on te demande les études sources tu n'est même pas capable de les fournir ?
Il y en a 3 de citées dans l'article, dont celle que tu avais cité.
L'article réponds très bien à cette question de persistance sur les surfaces.
Pour Anne Goffard, médecin virologue au CHU de Lille et enseignante à la faculté de pharmacie de Lille, trouver des traces d'ARN viral sur une surface ne revient pas au même que trouver des virus actifs. Elle utilise la métaphore suivante : lorsqu'on enlève une baguette de pain d'une table, s'il reste de la farine, ça ne veut pas dire qu'il y a encore une baguette ! ...
Lorsque l'on parle d'une persistance du virus dans l'air de 3 heures, il est donc bien question d'une persistance en aérosols. A cette question, les réponses sont contrastées. Il faut préciser, dans un premier temps, qu'à peu près toutes les maladies respiratoires, comme la grippe ou la tuberculose, sont des maladies « aéroportées », et queles résultats publiés sont, une fois de plus, le fruit d'expériences en laboratoire donc assez éloignées des conditions réelles de l'environnement immédiat d'une personne infectée.
Bon nombre de spécialistes nous ont prouvé leur médiocrité durant cette crise
Oui Peron.., Raou.., Toussa.., Montagn..... Je m'intéresse à la majorité qui fait son boulot consciencieusement. Les tocards se reconnaissent facilement.