Pandémie Coronavirus COVID-19 : cartes, statistiques, analyses et informations au jour le jour

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GuyGadebois
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 06/06/20, 16:13

GuyGadebois a écrit :
Brésil. La pandémie frappe les jeunes

Dans le pays le plus touché après les États-Unis, le Covid-19 décime des populations plus jeunes qu’ailleurs dans le monde. Promiscuité, vulnérabilité sociale, insouciance, système de santé fragile : les facteurs de risque s’accumulent pour les moins de 60 ans.

—The Washington Post

Quand le coronavirus a fait son apparition au Brésil et que les autorités ont appelé des volontaires à venir travailler aux urgences, Isabella Rêllo a analysé les risques. Elle avait 28 ans, vivait seule et ne présentait aucune pathologie préexistante. Alors, tandis que des médecins plus âgés préféraient se retirer de la ligne de front du coronavirus, Rêllo, elle, s’est engagée. Pédiatre, Rêllo s’est rapidement retrouvée à traiter des dizaines de patients atteints du coronavirus.

Mais elle a eu la surprise de s’apercevoir qu’ils ne correspondaient pas à ce qu’elle avait pensé. Un patient n’avait que 30 ans, un autre 32. Près de la moitié des gens qu’elle voyait passer étaient jeunes, dit-elle, et beaucoup étaient mourants. Dans les premiers mois de la pandémie, la version qui avait cours dans le monde entier assurait que le virus épargnait les jeunes et faisait des ravages chez les personnes âgées. Mais ce n’était pas ce à quoi elle assistait au Brésil. Elle était en danger.Imprévisible. “Un patient était jeune, apparemment en bonne santé, raconte-t-elle. Et il était tellement malade, avec tant de complications. Je me suis dit : ‘Ça pourrait être moi. Ou un de mes amis.’ La vitesse à laquelle ça tue les gens, y compris les jeunes, ça m’a choquée.”

Alors que le coronavirus se propage dans le monde en développement, le profil des victimes commence à changer. Les jeunes meurent du Covid-19 dans des proportions inconnues dans les pays plus riches – un constat qui démontre une fois encore le caractère imprévisible de la maladie à mesure qu’elle progresse dans de nouveaux paysages géographiques et culturels.

Au Brésil, 15 % des personnes décédées ont moins de 50 ans, un pourcentage dix fois supérieur aux chiffres recensés en Italie ou en Espagne. Au Mexique, la tendance est encore plus nette : près d’un quart des morts ont entre 25 et 49 ans. En Inde, les autorités ont rapporté ce mois-ci que près de la moitié des personnes décédées avaient moins de 60 ans.

Dans l’État de Rio de Janeiro, plus des deux tiers des hospitalisations concernent des gens de moins de 49 ans.“Nous sommes en terrain inconnu par rapport à ce qui a eu lieu dans d’autres pays, commente Daniel Soranz, ancien responsable de la santé de la municipalité de Rio de Janeiro. Il est crucial de surveiller ce qui se passe au Brésil.” Selon les informations que l’on commence à rassembler, les difficultés qu’a toujours connues le monde en développement – une misère sans limites, des inégalités monstrueuses, des systèmes de santé fragiles –, tout cela contribue à accroître considérablement sa vulnérabilité face au virus.

Dans les pays où la pauvreté est plus forte et où les ressources sont moins importantes, des gens succombent alors qu’ils auraient pu en réchapper ailleurs.George Gray Molina, économiste en chef du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), estime que la misère a des “effets aggravants”. La densité de population étant nettement plus élevée dans une grande partie des pays en développement – et parce que tant de gens doivent continuer à travailler pour survivre –, un pourcentage beaucoup plus important des habitants se trouve exposé au virus. Celui-ci se propage alors dans une population moins résistante : les gens luttent non seulement contre les maladies que l’on y a toujours associées – la malaria, la dengue, la tuberculose, le sida –, mais aussi de plus en plus contre celles que l’on associe plus étroitement aux pays plus riches. Les taux de diabète, d’obésité et d’hypertension augmentent en flèche.

Or les moyens de traiter ces maladies restent rares. Quand des personnes atteintes du Covid-19 et déjà affaiblies par des pathologies préexistantes veulent se soigner, elles se heurtent à des systèmes hospitaliers submergés et sous-équipés, incapables de gérer l’afflux de patients.

“Les principaux responsables en sont le statut socio-économique et la pauvreté”, insiste Gray Molina. Les avantages traditionnels du monde en développement, comme la jeunesse de sa population, sont “éliminés”. “Au fur et à mesure, ajoute-t-il, nous allons assister à un rééquilibrage.”Quand le Covid-19 a touché le Brésil, il était encore une maladie de riches. Importé par des voyageurs venus des États-Unis et d’Europe, il a principalement circulé dans les cercles aisés et influents. Le président du Sénat brésilien l’a attrapé, de même que l’attaché de presse du président Jair Bolsonaro.

Le country club de Rio de Janeiro, sur la plage d’Ipanema, un des clubs les plus exclusifs du pays, est devenu un terrible foyer de l’épidémie. Domingos Alves, spécialiste de la science des données à l’université de São Paulo, effectue un suivi de la propagation du virus depuis son arrivée au Brésil. Au début, la contagion a adopté le même schéma que dans le monde développé. Les morts étaient presque uniquement des personnes âgées. Les patients se ruaient sur les cliniques privées, et quiconque avait besoin d’un lit en trouvait un.

Mais à partir du mois d’avril, quand le virus a commencé à se répandre dans les favelas et les bidonvilles de São Paulo et de Rio, et que le système des hôpitaux publics a commencé à céder sous la pression, Alves a noté une nette évolution dans les données. De plus en plus de gens plus jeunes étaient hospitalisés. Des gens âgés de moins de 49 ans mouraient. La maladie frappait les étages inférieurs de la pyramide démographique, le profil des victimes était en train de changer.

“Notre pays est constitué d’une multitude de petits pays différents, résume Domingos Alves. Quand vous vous promenez dans Rio de Janeiro, vous passez par des endroits qui peuvent ressembler à la Suisse ou au Congo, tout ça dans la même ville.”Cátia Simone de Lima Passos, 48 ans, a vécu toute sa vie dans une partie de la ville que personne ne risquerait de confondre avec la Suisse.

Tous les jours, avec sa fille Agatha, âgée de 25 ans, elle montait à bord d’un bus bondé et traversait le nord de Rio jusqu’à la clinique où elles travaillaient dans la favela de Maré. Elles ont tout fait pour se protéger, explique-t-elle. Elles se sont lavé les mains avec une solution hydroalcoolique. Elles ont porté des masques. Sa fille, asthmatique, est restée à la maison pendant des semaines. Elles ont pourtant toutes les deux été contaminées par le Covid-19 et hospitalisées. Après dix jours d’hospitalisation, Cátia a survécu. Pas sa fille. Aujourd’hui, Cátia passe ses journées seule dans sa maison, ne pouvant faire son deuil avec ses proches, incapable de comprendre pourquoi un virus dont tout le monde disait qu’il ne tuait que les personnes âgées l’a épargnée, mais lui a pris sa fille. Elle n’était pas préparée à une telle cruauté, explique-t-elle. C’est plus qu’elle ne peut supporter. “Ma maison est vide, dit-elle. Nous étions partenaires dans la vie.”

Jair Bolsonaro, leader mondial de la minimisation du danger que représente le virus, répète comme un mantra que seules les personnes âgées sont menacées. La meilleure chose à faire consisterait donc à n’isoler que cette catégorie de la population. Ce qu’il appelle “l’isolement vertical”.“La situation dans les autres pays montre que les personnes à risque ont plus de 60 ans, a-t-il déclaré dans une allocution à la nation à la fin du mois de mars. Alors pourquoi fermer les écoles ?” Les messages contradictoires entre les responsables locaux suppliant les gens de rester chez eux et un président les appelant à retourner dehors – ont créé une immense confusion au Brésil. Alors qu’avec 300 000 cas de contamination et 19 000 morts [au 22 mai] le virus fait des ravages dans le pays, un nombre croissant de Brésiliens ne respecte pas les appels à l’isolement et à la distanciation. Le week-end, les plages de Rio sont noires de monde. Au Brésil, une personne infectée en contamine environ trois autres, d’après les chercheurs de l’Imperial College London, soit l’un des taux de transmission les plus élevés au monde.

Projections. Près de quatre millions de cas positifs ?
●●● Le modèle des chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medicine apporte une contradiction substantielle aux chiffres officiels du ministère de la Santé brésilien sur le niveau de contamination par coronavirus, commente El País. Selon ces mathématiciens et ces épidémiologistes, le Brésil compterait en réalité 3,7 millions de personnes positives au Covid-19, et non 270 000 comme indiqué en date du 27 mai. Depuis des semaines, “un consensus existe au Brésil sur le fait que le chiffre des contagions est sous-estimé”. Des experts brésiliens sont parvenus à une conclusion similaire à celle de l’institution britannique sur l’ampleur réelle des cas de contagion, estimant probable que 9 cas positifs sur 10 ne sont pas détectés dans le pays. Dans les deux cas, souligne El País, une personne infectée sur 20 seulement est comptabilisée, et cela par manque de tests, le Brésil en ayant réalisé beaucoup moins que les pays voisins. Le taux de létalité du Covid-19 au Brésil a alerté les chercheurs : il se situe à 6,7 %, contre 1 % en général, selon les observations récentes au niveau international. Les équipes se sont également penchées sur les registres de décès pour examiner la différence entre le nombre de morts depuis le début de la pandémie en avril dernier et la moyenne des décès de ces dernières années. Les chiffres relevés par l’étude sont pris en compte à partir du 19 ou du 26 avril, selon les registres examinés, et jusqu’au 10 mai. Les tableaux publiés par El País montrent ainsi que dans quatre villes étudiées, à Rio de Janeiro, São Paulo, Fortaleza et Manaus, “la différence entre le bilan officiel des décès dus au Covid-19 et le nombre de décès supérieurs à la moyenne est de 3 300 morts depuis le début de la pandémie”. Selon des prévisions de l’Institut de mesure et d’évaluation sanitaire (IHME) de l’université de Washington, le nombre de victimes du Covid-19 pourrait dépasser les 125 000 d’ici à début août.


Charge virale.

Médecin à l’hôpital public de Rio, Pedro Archer indique que ses jeunes patients ont été très surpris de tomber malades. Certains avaient repris en chœur le discours du président qui n’a cessé de minimiser la maladie, présentée comme une gripe-zinha – une “grippette”. Jusqu’à ce qu’ils tombent malades.“J’ai des patients qui me disent : ‘Je pensais vraiment que ce n’était qu’une petite grippe, maintenant, je vois à quel point c’est sérieux’,explique Archer. J’ai vu des gens mourir qui disaient exactement cela.”D’autres continuent à sortir et à circuler parce qu’ils n’ont pas le choix. Les aides gouvernementales – environ 95 euros par mois pour les travailleurs indépendants – se sont dans bien des cas perdues dans les méandres de l’administration ou sont largement insuffisantes. Les bus sont toujours pleins de personnes se rendant à leur travail. Les files d’attente pour déposer une demande d’aide s’étirent sur des pâtés de mai-sons entiers.“Les jeunes meurent davantage parce qu’ils sont beaucoup plus expo-sés au virus à cause de leurs conditions de vie et de travail, résume Ligia Bahia, spécialiste de santé publique à l’université fédérale de Rio de Janeiro. Les gardiens d’immeuble travaillent toujours. Les gens qui font le ménage... Leur charge virale, leur exposition, sont beaucoup plus élevées.”Marcelo Mitidieri, 48 ans, père de deux enfants, était conscient des risques, mais il a continué son activité de chauffeur de taxi pour subvenir aux besoins de sa famille. Il est tombé malade à la fin du mois d’avril. Il pouvait à peine respirer. Il avait des douleurs dans la poitrine.

Sa fille l’a emmené dans une clinique d’un quartier pauvre [du nord] de Rio, Engenho de Dentro, où l’équipe médicale ne disposait que de trois lits et trois respirateurs. Ils n’avaient pas de place pour lui. Il est donc resté assis sur un fauteuil défoncé pendant vingt-quatre heures, respirant à peine, envoyant des messages à sa fille Marcela.“Ils veulent m’admettre aux urgences, écrit-il dans un message. Mais il n’y a pas d’équipement.” “Essaie de rester calme, lui conjure Marcela, espérant que son âge le sauverait. Inspire et expire. Tu es fort et on est avec toi.” “Je suis très malade”, écrit-il dans son dernier message. Aujourd’hui, Marcela enrage : “S’il avait reçu de meilleurs soins, il serait toujours en vie.”Après tout cela, Rêllo, la pédiatre de 28 ans qui s’était portée volontaire pour soigner des malades du Covid-19, est terrifiée. Elle a toutefois continué à travailler – jusqu’au début de la semaine. Puis elle a commencé à avoir des symptômes.Une toux sèche. Des éternuements. Des courbatures. Un test a confirmé ses craintes : elle a bien été contaminée par le virus. Elle ne sait pas comment son corps va réagir. Elle est jeune, mais elle sait désormais que cela ne suffit pas. Elle pense à tous ceux qu’elle a soignés. Elle sait à quoi ils ressemblaient. “Ils étaient comme moi”, dit- elle.
—Terrence McCoy et Heloísa Traiano Publié le 22 mai

Courrier International 4 au 10/06/2020
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“Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligente.(J.Rouxel)
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par sicetaitsimple » 06/06/20, 17:58

"Selon ces mathématiciens et ces épidémiologistes, le Brésil compterait en réalité 3,7 millions de personnes positives au Covid-19, et non 270 000 comme indiqué en date du 27 mai."

Ah tiens donc? C'est bizarre, car quand j'évoque il y a qq jours des ratios du même ordre de grandeur, un peu moins ou un peu plus, pour la France, celui qui poste cet article me répond:

"Bref, sicetaitchou ouvre son cl(o)aque-M pour fienter des chiffres bidons en affirmant qu'on ne sait rien mais que "si ça tombe" c'est autre chose que ce qu'on sait pas... J'adore."

C'est d'une cohérence.....

sante-pollution-prevention/les-cons-du-coronavirus-t16359-950.html
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 06/06/20, 18:27

"C'est peut-être même 2.000.000, pour te dire juste que je ne sais pas!"
sante-pollution-prevention/les-cons-du-coronavirus-t16359-940.html#p398440
Si tu sais pas, tu sais pas. Point barre.
Ps: Tu ne parlais pas du Brésil, cas à part.
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Christophe » 06/06/20, 18:28

Sauf que le Brésil est 3 fois plus peuplé que la France...

ps: rien à voir mais vous savez pourquoi on accorde certains pays au féminin et d'autres au masculin ? Y a une règle ? Je ne me rappelle plus l'avoir apprise un jour...LE Portugal, LA Suisse, LE Canada, LA Pologne, LE Brésil, LA Bolovie...etc etc ? Ah ? C'est quand le pays fini par un "e" ? Suis sur qu'il y a des exceptions... :mrgreen:
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 06/06/20, 18:29

Christophe a écrit :Sauf que le Brésil est 3 fois plus peuplé que la France...

Et que pour trouver pire que Bolsonaro, faut se lever de bonne heure ! Mais il aime la récup de lauriers inexistants, Kiki. :mrgreen:
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par ABC2019 » 06/06/20, 19:13

Christophe a écrit :Sauf que le Brésil est 3 fois plus peuplé que la France...

ps: rien à voir mais vous savez pourquoi on accorde certains pays au féminin et d'autres au masculin ? Y a une règle ? Je ne me rappelle plus l'avoir apprise un jour...LE Portugal, LA Suisse, LE Canada, LA Pologne, LE Brésil, LA Bolovie...etc etc ? Ah ? C'est quand le pays fini par un "e" ? Suis sur qu'il y a des exceptions... :mrgreen:

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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par GuyGadebois » 06/06/20, 19:17

ABC2019 a écrit :LA Bolovie...

Le président de la Bolovie, Bolo Yeung :
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Obamot » 06/06/20, 19:32

:mrgreen:

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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Remundo » 06/06/20, 20:06

sicetaitsimple a écrit :"Selon ces mathématiciens et ces épidémiologistes, le Brésil compterait en réalité 3,7 millions de personnes positives au Covid-19, et non 270 000 comme indiqué en date du 27 mai."

Ah tiens donc? C'est bizarre, car quand j'évoque il y a qq jours des ratios du même ordre de grandeur, un peu moins ou un peu plus, pour la France, celui qui poste cet article me répond:

"Bref, sicetaitchou ouvre son cl(o)aque-M pour fienter des chiffres bidons en affirmant qu'on ne sait rien mais que "si ça tombe" c'est autre chose que ce qu'on sait pas... J'adore."

C'est d'une cohérence.....

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tout ce qui est statistico-mathématique pour les propagations de virus est particulièrement imprécis, et point n'est besoin de se crêper le chignon à ce sujet.
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par sicetaitsimple » 06/06/20, 21:33

GuyGadebois a écrit :"Ps: Tu ne parlais pas du Brésil, cas à part.


Le Brésil est donc un cas à part: il n'y a que là que le nombre réel de personnes contaminées est supérieur au nombre de cas diagnostiqués positifs?
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