Pandémie Coronavirus COVID-19 : cartes, statistiques, analyses et informations au jour le jour

Comment rester en bonne santé et prévenir les risques et ses conséquences sur votre santé et la santé publique. Maladies professionnelles, risques industriels (amiante, pollutions de l'air, les ondes électromagnétiques...), risques de société (stress au travail, surconsommation de médicaments...) et individuels (tabac, alcool...).
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par izentrop » 27/08/20, 08:53

Adrien (ex-nico239) a écrit :
izentrop a écrit :Un article du Monde qui fait le point de la situation Covid-19 : pourquoi tant de contaminations et si peu de morts ?
Karine Lacombe et Rault l'ont dit ... en gros quelle sera la suite de l'épidémie : on n'en sait rien.
il y en a un qui n'a pas toujours été aussi prudent, il y a longtemps que je ne l'écoute plus. Et puis
il y a quand même quelques rectifications et quelques infos intéressantes dans ce papier comme l'indique certains spécialistes dignes d'intérêt :
Rien n’indique que la virulence du virus soit moindre.

On teste nettement plus qu’au printemps

« Ce que l’on voit dans les chiffres des cas confirmés n’est que la partie émergée de l’iceberg », confirme l’épidémiologiste Catherine Hill, chercheuse à l’Institut de cancérologie Gustave-Roussy de Villejuif (Val-de-Marne). Avec 90 000 tests par jour en cette fin du mois d’août, contre seulement 5 000 à la mi-mars, les chances d’identifier des personnes contaminées sont aujourd’hui plus grandes. Mais cette évolution empêche de comparer l’intensité de la circulation actuelle du virus avec celle du printemps

Le virus circule davantage chez les plus jeunes, moins vulnérables

Il faut plusieurs semaines pour constater les effets du virus

On prend mieux en charge les malades hospitalisés ...
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Christophe » 27/08/20, 11:36

C'est normal izy...faut attendre que la 5G active le virus pour que les gens commencent à mourir !

C'est l'étape 2 de l'invasion virale !

La phase 1 du printemps c'était le rodage !

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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Christophe » 27/08/20, 12:46

La Belgique, un peu, plus honnête que la France sur la transparence de la (mauvaise) gestion de la crise ?



"Fiasco du testing, communication catastrophique" : le coronavirus en Belgique expliqué aux députés

L’une des expert.e.s de la commission spéciale coronavirus de la Chambre, Leïla Belkhir, a rendu un rapport préliminaire sur le volet médical de la pandémie. Parmi les principaux points marquants qui ont fait défaut, l’infectiologue aux Cliniques universitaires Saint-Luc pointe d’abord l’absence de préparation à une éventuelle crise sanitaire à grande échelle.

Sous-estimation

La Belgique a "sous-estimé l’émergence du virus SARS-CoV-2 en Chine, pensant que cela resterait un problème localisé". Elle a tardé à prendre des décisions "fortes". La professeure Leïla Belkhir s’interroge sur le rôle du Centre national de référence pathogènes respiratoires (UZ Leuven) à l’époque de l’émergence du virus hors de Chine (13/01/2020, en Thaïlande) et lorsque l’OMS l’a déclaré urgence internationale de santé publique.

Devait-il, ce centre, alerter les autorités belges ? Les premiers cas européens ont été déclarés par la France le 24 janvier 2020, alors qu’en Belgique, le cas déclaré n’arrive que le 4 février, avec le retour d’un Belge rapatrié de Hubei en Chine.

Pas de plan

Le fameux "plan d’urgence pandémie grippale" qui existait depuis 2006, et avait été revu en 2009 lors de l’épidémie de grippe H1N1, n’a jamais été appliqué. Les médecins à la base de l’élaboration de ce plan (infectiologues, hygiénistes, virologues) n’ont jamais été recontactés pour faire partie des groupes de décision aidant à la gestion de la crise Covid-19.

Il n’y a donc pas eu de plan opérationnel standardisé au niveau national, pointe le rapport préliminaire de l’experte. Chaque hôpital, chaque médecin, a dû s’adapter de façon individuelle, même si les collaborations se sont mises en place.

Des carences

Les capacités de testing n’ont pas été "suffisamment prévues" : il n’y avait "aucune capacité de réservée prévue pour une pandémie". Le pays disposait juste "de l’appareillage utile à la routine". Par ailleurs, n’avoir que deux hôpitaux de référence (CHU Saint-Pierre, UZ Antwerpen), s’est avéré totalement insuffisant, estime Leïla Belkhir. Il a fallu attendre le 10 mars pour que les hôpitaux reçoivent l’autorisation du fédéral de ne plus devoir transférer les patients confirmés Covid-19 vers ces deux hôpitaux de référence.

Les premières antennes de tri ont émergé grâce au bon vouloir des hôpitaux, avant que les médecins généralistes n’en aient la responsabilité, pointe l’experte. Elle souligne le fait que dans la formation des médecins, aucun cours n’est prévu, ni dans le cursus de base, ni dans le cursus du diplôme interuniversitaire en maladies infectieuses, sur la gestion ou la préparation d’une pandémie.

Autres soucis : le manque de personnel infirmier avant Covid, qui a engendré un épuisement durant la crise, des disparités majeures dans la prise en charge aux soins intensifs entre hôpitaux, et l’absence de suivi psychologique prévu pour les soignants. Les hôpitaux ont dû organiser par eux-mêmes ce dernier aspect.

Péché originel et fiasco

En termes de testing, l’erreur de départ a été, dit le rapport préliminaire, de ne désigner qu’un seul laboratoire de référence pour les tests (le Centre national de référence pathogènes respiratoires de l’UZ Leuven). Il a été le seul habilité à réaliser les tests PCR pendant plusieurs semaines, et a été rapidement débordé. "Erreur stratégique", selon Leïla Belkhir, lourde de conséquences : les critères de testing ont été limités pour ne pas déborder cette faible capacité.

Ainsi, le 13 mars 2020, on ne pouvait tester que "les cas sévères et les professionnels de santé avec de la fièvre" (ce dernier critère a été supprimé le 16 avril). Ensuite, une plateforme fédérale a été mise en place avec des entreprises pharmaceutiques privées (Biogazelle, GSK, J&J et UCB), "sans avis préalable des laboratoires de biologie clinique agréés", ce qui a "créé de grosses tensions et un sentiment de dévalorisation". Sur ce point, la conclusion est sans appel.

Le document pointe l'absence de dialogue avec les professionnels, le choix de la mauvaise solution de la plateforme. Il aurait été "plus efficace et rapide de renforcer les laboratoires agréés que de monter une nouvelle structure".

A pointer aussi, la pénurie de réactifs et d’écouvillons, qui a limité les capacités de testing, la lenteur dans la validation et la sélection des tests sérologiques, et leurs critères de remboursement.

Bas les masques

Ce document pointe aussi le manque de matériel de protection d’emblée (masques, blouses, charlottes), ainsi que des problèmes dans la qualité de masques reçus. Il souligne enfin un problème d’approvisionnement des médicaments principalement utilisés aux soins intensifs, comme les sédatifs, les curares, et les vasopresseurs. "Le fait qu’il n’y ait pas de réserves centrales est un problème majeur".

Communication catastrophique

Le constat est tout aussi tranché en termes de coordination de l’approche de la pandémie en Belgique : "La communication a été, n’ayons pas peur des mots, catastrophique depuis le départ […]".

Pour Leïla Belkhir, les professionnels de la santé ont souffert d’un manque total de transparence dans les processus menant aux recommandations de Sciensano. Il était très difficile de savoir qui prenait les décisions. De (trop) nombreux groupes décisionnels ont été créés (RMG, RAG, Sciensano, CNS, puis le GEES, le CELEVAL, sans compter les différentes task forces) sans que l’on sache qui décidait de quoi exactement ni quels étaient les critères de sélection des membres qui composaient ces groupes.

La communication vers la population a également été "très chaotique" : pas d’explication claire sur la situation épidémiologique (quel sens donner aux chiffres), sur le pourquoi des mesures, manque de pédagogie, et, pointe l’auteure, une "perte d’adhésion progressive de la part de la population", voire une perte de confiance.

Propositions

Au-delà des critiques, ce volet médical contient des propositions pour aborder autrement une éventuelle pandémie ultérieure. En voici les principales :

- Tout d’abord, il faut "absolument prévoir un groupe pandémie permanent". Il serait composé entre autres de scientifiques et de soignants ayant une expérience de terrain "real life", ainsi qu’au minimum des médecins des différents hôpitaux universitaires (dont des hygiénistes, infectiologues, biologistes microbiologistes / virologues). Il tiendrait des réunions annuelles, au minimum, hors contexte épidémique. Il établirait des procédures de bases standardisées à mettre en œuvre pour tout le pays. La première ligne (médecins traitants) ne pourra plus être absente des interventions, comme ce fut le cas au début de l’épidémie. A chaque émergence d’un nouveau pathogène à haut potentiel de transmissibilité, ce groupe serait activé. Il veillerait à transmettre les plans de base au corps médical, à s’assurer de la disponibilité du matériel de protection et de testing.

- Il faudrait également revoir le nombre d’infirmier.e.s nécessaires pour le bon fonctionnement à l’hôpital en dehors de toute gestion de crise, et prévoir un soutien psychologique pour les soignants en cas de nouvelle pandémie, mais aussi pour la suite de celle-ci.

- Ne plus répéter l’erreur dès le départ du laboratoire unique de référence chargé du testing, mais s’assurer d’emblée que plusieurs laboratoires sur l’ensemble du territoire belge sont capables de développer des méthodes performantes de testing, et anticiper le matériel et le personnel nécessaire.

En première ligne durant la crise sanitaire, Leïla Belkhir dresse un tableau éclairé et éclairant sur la crise sanitaire en Belgique. Les députés membres de la commission spéciale en apprécieront la valeur, et les conclusions éventuelles à tirer en termes de responsabilités politiques des ministres de la Santé, Maggie De Block, et de Philippe De Backer, responsable de l'approvisionnement en matériel et en tests.

L'auteure du rapport, la docteure Leïla Belktir nous a fait savoir qu'elle déplorait la fuite de ce document.
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Christophe » 27/08/20, 16:55

Des nouvelles infos à propos de l'asymétrie Hommes / Femmes...

Preuve si il en fallait encore une, que la génétique joue un rôle important dans cette maladie (on le savait déjà par rapport aux groupes sanguins...)



Coronavirus : les femmes auraient une meilleure réponse immunitaire

La réponse immunitaire des femmes contre le COVID-19 pourrait être plus forte que celle des hommes, ce qui pourrait expliquer pourquoi ces derniers sont davantage touchés par des formes graves, avance une étude publiée mercredi.

"Ce que nous avons trouvé, c'est que les hommes et les femmes développent différents types de réponse immunitaire au COVID-19", assure l'auteur principal de l'étude, la Pr Akiko Iwasaki, dans une vidéo mise en ligne par son université de Yale (Etats-Unis).

Selon cette spécialiste de l'immunité, "ces différences peuvent impliquer une susceptibilité accrue des hommes à cette maladie". Publiée dans la revue scientifique Nature, l'étude rappelle que "les hommes représentent 60% des morts du Covid-19 dans le monde".

L'action des lymphocytes T

Selon ces travaux, l'action des lymphocytes T (qui tuent les cellules infectées et sont ainsi responsables de l'un des volets de la réponse immunitaire) était plus forte chez les femmes que chez les hommes parmi les patients examinés.

Et contrairement aux hommes, les femmes pouvaient développer une forte réponse des lymphocytes T même lorsqu'elles étaient âgées.

De leur côté, à un stade précoce de l'infection, les hommes produisaient globalement plus de cytokines que les femmes.

Or, c'est la production excessive et incontrôlée de ces substances, provoquée par un emballement du système immunitaire, qui est pointée du doigt dans les formes graves de COVID-19 (on appelle cela "orage de cytokines").

Les auteurs de l'étude ont observé que chez les hommes, une moins bonne réponse des lymphocytes T était un facteur aggravant de la maladie. Et plus les hommes étaient âgés, plus cette réponse était faible.

D'autre part, les femmes qui avaient un haut niveau de cytokine au début de l'infection étaient celles dont l'état s'aggravait ensuite.

Selon les chercheurs, ces résultats pourraient conduire à différencier les traitements selon le sexe.

Pour les hommes, "on devrait améliorer la réponse des lymphocytes T via les vaccins", estime la Pr Iwasaki. Pour les femmes, il s'agirait davantage de "bloquer la réponse des cytokines".

Limites de l'étude

Cette étude comporte toutefois des limites.

D'abord, elle est basée sur un faible nombre de patients: 17 hommes et 22 femmes qui ne devaient pas avoir été placés en réanimation ni avoir reçu de médicaments agissant sur le système immunitaire (plus 59 autres patients ne répondant pas à ces critères, pour avoir un échantillon plus large).

De plus, l'âge moyen était élevé (une soixantaine d'années).

"Plusieurs des différences observées pourraient être dues à l'âge ou à l'indice de masse corporelle", voire au "hasard", plutôt qu'au sexe, estime une spécialiste qui n'a pas participé à l'étude, la Pr Eleanor Riley (université d'Edimbourg), citée par l'organisme britannique Science Media Centre.

En outre, "même si la réponse moyenne diffère" entre le groupe d'hommes et le groupe de femmes, au niveau individuel, beaucoup d'hommes et de femmes ont des réponses similaires, poursuit-elle.

C'est pourquoi les traitements devraient plutôt être adaptés individuellement à chaque patient et non définis uniquement selon son sexe, estime-t-elle.


Mais pourquoi encore douter de cette étude ? Faut qu'ils en remettent toujours une couche de doute ?
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Christophe » 28/08/20, 09:45

Une bonne nouvelle durable (sauf pour la France ?) ou juste l'effet temporaire de mesures de plus en plus restrictives notamment celles liées aux masques ?

Le Covid-19 plafonne dans le monde

L'OMS constate un recul du nombre de nouveaux cas et de décès presque partout dans le monde. Un reflux encourageant en Afrique, Asie et Océanie. Le rebond de la pandémie constaté cet été en Europe s'essouffle aussi, sauf en Italie, Espagne et en France. Les Amériques représentent encore les deux tiers des morts chaque jour.

(...)

Le cas français

La France, quant à elle, figure parmi les pays où le nombre de nouveaux cas quotidien se compte en milliers, et est le seul où il augmente depuis dix jours. Elle a enregistré mercredi un record depuis le 14 avril, de 5.400 cas, dix fois plus que mi-juillet, et presque trois fois plus que lundi. Un flux dépassé, en absolu, seulement par ceux enregistrés en Inde, Brésil et Etats-Unis. Ce qui a poussé la Belgique à imposer, mercredi, un isolement de quatorze jours à toute personne en provenance, notamment, d'Ile-de-France, ou des Bouches-du-Rhône. L'Allemagne impose un test et une quatorzaine à tout voyageur ayant séjourné en Provence ou région parisienne.

Ce rebond de plus en plus ample ne se traduit toutefois pas par une tension dans les services d'urgence, quarante jours après son début. Le nombre de décès quotidien plafonne à environ une quinzaine par jour, un centième du niveau observé au pic d'avril. Certes, le nombre de patients admis chaque jour en réanimation ou à l'hôpital a clairement augmenté depuis deux semaines, à environ une cinquantaine et près de deux cent cinquante, respectivement. Des flux deux fois plus élevés qu'au début du mois. Mais, paradoxalement, le « stock » de personnes hospitalisées (4.600) ou en réanimation (410) a repris son déclin, après dix jours de « panne », grâce à des flux robustes de guérisons. La prise en charge des malades s'est très nettement améliorée, les médecins ayant tiré les leçons du début de la pandémie, tant dans le dépistage précoce que la ventilation des patients en réanimation, ou les médicaments administrés.

Si cette progression peut s'expliquer en grande partie par l'adage « quand on teste plus on détecte plus, à épidémie constante », il n'en reste pas moins que le virus circule d'avantage ; la proportion de personnes testées séropositives (en France donc) au Covid-19 augmente.

(...)

covid_aout_2020_carte_monde.jpg
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Quand on voit que l'essentiel de l'Europe est haussière je trouve cela un peu con de titrer cela de la part des Echos....cela va induire un relâchement des gestes barrières par certains lecteurs...mais bon je suis pas rédacteur en chef...Oui je sais le monde c'est plus l'Europe mais tout de même...

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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Obamot » 28/08/20, 11:25

Graphique corrigé par moi (en bleu) :

izentrop QUI CONTINUE SANS RELÂCHE A POSTER DES PUBLICATIONS OBSOLÈTES a écrit :Un article du Monde qui fait le point de la situation
441851DA-172B-48F3-B607-ACB3ABC223F8.jpeg
Covid-19 : pourquoi tant de contaminations et si peu de morts ?


Pour une surprise, ça c’est une surprise! :cheesy:

Le point sur quoi alors...? Sur rien.
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par ABC2019 » 28/08/20, 11:36

Obamot a écrit :Pour une surprise, ça c’est une surprise! :cheesy:

Le point sur quoi alors...? Sur rien.

ah tout à coup il est devenu évident pour tout le monde que le taux de létalité dépendait completement du nombre de tests, et que donc on ne pouvait pas comparer les chiffres bruts de létalité, sans savoir combien de tests on faisait ?

gros progrès depuis le mois de mars, quand même !!!! :cheesy:
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Christophe » 28/08/20, 11:43

Perso je n'ai jamais dis l'inverse...Par contre avant de calculer le taux réel il faut être certain que la personne est vraiment guérie...c'est à dire hors de danger sans risque de rechute...

Aussi le sars-cov2 fait des dégâts sur l'organisme (dont certains s'apparentent à des séquelles à long terme voir à vie) autres que la mort...Et ça je pense qu'on en parle pas assez !!

C'est comme dans la sécurité routier: tout le monde connait le nombre de morts par an mais peu connaissent le nombre annuels d'handicapés à vie...(moi le premier)

Mourir est peut-être moins pénible que survivre avec un handicap lourd...mais c'est un autre débat ça...
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par Obamot » 28/08/20, 12:00

En effet ...!

ABC2019 a écrit :
Obamot a écrit :Pour une surprise, ça c’est une surprise! :cheesy:

Le point sur quoi alors...? Sur rien.

ah tout à coup il est devenu évident pour tout le monde que le taux de létalité dépendait completement du nombre de tests, et que donc on ne pouvait pas comparer les chiffres bruts de létalité, sans savoir combien de tests on faisait ?

gros progrès depuis le mois de mars, quand même !!!! :cheesy:


ABC est vraiment un super-troll :cheesy:
Je ne comprenais pas ton post “tophe alors j’ai lu le sien ! Il abuse un max :shock:

Non seulement je lui ai fait remarqué depuis des mois qu’il confondait “létalité” avec “mortalité, mais là c’est de l’invention! :roll: 8)

Aucun de ces 2 mots ne figurent sur le graphique, je ne parle même pas de ça et c’est même pas mon graph :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Je sens qu’Alcyone va encore se fâcher tout rouge ! :cheesy:
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Re: Coronavirus COVID-19, carte de l'épidémie en temps réel




par ABC2019 » 28/08/20, 15:13

Obamot a écrit :Non seulement je lui ai fait remarqué depuis des mois qu’il confondait “létalité” avec “mortalité, mais là c’est de l’invention! :roll: 8)

Aucun de ces 2 mots ne figurent sur le graphique, je ne parle même pas de ça et c’est même pas mon graph :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Je sens qu’Alcyone va encore se fâcher tout rouge ! :cheesy:

sérieux tu ne vois pas de rapport entre le fait que tu soulignes, que le nombre de cas détectés dépend du nombre de tests, et le fait que la létalité en dépende donc aussi ? (c'est quoi la létalité de la Covid en France pendant le mois d'aout selon toi ? )

et tu prétends bien comprendre ce qu'est un taux de létalité ? et c'est toi qui traites les autres de troll ? :shock:
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