VetusLignum a écrit :izentrop a écrit :VetusLignum a écrit :Par exemple, vous pouvez retrouver qu'ai 05/12, il y a 10.6% de non-vaccinés parmi les 20-39 ans. Or, à cette même date, il y a 1 mort, qui compte pour 0.67 comme non-vacciné.
Qu'est ce que t'en sais, tu n'es pas expert, moi non plus... et puis le tuit concernait les moins de 20 ans dont les dcs sont peu significatifs .
Tellement peu significatifs que dans les dernières publications de la DREES ils n'y sont pas représentés
https://share.streamlit.io/vivien0000/v ... ats/app.py
Pour le moment, le but c'est de comprendre comment les donnes de la DREES sont construites, et de s'assurer qu'il n'y ait pas eu de manipulation.
D’où l’intérêt de regarder là où les chiffres sont petits.
Et ce que cela révèle, c'est qu'il y a un bien un problème avec la méthodologie de ventilation des non-appariés.
Et il y a peut-être d'autres problèmes encore.
Comme si les professionnels de santé était tous des pourris
Au lieu de faire des recherches hors de
votre compétence (je pense à tout les suspicieux du forum et aux manipulateurs de "tuiter"), écoutez les professionnels qui font leur boulot et qui n'en peuvent plus de ces gens désinformés par les RS
"Aujourd'hui, la situation sanitaire s'aggrave. Les services de réanimation de notre région accueillent déjà plus de 500 malades du Covid et dans quelques jours, nos réanimations seront pleines.
Ce mois de décembre, nous avons déjà transféré des malades à Saint-Malo, Vannes, Paris et Metz imposant à ces patients et leurs familles un éloignement pénible et ajoutant à leur détresse.
Dans les réanimations, les malades du Covid que nous soignons ne sont pas vaccinés dans près de 90 % des cas. Ces femmes et ces hommes nous disent avoir attendu, avoir peur des vaccins, ne pas croire la télé, ne plus croire les experts et écouter des réseaux sociaux qui les inquiètent.
Ou tout simplement, ils ne savent pas pourquoi mais ils sont "contre".
https://www.laprovence.com/article/coro ... -vous.htmlLa DREES ventile les données pour qu'elles collent le plus possible à la réalité de ce qui se passe dans les milieux hospitaliers.
Ils appliquent une transparence des données pour les suspicieux, mais vu leur incompétence, ces données devraient rester réservées aux professionnels.