réaction immunitaire, est un mécanisme d’empoisonnement similaire à celui de l’ingestion d’une drogue. Cela dévoile que:
=> a) des fonctions métaboliques sont détournées => drogues => hyper stimulation.
=> b) de l’énergie vitale de l’organisme est prélevée pour ça, => dans l’exemple du sucre, de l’alcool => libération d’insuline.
=> c) un “produit” (poison) est fabriqué par notre corps au travers de dizaines de milliards de crochets destinés à s’enfoncer dans l’épithélium vasculaire afin de provoquer une inflammation (chronique?) dont le but serait de déclencher une réaction immunitaire... => drogue => le poison est introduit/ ingéré, délibérément.
Dans les deux cas le risque est très supérieur au bénef pour les sujets sains => détournement de fonctions métaboliques (une bonne partie de notre énergie vitale est dilapidée, non seulement pour des questions de “bilan biochimique” et ne serait-ce que pour lutter contre les vaccinations inflammations (car ce n’est pas comme si par le miracle de la pensée, notre être devait exempt des réactions métaboliques dont nous débattons en parlant d’addiction/s!).
Mais il peut y avoir des cas où le bénéfice l’emporte temporairement sur le risque! (mais, il est tout aussi dangereux de persévérer, d’en profiter et de jouer avec le feu...)
Là le problème d’addiction dont on parle dans ce fil, est le résultat d’interactions psychosomatiques et/ou psycho-biochimiques qui interagissent entre les points 1 & 2... Du coup il y a à peu prės autant de cas particuliers qu’il y a d’habitants en France. Du coup, Janic a parfaitement raison lorsqu’il dit que:
Le diable est dans le détail, ce n’est pas la dose qui a initie la dépendance.
Maintenant il faut être très prudent et ne culpabiliser personne, ni par la dose, ni sur l’approche individuelle... Ni de faire en sorte de créer cette culpabilité ou tout autre gène...
1) l’alcool ou le joint, en tant que “substance pour se désinhiber” et briser la barriėre infranchissable qui nous coupe de l’expression de nos sentiments (vers et pour les autres) La clope ou la pause café en tant que “moyen pour se donner du courage pour se remettre au taf” (et on pourrait même rajouter les viennoiseries, sodas, et autres gâteaux...)
Toutes ces béquilles sont autant de comportements, de cognitions qui relèvent initialement de l’esprit et de la pensée et parfois de l’inconscients, c’est l’aspect volatile qui peut être compris comme pré-requis pour passer au point “2”.
2) la notion de “bénéfice VS risque” mais d’où vient-elle (hors ses origines sémantiques)? Les injections d’ARN-messager nous le font comprendre:
— donner à nos cellules l’ordre de fabriquer des substances qui lui seront délibérément nocive afin de créer une réaction immunitaire, est un mécanisme d’empoisonnement similaire à celui de l’ingestion d’une drogue. Cela dévoile que:
=> a) des fonctions métaboliques sont détournées => drogues => hyper stimulation.
=> b) de l’énergie vitale de l’organisme est prélevée pour ça, => dans l’exemple du sucre, de l’alcool => libération d’insuline.
=> c) un “produit” (poison) est fabriqué par notre corps au travers de dizaines de milliards de crochets destinés à s’enfoncer dans l’épithélium vasculaire afin de provoquer une inflammation (chronique?) dont le but serait de déclencher une réaction immunitaire... => drogue => le poison est introduit/ ingéré, délibérément.
Dans les deux cas le risque est très supérieur au bénef pour les sujets sains => détournement de fonctions métaboliques (une bonne partie de notre énergie vitale est dilapidée, non seulement pour des questions de “bilan biochimique” et ne serait-ce que pour lutter contre les vaccinations inflammations (car ce n’est pas comme si par le miracle de la pensée, notre être devait exempt des réactions métaboliques dont nous débattons en parlant d’addiction/s!).
Mais il peut y avoir des cas où le bénéfice l’emporte temporairement sur le risque! (mais, il est tout aussi dangereux de persévérer, d’en profiter et de jouer avec le feu...)
Là le problème d’addiction dont on parle dans ce fil, est le résultat d’interactions psychosomatiques et/ou psycho-biochimiques qui interagissent entre les points 1 & 2... Du coup il y a à peu prės autant de cas particuliers qu’il y a d’habitants en France. Du coup, Janic a parfaitement raison lorsqu’il dit que:
janic a écrit :non, c'est sa consommation, quelle que quantité que ce soit, qui n'est pas bon! Suppose que ta femme veuille te faire mourir à petites doses de poisons: à ton avis c'est bon ou c'est pas bon puisqu'il n'y a pas d'abus, seul le temps fait l'affaire. Après avoir longtemps nié que l'alcool soit un poison sauf à forte dose, l'OMS reconnait 'enfin qu'un seul verre favorise déjà les cancerisationsphil59 a écrit : le 02/10/21, 21:38 Donc, on est bien d'accord, c'est l'abus qui n'est pas bon.aucun problème perceptible à vue d'oeil, mais sur le plan biologique [...]phil59 a écrit : Une personne qui boit 2 verres de vin par semaine n'aura sans doute aucun problème.
Le diable est dans le détail, ce n’est pas la dose qui a initie la dépendance.
Maintenant il faut être très prudent et ne culpabiliser personne, ni par la dose, ni sur l’approche individuelle... Ni de faire en sorte de créer cette culpabilité ou tout autre gène...
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
Je jette ça comme ça, vite fait...
Il est possible que la consommation -même infime- d'alcool ait un effet sur l'organisme. Mais dans ce cas, tout en a :
-la pollution des villes
-la pollution des pesticides volatiles
-l'utilisation de produits ménagers (même traditionnels, comme du vinaigre...)
-les composés volatiles des huiles ou essences pour le bois
-les micro-particules de plastique qui nous entourent
-bref, l'environnement quoi...
Reste donc le suicide -mais en bonne santé!- qui permet enfin d'être pur ? (ça c'est du taunt hein ?)
Plus sérieusement, l'espérance de vie de ces dernières décennies n'est pas franchement à démontrer. Globalement, ça doit pas aller si mal pour beaucoup de gens. Je me méfie des propos comme "non non non, tu n'as pas saisi, la bonne façon de faire, c'est CELLE CI, toute déviation est forcément mauvaise".
Je ne crois pas. Je crois qu'en dessous de certains seuils, ce n'est plus pertinent, car les autres variables sont largement plus prépondérantes.
Maintenant, le vrai débat, et Obamot a tout à fait raison, c'est la dépendance. Et ça, c'est beaucoup, beaucoup plus compliqué que ce beaucoup croient. On est pas du tout égaux génétiquement face à ça. (et socialement non plus, mais là c'est encore plus complexe) Pour simplifier à l'extrême :
-certaines personnes ont des prédispositions génétiques (ça se joue à la réponse de certaines zones du cerveau....et on comprend pas encore tout !) pour la dépendance, d'une manière générale.
-en plus de ça, on a tous des variables selon les substances en question : certaines "marchent" mieux que d'autres, pour nous.
-ça dépend des substances de manière générale, également.
Par exemple, je suis quelqu'un de globalement très peu sujet à la dépendance. C'est du bol, mais tant mieux. En revanche, je suis plus facilement dépendant du café que des autres substances (en fait, l'alcool, puisque c'est le seul autre truc que j'ai jamais essayé. Ah, si, le sucre. Mais pareil, aucune dépendance), je le sais, et donc j'y fais plus attention.
D'une manière générale, il est de bon ton -je suis d'accord- de réfléchir à "ça m'apporte quoi ?" et "ça me fait quoi ?"
Concernant l'alcool, certains aiment simplement le goût (j'adore la bière ! j'en brasse moi, d'ailleurs.), c'est un argument suffisant. Mais il faut évidemment surveiller la dépendance que la substance peut induire (et celle de l'alcool n'est plus à prouver).
Il faut donc se connaître, et là encore, c'est personnel. Malgré tout, il est utile de définir des valeurs "cibles", qui je trouve, sont dans les moeurs et les campagnes de sensibilisation, encore beaucoup trop hautes !
à l'heure actuelle, santé publique france parle de 10 doses d'alcool par semaine et 2 par jour à ne pas dépasser, ce qui est, de mon point de vue, absolument hallucinant. Je suis absolument certain qu'on peut respecter ces seuils et être totalement dépendant.
Il est possible que la consommation -même infime- d'alcool ait un effet sur l'organisme. Mais dans ce cas, tout en a :
-la pollution des villes
-la pollution des pesticides volatiles
-l'utilisation de produits ménagers (même traditionnels, comme du vinaigre...)
-les composés volatiles des huiles ou essences pour le bois
-les micro-particules de plastique qui nous entourent
-bref, l'environnement quoi...
Reste donc le suicide -mais en bonne santé!- qui permet enfin d'être pur ? (ça c'est du taunt hein ?)
Plus sérieusement, l'espérance de vie de ces dernières décennies n'est pas franchement à démontrer. Globalement, ça doit pas aller si mal pour beaucoup de gens. Je me méfie des propos comme "non non non, tu n'as pas saisi, la bonne façon de faire, c'est CELLE CI, toute déviation est forcément mauvaise".
Je ne crois pas. Je crois qu'en dessous de certains seuils, ce n'est plus pertinent, car les autres variables sont largement plus prépondérantes.
Maintenant, le vrai débat, et Obamot a tout à fait raison, c'est la dépendance. Et ça, c'est beaucoup, beaucoup plus compliqué que ce beaucoup croient. On est pas du tout égaux génétiquement face à ça. (et socialement non plus, mais là c'est encore plus complexe) Pour simplifier à l'extrême :
-certaines personnes ont des prédispositions génétiques (ça se joue à la réponse de certaines zones du cerveau....et on comprend pas encore tout !) pour la dépendance, d'une manière générale.
-en plus de ça, on a tous des variables selon les substances en question : certaines "marchent" mieux que d'autres, pour nous.
-ça dépend des substances de manière générale, également.
Par exemple, je suis quelqu'un de globalement très peu sujet à la dépendance. C'est du bol, mais tant mieux. En revanche, je suis plus facilement dépendant du café que des autres substances (en fait, l'alcool, puisque c'est le seul autre truc que j'ai jamais essayé. Ah, si, le sucre. Mais pareil, aucune dépendance), je le sais, et donc j'y fais plus attention.
D'une manière générale, il est de bon ton -je suis d'accord- de réfléchir à "ça m'apporte quoi ?" et "ça me fait quoi ?"
Concernant l'alcool, certains aiment simplement le goût (j'adore la bière ! j'en brasse moi, d'ailleurs.), c'est un argument suffisant. Mais il faut évidemment surveiller la dépendance que la substance peut induire (et celle de l'alcool n'est plus à prouver).
Il faut donc se connaître, et là encore, c'est personnel. Malgré tout, il est utile de définir des valeurs "cibles", qui je trouve, sont dans les moeurs et les campagnes de sensibilisation, encore beaucoup trop hautes !
à l'heure actuelle, santé publique france parle de 10 doses d'alcool par semaine et 2 par jour à ne pas dépasser, ce qui est, de mon point de vue, absolument hallucinant. Je suis absolument certain qu'on peut respecter ces seuils et être totalement dépendant.
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
raj
Or l'OMS ne parle pas d'addiction, mais de consommation dès un premier verre, s'ajoutant aux autres causes aggravantes citées bien entendu. Mais même avec causes supplémentaires, certains pays ont compris que le seul taux d'alcool acceptable,lorsque l'on conduit, c'est zéro!
ceci explique ta réflexion ci-dessus.Par exemple, je suis quelqu'un de globalement très peu sujet à la dépendance. C'est du bol, mais tant mieux. En revanche, je suis plus facilement dépendant du café que des autres substances (en fait, l'alcool, puisque c'est le seul autre truc que j'ai jamais essayé. Ah, si, le sucre. Mais pareil, aucune dépendance), je le sais, et donc j'y fais plus attention.
Or l'OMS ne parle pas d'addiction, mais de consommation dès un premier verre, s'ajoutant aux autres causes aggravantes citées bien entendu. Mais même avec causes supplémentaires, certains pays ont compris que le seul taux d'alcool acceptable,lorsque l'on conduit, c'est zéro!
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Re: Alcool et mortalité: 50 000 morts par an en France
raj : c’est parfaitement exact, sauf que si les polluants / toxiques (cités) en ingestion ou inhalation passive, sont un cocktail conduisant à des inflammations chroniques, ils ne sont ainsi pas à minimiser, ce d’autant que l’ont peut dire NON, à ceux connus pour être les plus addictifs (et même non addictifs: additifs alimentaires, vaccins, orgie de cosmétiques que les femmes se mettent sur la peau, etc...)
Donc oui, “rester en-dessous de tout seuil d’assimilation de toxiques reste pertinent” (et il existe des toxiques naturels) — tant que “l’on ne sait pas” => principe de précaution => REACH, c’est plus de 40’000 substances toxiques libérées par l’homme [...] — sinon comment expliquer:
— le déficit récent et endémique des populations à la vitamine “D”, même chez ceux qui s’exposent convenablement au Soleil? Et c’est un sujet actuel et gravissime...
— les “causes chimiques du VIH”...
— le cumul des effets désastreux des comorbidités dans les populations?
— etc
Mais tu as raison, chacun fait ce qu’il lui plait et on ne peut forcer personne!
Donc oui, “rester en-dessous de tout seuil d’assimilation de toxiques reste pertinent” (et il existe des toxiques naturels) — tant que “l’on ne sait pas” => principe de précaution => REACH, c’est plus de 40’000 substances toxiques libérées par l’homme [...] — sinon comment expliquer:
— le déficit récent et endémique des populations à la vitamine “D”, même chez ceux qui s’exposent convenablement au Soleil? Et c’est un sujet actuel et gravissime...
— les “causes chimiques du VIH”...
— le cumul des effets désastreux des comorbidités dans les populations?
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“Le “mal” porte en lui-même sa propre condamnation”
Liste de vrai second-nez potentiels suspectés: GuyGadeboisLeRetour,alias: Twistytwik, Plasmanu, GuyGadebois, gfgh64, etc
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