Chasse aux perturbateurs endocriniens (phtalates..) ouverte
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Phtalates et fourmis ne font pas bon ménage non plus: https://www.econologie.com/forums/post248475.html#248475
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un autre aspect des perturbateurs endocriniens, c'est leurs influences sur les modifications sexuelles chez l’être humain et de fait pour ses attirances sexuelles aussi. Je sais que c’est aborder là un sujet tabou pour certains, mais l’homosexualité en pleine expansion en est peut-être une des conséquences du fait même que l’on en fait le constat chez les autres animaux. Pour cela il faudrait des études comparatives entre population à faible consommation de perturbateurs (population dites primitives, consommateurs bio, etc…) et faire le ratio. En cas de non différence cela confirmerait ou infirmerait cette tendance.
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- sen-no-sen
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janic a écrit :un autre aspect des perturbateurs endocriniens, c'est leurs influences sur les modifications sexuelles chez l’être humain et de fait pour ses attirances sexuelles aussi. Je sais que c’est aborder là un sujet tabou pour certains, mais l’homosexualité en pleine expansion en est peut-être une des conséquences du fait même que l’on en fait le constat chez les autres animaux. Pour cela il faudrait des études comparatives entre population à faible consommation de perturbateurs (population dites primitives, consommateurs bio, etc…) et faire le ratio. En cas de non différence cela confirmerait ou infirmerait cette tendance.
Les pédiatres constates de plus en plus de cas de pubertés précoces(avant 8 ans chez la fille et 10 ans chez le garçon),la cause en serait ses fameux perturbateurs endocrinien(hors les cas médicaux spécifiques tel que infection ou malformation).
Pour autant on ne peut pas parler"d'homosexualité est pleine expansion",c'est une fois de plus un effet médiatique.
Il y avait autant d'homosexuel avant, mais tabou religieux oblige,le sujet était occulté.
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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se no sen bonjour
il est indiscutable que l'effet médiatique soit présent et que l'affichage au grand jour ait eut pour effet l'expression plus visible de cette sexualité. C'est pourquoi il serait intéressant (peut-être cela existe-t-il) que des études ciblées soient faites sur ce sujet pour estimer les différents paramètres de cette situation. L'homosexualité n'est pas un fait uniquement humain et se rencontre aussi chez les autres animaux (ou pour le moins tentative d'homosexualité) puisque la sexualité est tributaire des fonctions hormonales. Donc ces perturbateurs interviennent probablement, mais dans quelle proportion? si c'est 1ou2%, c'est négligeable, si c'est 20 ou 30% (plus ou moins) c'est un problème réel de santé et non de "morale".Pour autant on ne peut pas parler"d'homosexualité est pleine expansion",c'est une fois de plus un effet médiatique.
Il y avait autant d'homosexuel avant, mais tabou religieux oblige,le sujet était occulté.
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- sen-no-sen
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janic a écrit :] il est indiscutable que l'effet médiatique soit présent et que l'affichage au grand jour ait eut pour effet l'expression plus visible de cette sexualité. C'est pourquoi il serait intéressant (peut-être cela existe-t-il) que des études ciblées soient faites sur ce sujet pour estimer les différents paramètres de cette situation.
Oui en effet cela serait très intéressant.
Le problème c'est qu'il s'agit d'un sujet délicat.
Un certain nombre de scientifiques on établit une relation entre la génétique et l'homosexualité,alors que pendant longtemps ont privilégiait la thèse Freudienne(largement invalide).
Cela leurs a valu (malgré la qualité des travaux) des attaques de toutes part venant des communauté Gay et lesbien...toutes les vérité ne sont pas bonne à dire!
En effet reconnaitre que homosexualité serait d'origine génétique ou accentué par des perturbateurs, sous entendrait que cette dernière serait une "tare",ce qui rappellerai quelque mauvais moment de l'histoire(nazisme).
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"Le Génie consiste parfois à savoir quand s'arrêter" Charles De Gaulle.
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est il possible d'interdire le phtalate ?
il faudrait deja informer corectement de leur utilisation
la seule que je connaisse : plastifiant du PVC : c'est ce plastifiant qui transforme le pvc rigide en pvc souple , genre objet gonflable ou bache de camion
le phtalate n'est pas le seul plastifiant connu ... il y en a d'autres mais plus cher ou moins efficace
il y a du phtalate dans les jouet souple en pvc ... on pourait utiliser d'autres matiere souple genre silicone ou polyurethane helas plus chere
il faudrait deja informer corectement de leur utilisation
la seule que je connaisse : plastifiant du PVC : c'est ce plastifiant qui transforme le pvc rigide en pvc souple , genre objet gonflable ou bache de camion
le phtalate n'est pas le seul plastifiant connu ... il y en a d'autres mais plus cher ou moins efficace
il y a du phtalate dans les jouet souple en pvc ... on pourait utiliser d'autres matiere souple genre silicone ou polyurethane helas plus chere
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sen no sen bonjour
Ou plutôt « toutes les vérités ne sont pas bonnes à entendre »
Si tu as des références de ces travaux je suis intéressé.
En effet l’individu vit psychologiquement difficilement s’il se croit victime d’un défaut de dame nature, en plus, plus ou moins condamné par la « morale » du moment. Or il ne faut pas transformer une victime en coupable ce qui est trop souvent le cas comme cela se remarque chez ceux qui sont en excédent de poids et qui ne peuvent se « supporter » qu’en autojustifiant leur état dont ils peuvent être en partie la cause, mais qui peut aussi être d’ordre génétique en même temps que socioculturel. Ces obèses mis au banc de la société se réunissent et défendent alors leur droit à vivre comme tous les autres sans jugement de valeur sur leur état. L’homosexualité et d’autres situations sont dans ce cas : être reconnus et acceptés sans discrimination.
L’inconvénient c’est que si (et seulement si) leur état est lié à un empoisonnement par divers produits inventés par nos industriels, l’individu ne cherche plus à éviter cet empoisonnement et peut entériner une situation sanitaire dramatique. En quelques sortes il pourrait y avoir d’un coté de véritables homosexuels par naissance et d’autre part de faux homosexuels par intoxication.
Oui en effet cela serait très intéressant.
Le problème c'est qu'il s'agit d'un sujet délicat.
Un certain nombre de scientifiques on établit une relation entre la génétique et l'homosexualité,alors que pendant longtemps ont privilégiait la thèse Freudienne(largement invalide).
Cela leurs a valu (malgré la qualité des travaux) des attaques de toutes part venant des communauté Gay et lesbien...toutes les vérité ne sont pas bonne à dire!
Ou plutôt « toutes les vérités ne sont pas bonnes à entendre »
Si tu as des références de ces travaux je suis intéressé.
En effet reconnaitre que homosexualité serait d'origine génétique ou accentué par des perturbateurs, sous entendrait que cette dernière serait une "tare",ce qui rappellerai quelque mauvais moment de l'histoire(nazisme).
En effet l’individu vit psychologiquement difficilement s’il se croit victime d’un défaut de dame nature, en plus, plus ou moins condamné par la « morale » du moment. Or il ne faut pas transformer une victime en coupable ce qui est trop souvent le cas comme cela se remarque chez ceux qui sont en excédent de poids et qui ne peuvent se « supporter » qu’en autojustifiant leur état dont ils peuvent être en partie la cause, mais qui peut aussi être d’ordre génétique en même temps que socioculturel. Ces obèses mis au banc de la société se réunissent et défendent alors leur droit à vivre comme tous les autres sans jugement de valeur sur leur état. L’homosexualité et d’autres situations sont dans ce cas : être reconnus et acceptés sans discrimination.
L’inconvénient c’est que si (et seulement si) leur état est lié à un empoisonnement par divers produits inventés par nos industriels, l’individu ne cherche plus à éviter cet empoisonnement et peut entériner une situation sanitaire dramatique. En quelques sortes il pourrait y avoir d’un coté de véritables homosexuels par naissance et d’autre part de faux homosexuels par intoxication.
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janic a écrit :Si tu as des références de ces travaux je suis intéressé.
Jacques Balthazart directeur du Groupe de recherches en neuroendocrinologie du comportement (université de Liège, Belgique) à écrit un ouvrage sur le sujet :Biologie de l’homosexualité.
Voir l’article suivant:
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/02/04/l-homosexualite-est-genetique-selon-un-chercheur_1301366_3244.html
Mais également les travaux des chercheurs George Rice, Carol Anderson, Neil Risch et George Ebers publié dans le revue scientifique Nature(in english):
http://www.sciencemag.org/content/284/5414/571.summary
Après ses études ne prétendent qu'il s'agit de l'unique facteur,il serait plus judicieux de parler de prédispositions,car un individu ne se limite pas qu'a des caractères génétiques.
En ce qui concerne les interactions liés au perturbateurs endocrinien et autres polluants chimiques,certain chercheurs on fait le liens entre ses produits et des malformations et/ou trouble du comportements sexuel chez les animaux.
Lire a se sujet sur le blog de Marie-Monique Robin:
Theo Colborn a aussi rencontré Glen Fox, un ornithologue qui a observé un étrange phénomène dans les colonies de goélands argentés des lacs Ontario et Michigan : à partir des années 1970, les nids comptent deux fois plus d’œufs que ce que l’on trouve normalement, car ils sont occupés par deux femelles plutôt que par un couple mâle-femelle. « Fox les surnommait les “goélands homosexuels”, m’a raconté Theo, car il a découvert un problème d’identité sexuelle chez les mâles et femelles dû à leur contamination par le DDT, qui comme les PCB, agit comme une hormone œstrogénique. » Au même moment, les biologistes Richard Aulerich et Robert Ringer constatent la quasi-extinction des visons qui se nourrissent essentiellement de poissons, lesquels sont bourrés de PCB.
http://robin.blog.arte.tv/2011/04/26/perturbateurs-endocriniens-l%E2%80%99etau-se-resserre/
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