Pandémie Coronavirus COVID-19 : cartes, statistiques, analyses et informations au jour le jour

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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Adrien (ex-nico239)
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Adrien (ex-nico239) » 21/05/20, 19:31

sicetaitsimple a écrit :
Adrien (ex-nico239) a écrit :
Ils arrivent à une proportion d'asymptômatiques de 17.9%
Our estimated asymptomatic proportion is at 17.9%

Ce qui donnerait par exemple pour la France
218 326 positif (ESMS comprises)
auquels tu rajoutes 17.9%
Ce qui ferait 39 080 asymptômatiques


Rien de comparable ou pouvant être extrapolé.

Une proportion très importante de +/- vieux, disons 60ans ou plus sur un bateau de croisière, qui vont bien entendu être plus facilement "symptomatiques"

Charles de Gaulle: de mémoire près d'une moitié des marins contaminés, zéro mort a priori vu d'aujourd'hui.

Comparer ou appliquer des ratios à des populations qui ne sont pas comparables en age n'a aucun sens, je l'ai déjà dit plusieurs fois notamment lors des publications régulières du tableau de Remundo.



L'étude japonaise a le mérite d'exister

Pour le reste ma foi : comment extrapoler les positifs inconnus je laisse cela aux spécialistes
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GuyGadebois
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 21/05/20, 19:32

Adrien (ex-nico239) a écrit :Pour le reste ma foi : comment extrapoler les positifs inconnus je laisse cela aux spécialistes

:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
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Adrien (ex-nico239)
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Adrien (ex-nico239) » 21/05/20, 19:33

ABC2019 a écrit :
Adrien (ex-nico239) a écrit :
Ils arrivent à une proportion d'asymptômatiques de 17.9%
Our estimated asymptomatic proportion is at 17.9%

Ce qui donnerait par exemple pour la France
218 326 positif (ESMS comprises)
auquels tu rajoutes 17.9%
Ce qui ferait 39 080 asymptômatiques
Donc un total de 257 406 positifs en tout
Donc un taux de létalité de 10.92% pour la France

donc tu ne considères qu'il n'y a que les asymptomatiques qui n'ont pas été testés, tous les symptomatiques ont été testés selon toi ?
du coup ça semble vouloir dire qu'on a quand meme testé 80 % des contaminés donc on n'a probablement jamais manqué de tests ?

Tu as trouvé d'autres études qui ont effectué un travail similaire à celui des japonais?


oui et elles trouvent des chiffres bien plus bas que ce que tu calcules, parce qu'il y a un taux de non détection bien plus grand que les seuls asymptomatiques (c'est à dire que très peu meme de symptomatiques ont été testés - et en fait on a VRAIMENT été en pénurie de tests, contrairement à ce que tu sembles croire).



Je ne considère rien.

Si tu as des études produits les.

C'est ça qui est intéressant : pas mes calculs ni les tiens.
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GuyGadebois
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 21/05/20, 19:41

ABC2019 a écrit : (c'est à dire que très peu meme de symptomatiques ont été testés - et en fait on a VRAIMENT été en pénurie de tests, contrairement à ce que tu sembles croire).

Où sont les tests ?

Dès le 12 janvier, la Chine diffuse au reste du monde la séquence génétique complète du virus, permettant ainsi, à tous ceux qui le souhaitent, de lancer la fabrication de tests de dépistage. En Corée du Sud, les premiers kits sont ainsi disponibles dès le 4 février, soit deux semaines avant l’emballement de l’épidémie. En Allemagne, 500 000 tests sont réalisés chaque semaine, s’appuyant sur tous les laboratoires de ville, réalisés de manière décentralisée au plus près des populations, permettant d’isoler tous les malades, et pas seulement les plus graves, mais aussi les porteurs sains. Quand on sait que des modélisations de l’épidémie chinoise montrent qu’une contamination sur deux est liée à des porteurs sans symptôme, on voit tout l’intérêt de ce dépistage de masse. La mortalité en Corée ou en Allemagne en atteste. Le gouvernement français a choisi la voie opposée. Ne tester que les cas les plus graves, à l’entrée des services de réanimation. Limiter sévèrement les tests dans les Ehpad. Une folie criminelle, à l’opposé des recommandations de l’OMS. Du 24 février au 27 mars, seulement 200 000 tests ont été réalisés en France, quand l’Allemagne en réalise 500 00 par semaine.

https://alt-rev.com/2020/04/08/masques- ... ges-detat/
Pénurie ? Mon c... :mrgreen:
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par sicetaitsimple » 21/05/20, 19:43

Adrien (ex-nico239) a écrit :L'étude japonaise a le mérite d'exister.
Pour le reste ma foi : comment extrapoler les positifs inconnus je laisse cela aux spécialistes


Moi aussi, mais l'étude japonaise quelque soit sa qualité n'aide à mon avis en pas grand chose compte-tenu de la population vraiment spécifique étudiée. En tous les cas utiliser ses ratios pour les appliquer à d'autres caractéristiques de population ( âge) n'a pas de sens.
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Adrien (ex-nico239) » 21/05/20, 19:56

Tiens comme on en a déjà discuté... en vain... voici un papier qui date de ce moment précédent

https://www.franceculture.fr/emissions/ ... -mortalite
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Adrien (ex-nico239)
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Adrien (ex-nico239) » 21/05/20, 20:01

sicetaitsimple a écrit :
Adrien (ex-nico239) a écrit :L'étude japonaise a le mérite d'exister.
Pour le reste ma foi : comment extrapoler les positifs inconnus je laisse cela aux spécialistes


Moi aussi, mais l'étude japonaise quelque soit sa qualité n'aide à mon avis en pas grand chose compte-tenu de la population vraiment spécifique étudiée. En tous les cas utiliser ses ratios pour les appliquer à d'autres caractéristiques de population ( âge) n'a pas de sens.


C'est clair que c'est sans doute la pire population et la plus fragilisée et la plus vulnérable au virus.

Donc effectivement on ne peut pas répliquer cela au monde entier.

Tiens un autre article sur le sujet

https://www.pourlascience.fr/sr/covid-1 ... -19031.php

Mais bon y a qu'à demander à Google, il y en a des dizaines
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 21/05/20, 20:31

Ahmed a écrit :* Admirez le double sens de cette expression, je vous prie! 8) Merci! :oops:

(Mais quel frimeur...) :mrgreen:
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Christophe » 21/05/20, 20:40

Christophe a écrit :J'ai hésité à poster chez les Cons...récapitulatif de toutes les infox qui ont circulé officiellement à propos du covid19...Je dis officiellement parce que si on compte les infox des internautes on a pas fini :mrgreen:



Le problème c'est que ces "nouvelles certitudes" risquent de ne pas tenir longtemps, on en reparle dans 3 mois ? :mrgreen:


En fait Pujadas devrait faire des démentis de démentis tous les 3 jours... :cheesy: :cheesy:

La super bonne nouvelle du jour:

https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 31164.html

Covid-19 : deux mois après leur infection, de nombreux patients présentent de nouveaux symptômes

Ils se croyaient parfois guéris. Mais plusieurs semaines voire plusieurs mois après l'infection au Covid-19, ils sont des centaines de patients à ressentir des symptômes. Des atteintes très polymorphes que les médecins peinent encore à expliquer.

ièvre, courbatures, céphalées, perte de goût et d’odorat… C’est sur la base de ces symptômes que Dominique Lemaire a été diagnostiqué positif au Covid-19 le 18 mars. Puis sont venues les difficultés pour respirer. Une gêne qui ne l’a toujours pas quitté deux mois après. "Si je vais chercher du pain, je suis mort. Une conférence téléphonique, je suis épuisé. Et puis il y a les céphalées hyper violentes, l’urticaire, les vertiges, les fourmillements dans les jambes et dans les mains alors que je n’ai jamais eu de problèmes de circulation avant", énonce-t-il dans un inventaire à la Prévert.

Je ne m’en sors pas de ce truc

Aujourd’hui, cet habitant d’Arcueil sans antécédents médicaux, sportif jusqu’alors, se sent démoralisé. Car malgré une batterie de tests, ses maux restent inexpliqués. "Je ne m’en sors pas de ce truc. Je passe ma vie au lit et je n’ai pas de réponses. Beaucoup disent que c’est lié au stress mais je sais bien que ce n’est pas ça. Deux mois à vivre comme ça, c’est très pesant."

Les médecins en face de moi sont perdus

Un sentiment que partage Christelle, 50 ans. Malade depuis le 13 mars, cette directrice marketing enchaîne "les hauts et les bas" comme elle le décrit. "J’ai eu parfois le sentiment que ça allait mieux, que j’étais guérie. Puis l’enfer a recommencé". Gêne respiratoire persistante, tachycardie, oppression thoracique, fatigue… Malgré plusieurs passages par les urgences et un suivi régulier par son médecin généraliste, cette habitante des Yvelines ne sait toujours pas ce qui cloche. "J’ai l’impression d’être folle. Les médecins en face de moi sont perdus. Ils ne peuvent pas dire combien de temps ça va durer. Le Covid m’a rendue angoissée..."

Une cohorte de symptômes décalés dans le temps
Combien sont-ils à ressentir des symptômes plusieurs semaines voire plusieurs mois après avoir été infectés ? Difficile à évaluer selon les médecins. "Il n’y a pas beaucoup d’éléments établis pour ce cortège de symptômes qui arrivent en décalé, reconnaît le docteur Félix Ackermann, chef du service de médecine interne de l’hôpital Foch. Mais nous voyons effectivement beaucoup de patients qui ont développé des symptômes très à distance de l’infection. Notamment des problèmes thoraciques qui ont tendance à s’atténuer avec le temps. On voit aussi des covid asymptomatiques faire des complications secondaires sérieuses. Il faut rester ouvert d’esprit."

Le monde médical a beaucoup de mal à accompagner

Un constat partagé par le docteur Pascal Debove, pneumologue à la clinique des Cèdres de Toulouse. "Ce n’est pas parce qu’on a fait un covid que l’on est tranquille 14 jours ou 30 jours après. Il n’est pas rare de voir des patients tachycardes avec une recrudescence de température, une fatigue plus intense trois, quatre semaines après. Les manifestations surviennent de façon variable avec des périodes de répit et s’étalent sur plusieurs semaines. Des troubles neurologiques sont parfois signalés avec des problèmes de mémoire, de manques de mots, des céphalées. Mais les examens sont bien souvent normaux, en particulier au niveau pulmonaire. Tout cela entraîne une grande détresse pour ces patients que le monde médical a beaucoup de mal à accompagner", explique ce médecin qui insiste sur l’importance de l’accompagnement psychologique. Un accompagnement qui ferait parfois défaut comme en témoignent les nombreux témoignages de ces malades au long cours sur les réseaux sociaux, notamment Twitter.

En deux mois, j’ai eu toutes sortes de symptômes dans tout le corps, de la tête aux pieds

Sous les hashtag #apresJ20 et #apresJ60, ils sont des centaines à partager leurs histoires, raconter leur maladie aux symptômes si polymorphes. Un medium sur lequel surfe régulièrement Maud Joie, 43 ans "pour se sentir moins isolée". "On a l’impression d’être laissés dans la nature. On finit par faire nos propres diagnostics. Je comprends qu’on avance en même temps que les médecins mais c’est difficile de ne pas avoir de perspectives. Le combat est mental", raconte cette habitante d'Issy-le-Moulineaux qui souffre de tachycardie, d’oppression thoracique, d’urticaire et de douleurs articulaires. Jusqu’à des acouphènes ressentis il y a quelques jours. "En deux mois, j’ai eu toutes sortes de symptômes dans tout le corps, de la tête aux pieds."

"Il y a des gens pour qui on ne comprend pas ce qu'il se passe"

Pour ces patients, dont certains n’ont pu être testés faute de tests PCR disponibles, une consultation post covid vient d’être ouverte à la Pitié-Salpétrière. "On suivait beaucoup de patients au téléphone ou via la plateforme Covidom. Des gens qui avaient été dépistés mais qui n’étaient pas suffisamment graves pour être hospitalisés. Et on s’est rendu compte que certains d’entre eux ne remontaient pas la pente", explique Gentiane Moncel, médecin dans le service des maladies infectieuses et tropicales de cet hôpital. Pour autant, une fois pris en charge, pas toujours évident de poser des diagnostics. "On a eu un patient qui présentait des symptômes neurologiques qui perdurent comme de la fatigue, des troubles de la concentration. Mais on n’a rien pu objectiver. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a rien."

Mêmes questions sans réponses pour cet autre malade qui, deux mois après l’infection se plaint encore de douleurs à la poitrine et de palpitations. Là encore, le scanner n’a rien donné. "Y a des gens pour qui on ne comprend pas ce qui se passe. Nous n’avons pas encore les moyens scientifiques pour le dire," reconnaît la praticienne.

Des recherches en cours

Réponse inflammatoire inadaptée ? Trouble de l’immunité qui contribuerait à déclencher d’autres maladies ? Pour l’heure, aucune hypothèse n’est exclue et dans chaque hôpital, des équipes de médecins commencent à s’y intéresser. C’est notamment le cas à l’hôpital Saint-Louis dont les recherches portent sur les atteintes cutanées. Un travail qui ici comme ailleurs ne fait que commencer. Au Royaume-Uni, le professeur Paul Garner, spécialiste des maladies infectieuses à Liverpool a notamment raconté sur le British Medical Journal ses sept semaines passées à lutter contre le Covid-19. Sept semaines "effroyablement longues" comparées à des montagnes russes. "Le virus est certainement la cause de beaucoup de changements immunologiques dans le corps, de pathologies étranges que l’on ne peut pas expliquer pour le moment. C’est une nouvelle maladie. Une maladie très agressive pour laquelle aucun manuel n’a encore été écrit."

On ne connaissait pas cette maladie il y a trois ou quatre mois
"Il faut rester humbles et prudents car les connaissances évoluent tous les jours", remarque le pneumologue Pascal Debove. Un avis partagé par le docteur Ackermann de l’hôpital Foch. "En médecine interne, la fatigue et les douleurs thoraciques sont bien connues après des virus. Pour le reste, on peut se dire que c’est au-delà de nos zones d’exploration et qu’en 2020, on ne sait pas l’expliquer par nos analyses. On ne connaissait pas cette maladie il y a trois ou quatre mois. De là à ce qu’il y ait des symptômes tardifs, on ne peut pas fermer la porte. Dans les maladies virales, c’est assez classique. Il n’y a pas de raison que ça soit différent avec le Covid."

Des problèmes pulmonaires persistants

Les patients garderont-ils d’éventuelles séquelles de ce virus ? Une fois encore, il n’y a pas de consensus sur le sujet. Mais dans les hôpitaux, les médecins constatent que certains malades reviennent avec des fibroses pulmonaires ou des embolies. Et tous invitent à consulter en cas de symptômes thoraciques persistants et décalés dans le temps.

C’est ce qu’a fait Cyril Theophilos. Le jeune homme de 20 ans, originaire d’Alfortville, a frôlé la catastrophe. Alors qu’il ne présentait plus de signes de la maladie depuis un mois, il s’est réveillé un matin avec "les poumons bloqués". Direction les urgences de Créteil où lui a été diagnostiqué une embolie pulmonaire. Le jeune homme est alors placé sous assistance respiratoire pendant trois jours. Son hospitalisation va durer 11 jours. "Je suis toujours sous morphine et anticoagulants. Les médecins m’ont dit que je pourrais garder ces traitements pendant 6 mois. Cela attenue les douleurs mais je suis très vite essoufflé. Je ne peux plus courir." Un cas loin d’être isolé. Les médecins ont en effet constaté une recrudescence d’embolies pulmonaires chez des jeunes âgés de 20 à 30 ans.


Le coronavirus a des air de maladies de Lyme ?
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GuyGadebois
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 21/05/20, 20:44

Christophe a écrit :Le coronavirus a des air de maladies de Lyme ?

Oui (la maladie de Lyme n'étant que rarement diagnostiquée, encore moins testée, donc pas traitée), et vu qu'en France on a choisi de ne pas soigner*, voilà ce qui arrive. Après, le gars d’Alfortville présente peut-être ce que Raoult redoutait: les effets à moyen (et long?) terme de cette bouse quand on ne dépiste pas avant et ne soigne pas dès le débuts des symptômes. En gros, des effets secondaires importants à retardement.

* Un Doliprane, au lit et ta gueule à moins d'être à l'agonie et si t'es vieux, crève <<< Système de gestion Français.
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