Chasse aux perturbateurs endocriniens (phtalates..) ouverte

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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par gegyx » 02/04/13, 18:43

Santé : des perturbateurs endocriniens dans les cosmétiques

Des tests réalisés par l'UFC-Que Choisir révèlent la présence de substances potentiellement nocives dans plusieurs produits de beauté.

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/ ... iques.html

Allons bon ! Ce dentifrice était en promotion il y a un mois... :evil:
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par Flytox » 02/04/13, 21:01

gegyx a écrit :Santé : des perturbateurs endocriniens dans les cosmétiques

Des tests réalisés par l'UFC-Que Choisir révèlent la présence de substances potentiellement nocives dans plusieurs produits de beauté.

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/ ... iques.html

Allons bon ! Ce dentifrice était en promotion il y a un mois... :evil:


En toute logique commerciale, "c'est normal". S'ils savaient qu'ils allaient être dénoncés par L'UFC c'était le moment d'écouler un maximum les stocks avant une éventuelle contre publicité qui pourrait entamer leurs bénéfices. :cry: :evil: :frown: :mrgreen:
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par Christophe » 01/10/13, 17:11

Lancement de la campagne : "PERTURBATEURS ENDOCRINIENS : ENVIRONNEMENT PERTURBÉ, SANTE MENACÉE !"

Paris le 30 septembre 2013 – Alors que s'est achevée il y a quelques jours la consultation publique sur la Stratégie Nationale sur les Perturbateurs Endocriniens (SNPE) et qu'à Bruxelles se négocie la future définition réglementaire des perturbateurs endocriniens, Agir pour l'environnement et ses 12 partenaires lancent une campagne de mobilisation citoyenne intitulée « Perturbateurs endocriniens : Environnement perturbé, santé menacée ! » (campagne bientôt en ligne).

Mis en évidence en 1991, les perturbateurs endocriniens (PE) recouvrent plusieurs centaines de substances chimiques d'usage courant2 susceptibles d'interférer à des doses infimes avec la régulation hormonale des êtres vivants. L'exposition humaine aux PE est précoce (dans l'utérus) et quotidienne du fait de leur grande hétérogénéité : on retrouve, en effet, des PE parmi les ingrédients des produits de consommation et comme contaminants de l'eau, de l'air ou de nos aliments. La perturbation endocrinienne remet en cause toute approche classique en toxicologie et en évaluation des risques chimiques : la dose compte moins que le moment de l'exposition et elle peut être potentialisée par effet cocktail, les effets sont latents et éventuellement transgénérationnels.

Les preuves scientifiques s'accumulent pour désigner la participation des PE à « l'épidémie mondiale de maladies chroniques » : cancers hormono-dépendants, troubles métaboliques (diabète-obésité), troubles neurocomportementaux et neurodéveloppementaux, atteintes à la reproduction et la fertilité. Par la pollution environnementale, la toxicité à faible dose des PE s'exerce aussi sur la faune sauvage, en particulier aquatique, avec des effets graves sur la capacité de reproduction de nombreuses espèces, à l'instar de la féminisation des poissons d'eau douce.

Il est donc grand temps de mettre cette problématique au cœur du débat public afin de pousser les décideurs français et européens à prendre des mesures fortes pour ramener à zéro notre exposition aux PE. Avec cette campagne, les citoyens ont jusqu'au 30 juin 2014 pour renvoyer les cartes pétitions afin d'interpeller le Commissaire européen à la santé et aux consommateurs, Toni Borg, le Ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, ainsi que les groupes de distribution de leur choix3.

Nous demandons ainsi au Commissaire européen à la santé et aux consommateurs de :

Mettre en place une définition des perturbateurs endocriniens qui soit la plus inclusive possible, c'est-à-dire qui ne laisse de côté aucun PE suspecté.
Engager dès maintenant la réduction de l'exposition aux perturbateurs endocriniens avérés et suspectés au sein de l'Union Européenne, en les interdisant en priorité dans les usages susceptibles d'affecter les populations vulnérables (dispositifs médicaux, cosmétiques, jouets, contact et denrées alimentaires) et dans les usages dispersifs (pesticides, biocides, ...).
Sensibiliser et former davantage le public et les professionnels sur les risques des perturbateurs endocriniens.
Interdire à terme tous les PE avec l'objectif de ramener à zéro l'exposition humaine et environnementale.
Assurer l’intégration horizontale des PE dans l’ensemble des politiques publiques et notamment les grands plans de santé publique et de protection des consommateurs, en parallèle et en appui des plans d'action pour l'environnement.
Développer la recherche dans le domaine de la santé environnementale, notamment sur les spécificités de la perturbation endocrinienne et sur l'effet cocktail.
Au Ministre du redressement productif de :

Mettre en place des instruments économiques pour pénaliser l'usage continu des PE, favoriser la substitution (par des techniques et/ou des substances non nocives) et financer des plateformes d'échange de compétences et d'informations au service des entreprises.
Faire des défis de la santé environnementale un moteur de l'innovation et du savoir-faire industriel et économique français.
Promouvoir des filières d'excellence « Zéro PE » à l'exportation, par exemple dans le domaine alimentaire et des cosmétiques.
Mettre en place une information et un étiquetage clair, compréhensible et accessible sur les produits afin de renforcer les capacités des consommateurs à faire des choix éclairés.
Aux groupes de distribution alimentaire de :

- Retirer les PE suspectés et avérés des produits référencés, à commencer par les bisphenols, les phtalates, les parabènes et les perfluorés, les pesticides PE, et proposer une offre sans PE aux consommateurs.
- Promouvoir une information et un étiquetage clair, compréhensible et accessible des consommateurs afin de renforcer leurs capacités à faire des choix éclairés.
Ces mesures permettront dans un premier temps de réduire notre exposition aux perturbateurs endocriniens puis de ramener cette exposition à zéro afin de protéger aussi bien notre environnement que notre santé.


http://www.agirpourlenvironnement.org/c ... turbe-3690
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par Christophe » 21/02/14, 13:21

Une campagnes sur les effets concrets des perturbateurs endocriniens et diverses autres pollutions bio-chimiques: http://www.madmoizelle.com/generations- ... nte-232552 (plutôt axée jeunes mais bon...)

Avec le questionnaire « Protège tes hormones », le collectif Générations Cobayes te propose de participer à une étude visant à évaluer l’exposition aux perturbateurs endocriniens dans notre quotidien.

Tu sais peut-être, par exemple, qu’il vaut mieux éviter certains déodorants contenant de l’aluminium, mais sais-tu ce que contiennent le lubrifiant, les préservatifs ou les sextoys que tu utilises ?

Les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques dont le comportement est similaire à nos hormones. Le problème est que comme notre organisme est fait pour fonctionner avec nos hormones, ces substances, lorsque nous y sommes exposées, peuvent générer des maladies chroniques, dont des cancers.

Les hormones jouent notamment un rôle essentiel dans le développement et le fonctionnement des appareils reproductifs masculins et féminins. On constate, par exemple, l’augmentation de l’exposition aux perturbateurs endocriniens grâce à des données comme l’âge de la puberté, ou la fertilité des couples :

En France, l’âge de la puberté est passé de 18 ans en moyenne au XIX siècle à 12 ans de nos jours.
Le taux de couples n’ayant pu concevoir après 12 mois sans contraception est passé de 14% en 1991 à 24% en 2012.


Une campagne du collectif « Générations Cobayes »

« Protège tes hormones » est une campagne de sensibilisation sur la santé des jeunes, portée par « Générations Cobayes ».

Qui sont-ils ? « Un collectif d’individus et d’associations réunis autour d’un Appel de la Jeunesse depuis 2009, parce qu’on ne peut pas vivre en bonne santé sur une planète malade ».

Leur but ? Interpeller les pouvoirs publics, mais surtout les industriels, pour que les perturbateurs endocriniens, dont les effets néfastes sont connus, n’entrent plus dans la composition de nos produits de consommation courante (alimentation et cosmétique notamment).

Et pour amener ce sujet à l’ordre du jour des décideurs, il faut des chiffres, « de la data » comme on dit. Pour mieux cerner le niveau d’information dont nous bénéficions sur les perturbateurs endocriniens, ainsi que les précautions générales que nous prenons (ou pas !) pour limiter notre exposition, « Générations Cobayes » te propose de répondre à ce petit questionnaire, axé sur la contraception, la fertilité et le sexe.

« Protège tes hormones », fais le test !

Préliminaires, plaisirs solitaires, de la drague jusqu’au moment où on se met à poil, on ne s’en doute pas forcément, mais à chaque étape, nous sommes exposées à des perturbateurs endocriniens. Mais parce qu’on ne va pas non plus se mettre à bouder le plaisir, la campagne « Protège tes hormones ! » vise à informer et proposer des alternatives aux produits qui posent problème d’une part, mais également à récolter des données sur nos habitudes et permettre d’interpeller directement les industriels et les pouvoirs publics.

Que tu n’aies jamais entendu parler de perturbateurs endocriniens avant de tomber sur cet article, ou que tu sois déjà bien au fait des risques qu’ils entraînent pour ta santé, pour continuer à « se faire du bien sans se faire de mal », fais-le test pour participer à l’étude, et en savoir plus !
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par janic » 21/02/14, 19:23

heureusement qu'il reste la masturbation de disponible! :?
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Re: Chasse aux perturbateurs endocriniens (phtalates..) ouverte




par janic » 23/02/17, 12:44

Exposition aux perturbateurs endocriniens: 7 personnes du monde de l'écologie font analyser leurs cheveux.
https://www.generations-futures.fr/
Générations Futures, en soutien avec le réseau EEHI, publie ce jour un nouveau rapport, 9ème volet de ces enquêtes EXPPERT, portant sur l’exposition des populations aux substances chimiques suspectées ou avérées perturbatrices du système endocriniens. Et les résultats sont sans appel !

Qui ? Dans ce nouveau volet, notre association a proposé à des personnalités du monde de l’écologie de nous confier une mèche de cheveux que nous avons faite analyser par un laboratoire compétent. Ont répondu présents : Yann Arthus-Bertrand, Isabelle Autissier, Delphine Batho, José Bové, Nicolas Hulot, Yannick Jadot et Mare-Monique Robin.

Quoi ? Le laboratoire a recherché environ 200 perturbateurs endocriniens (PE) à savoir environ 150 pesticides et métabolites de pesticides (produits utilisés en agriculture et dans la maison pour se débarrasser de la faune ou la flore « nuisibles » ou « indésirables »), 3 bisphénols (plastifiant connu pour entrer dans la composition du polycarbonate – plastique dure), 13 phtalates et métabolites de phtalates ( plastifiants des matières plastiques pour les rendre souples) et 32 congénères de PCBs (massivement utilisés dans les transformateurs électriques ou comme fluide caloporteur par exemple. Interdits de fabrication depuis 1987).

Résultats ? 100% des personnalités ont dans le corps chacune des familles de produits analysés[1] !
etc...
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Re: Chasse aux perturbateurs endocriniens (phtalates..) ouverte




par izentrop » 23/02/17, 15:42

janic a écrit :Résultats ? 100% des personnalités ont dans le corps chacune des familles de produits analysés[1] ! etc...
Parce que les cheveux sont dans le corps ?
Des activistes d'opinion, quelle légitimité scientifique ?
Enquête « EXPPERT 9 » sur les perturbateurs endocriniens : Générations Futures prend en otage l’opinion

Paris, le 23 février 2017 – Alors que l’association écologiste Générations Futures vient de publier une énième « enquête » sur la présence de perturbateurs endocriniens présents dans les cheveux de 7 personnalités politiques et écologistes, le Collectif Sauvons les Fruits et Légumes de France exige des autorités sanitaires une réaction ferme afin de rétablir la vérité scientifique auprès des Français.

les 150 pesticides recherchés par Générations Futures sont loin d’être tous des perturbateurs endocriniens, comme le sous-entend l’association.

- Contrairement à ce qui est annoncé, la plupart des substances recherchées sont, soit non détectées, soit en dessous de la limite de quantification.

-Les substances qui se retrouvent en « plus grande » quantité sont :

L’allethrine qui est un anti-moustique à faible toxicité pour l’homme.
La permethrine qui est un produit médical pour lutter contre la gale chez l’homme.
Le fipronil et le propoxur qui sont à usage vétérinaire pour lutter contre les puces et tiques chez le chien et le chat. Ajoutons que le fipronil n’est plus utilisé en agriculture depuis 2004 ...
http://www.sauvonslesfruitsetlegumes.fr/
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Re: Chasse aux perturbateurs endocriniens (phtalates..) ouverte




par janic » 23/02/17, 17:21

Résultats ? 100% des personnalités ont dans le corps chacune des familles de produits analysés[1] ! etc...

Parce que les cheveux sont dans le corps ?

En physiologie tout ce qui est rattaché au corps fait partie de celui, y compris d’autres phanères comme les ongles, les poils, les cheveux. Eh oui, tout cela est bien dans le corps! :cheesy:
Les phanères (nom masculin, issu du grec φανερός, phanerós « visible, apparent ») sont des productions tégumentaires issues de l'ectoderme et caractérisées par un taux élevé de kératinisation. Chez l'Homme, les principaux phanères sont les cheveux, les poils et les ongles.
Des activistes d'opinion, quelle légitimité scientifique ?

Sauvons les Fruits et Légumes de France ont-ils une meilleure légitimité scientifique ?

Paris, le 23 février 2017 –
Plus précisément, les 150 pesticides recherchés par Générations Futures SONT LOIN D’ETRE TOUS des perturbateurs endocriniens, comme le sous-entend l’association.
- Contrairement à ce qui est annoncé, la plupart des substances recherchées sont, soit non détectées, soit en dessous de la limite de quantification.
-Les substances qui se retrouvent en « plus grande » quantité sont :
 L’allethrine qui est un anti-moustique à faible toxicité pour l’homme.

Faible toxicité n’est pas synonyme de pas de toxicité.

La permethrine qui est un produit médical pour lutter contre la gale chez l’homme.

Ce n’est pas parce qu’un produit utilisé en médecine est utilisé pour un usage, que ce produit n’est pas dommageable à la santé, perturbateur ou pas. Le DDT utilisé il y a 50 ans continue d’être retrouvé dans des analyses vu sa persistance.

Résultats : chez les 25% de femmes le plus exposées dans le ventre de leur mère, le risque de cancer du sein est multiplié par 3,7, par rapport à celles ayant été le moins exposées.
Cette étude vient de mettre en évidence que les produits chimiques, même interdits depuis des décennies, peuvent avoir des conséquences graves, et ce tout au long de notre vie.
http://www.asef-asso.fr/mon-jardin/pest ... du-present

Le fipronil et le propoxur qui sont à usage vétérinaire pour lutter contre les puces et tiques chez le chien et le chat.

Idem ci-dessus !

- Il manque à cette analyse la recherche de substances unanimement reconnues comme dangereuses comme le tabac, les stupéfiants, l’alcool, etc. Faut-il rappeler que les analyses de cheveux sont parfaitement pertinentes pour la recherche de ce type de composants ?

L’un ne justifie pas l’autre. Ce qu’il faut c’est plutôt une position forte sur les perturbateurs endocriniens

« Alors qu’en Allemagne, le BfR (équivalent de l’ANSES) a réagi très clairement il y a quelques semaines face à de fausses allégations lancées par un journal allemand, le collectif Sauvons les Fruits et Légumes de France demande au plus vite une prise de position forte de la part de l’ANSES sur ces pseudos enquêtes sans aucun fondement scientifique et qui trompent le grand public.

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Publié le 13 février 2017 par admin
Communiqué de presse

« Interdiction totale des perturbateurs endocriniens » : Benoît Hamon mesure t-il les conséquences sur l’agriculture biologique ?

Contrairement à un préjugé largement répandu, les producteurs de fruits et légumes bio ont recours, pour protéger leurs cultures, à de nombreux produits phytosanitaires. L’azadirachtine plus connue sous le nom d’« huile de neem » en fait partie. Cet insecticide naturel est utilisé dans les vergers de pommiers, pêchers, cerisiers ou encore pruniers. Les propriétés « perturbatrices endocriniennes » de l’azadirachtine sont connues depuis des siècles. Cela n’empêche pas les producteurs de fruits et légumes bio de l’utiliser en prenant toutes les précautions d’usage.

Comme dit Did, en utilisant ce genre de produit, ce n’est déjà plus du bio.

Ce produit est un perturbateur endocrinien [1], carcinogène génotoxique [2]et provoque des atrophies sur les jeunes abeilles [3] et des lésions dans le foie et les poumons des rats[4].

Par la décision 2008/941/CE du 8 décembre 2008, la Commission Européenne a refusé l'inscription de l'azadirachtine (substance active de l'Huile de neem) à l'annexe I de la directive 91/414/CEE, ce qui revient à interdire aux États membres d'incorporer cette substance active dans les préparations bénéficiant d'une autorisation de mise sur le marché sur leur territoire. Par conséquent son usage comme insecticide est interdit en agriculture, maraîchage, jardinage, espaces verts, serres. Un délai d'utilisation est maintenu jusqu'en 12/2010 (pouvant être prolongé au maximum jusqu'en 12/2011) [1]. L'azadirachtine n'est d'ailleurs pas autorisée en France [2]. Elle figure cependant parmi la liste des substances actives naturelles proposées par la commission "Moyens alternatifs et protection intégrée des cultures" de l'AFPP [3]. Un usage dans des locaux (habitation, bureaux) est logiquement autorisé, car le produit relève alors de la directive biocides.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Insecticide


Les législations auraient besoin de s'harmoniser!

Pour l'agriculture raisonnée, ce n'est qu'un petit pas fait vers un agriculture utilisant MOINS produits phytosanitaire de synthèse, mais pas sans perturbateurs endocriniens , par exemple.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Agricultu ... onn%C3%A9e
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Re: Chasse aux perturbateurs endocriniens (phtalates..) ouverte




par izentrop » 24/02/17, 00:05

janic a écrit : Le DDT utilisé il y a 50 ans continue d’être retrouvé dans des analyses vu sa persistance.

Résultats : chez les 25% de femmes le plus exposées dans le ventre de leur mère, le risque de cancer du sein est multiplié par 3,7, par rapport à celles ayant été le moins exposées.
Cette étude vient de mettre en évidence que les produits chimiques, même interdits depuis des décennies, peuvent avoir des conséquences graves, et ce tout au long de notre vie.
http://www.asef-asso.fr/mon-jardin/pest ... du-present
Une seule étude est-ce suffisant ?
André Cicolella, dans son entretien au Nouvel Observateur, ne met en avant qu’une seule étude scientifique9. Elle porte sur l’exposition in utero au DDT et a été menée par une équipe américaine en 2015. La relation entre l’exposition des femmes au DDT et le risque de cancer du sein a été analysée dans de nombreuses études. Plusieurs méta-analyses10,11 ont examiné l’ensemble des publications et toutes ont conclu que les données disponibles ne montrent pas que l’exposition au DDT augmente le risque de cancer du sein. Une méta-analyse12 a notamment étudié le rapport des risques de cancer du sein chez les femmes exposées et non exposées (RR – risque relatif) en fonction de l’année de publication du dernier article pris en compte. Plus l’étude prend en compte les résultats récents, et moins elle met en évidence de risques (voir figure 2). http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2706
A toujours se laisser porter par le vent, on s'égare :mrgreen:
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Re: Chasse aux perturbateurs endocriniens (phtalates..) ouverte




par janic » 24/02/17, 08:15

Une seule étude est-ce suffisant ?
une parmi d'autres depuis 1971.
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2706
A toujours se laisser porter par le vent, on s'égare :mrgreen:
pseudo science? Tu veux dire le site qui manipule le mensonge sans vergogne et que tu reprends à la lettre sans aucune vérification du bien fondé de leur leucorrhée! Comme ces 16+5 questions auxquelles tu t'obstines à ne pas vouloir répondre, soulignant ainsi ta mauvaise fois et ton conditionnement sceptique que chaque lecteur peut constater.
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