ABC2019 a écrit :Tant qu'on n'a pas éradiqué le virus, ou que l'immunité de groupe n'est pas acquise, l'épidémie repartira dès que R repasse au-dessus de 1.
L'éradication du virus parait improbable car il faudrait le faire partout sur la planète. La seule solution à terme, c'est l"immunité acquise, mais elle sera d'autant plus lente à se mettre en place que les contagions sont lentes. On est donc pris entre le Charybde du débordement des hopitaux et le Scylla d'une épidémie qui s'éternise à bas bruit. La solution optimale est probablement de laisser l'épidémie se propager au rythme maximal autorisé par la capacité des hopitaux (c'est là où c'est intéressant d'augmenter cette capacité) pour essayer d'en terminer le plus vite, mais sans se faiee déborder. En pratique, ça se fait par des "stop and go" au gré des variations observées. Ca peut donner l'impression de n'importe quoi, mais ce n'est pas une gesrion facile et je ne vois pas trop ce qu'on aurait pu faire de beaucoup mieux.
Et en sachant que l'immunité ne dure pas ?
Tu peux de nouveau être malade et contagieux 6 mois plus tard, reste plus qu'à prier ...
ou avoir des tests efficaces et rapides, de façon à isoler rapidement les foyers d'infection comme savent très bien le faire les asiatiques.
Cela a été plus facile sur les iles comme la Nouvelle-Zélande mais pas chez nous
adrien a écrit :Ouai en gros toi aussi tu fais porter la faute sur la violée et pas sur le violeur.
C'est juste une question d'honnêteté intellectuelle : Ne pas faire dire aux personnes ce qu'elles n'ont pas dites.