Corossol, fruit du Graviola, anti cancer puissant?
Toujours difficile de savoir si ce que l'on trouve sur internet est vrai. Si ce fruit est aussi efficace que les médicaments chimique toxique et cher pourquoi n'est-il pas diffusé? Je passe sur les 10 000 fois plus efficace.
Cette info est-elle vrai ou fausse?
Est ce simplement l'industrie pharmaceutique qui empêche de diffuser ce médicaments car il les empêcherai de gagner beaucoup de fric?
S'ils fabriquent un médicament non breveté il va immédiatement être copié par la concurrence et les investissement pour les autorisations de mise sur le marché seront perdu.
Cette info est-elle vrai ou fausse?
Est ce simplement l'industrie pharmaceutique qui empêche de diffuser ce médicaments car il les empêcherai de gagner beaucoup de fric?
S'ils fabriquent un médicament non breveté il va immédiatement être copié par la concurrence et les investissement pour les autorisations de mise sur le marché seront perdu.
0 x
-
- Econologue expert
- Messages : 20041
- Inscription : 29/10/10, 13:27
- Localisation : bourgogne
- x 3832
Raymon bonjour
Le produit, sous sa forme naturelle, n'existe pas forcément en quantités suffisantes pour pouvoir répondre aux besoins de la cause.Donc l'industrie pharmaceutique est en recherche d'en synthétiser les principes actifs afin de répondre aux immenses besoins des populations dépendantes de cette même industrie. Or tous ces produits naturels ne sont pas forcément reproductibles synthétiquement, voire ont des effets secondaires inacceptables. (j'omet volontairement le coté business et intérêts croisés)
Le produit, sous sa forme naturelle, n'existe pas forcément en quantités suffisantes pour pouvoir répondre aux besoins de la cause.Donc l'industrie pharmaceutique est en recherche d'en synthétiser les principes actifs afin de répondre aux immenses besoins des populations dépendantes de cette même industrie. Or tous ces produits naturels ne sont pas forcément reproductibles synthétiquement, voire ont des effets secondaires inacceptables. (j'omet volontairement le coté business et intérêts croisés)
0 x
Le produit, sous sa forme naturelle, n'existe pas forcément en quantités suffisantes pour pouvoir répondre aux besoins de la cause
De ce que j'ai compris toutes les parties aérienne de la plante sont utilisable à mon avis avec la production annuelle mondiale on pourrait soigner pas mal de monde.
On n'est pas obligé de synthétiser pour soigner des gens. Utiliser la plante comme médicaments ferais simplement augmenter le prix donc baisser la consommation pour des glaces et des jus de fruits. L'offre et la demande c'est tout.
0 x
-
- Econologue expert
- Messages : 20041
- Inscription : 29/10/10, 13:27
- Localisation : bourgogne
- x 3832
les extraits de plantes ne couvriraient pas les besoins (en supposant que ce moyen soit universellement utilisé) par contre pour que l'industrie pharmaceutique (lourde) s'intéresse à la fabrication d'un produit, il faut que le volume soit suffisant et suffisamment rentable aussi (sans compter la nouvelle manie de breveter le vivant)De ce que j'ai compris toutes les parties aérienne de la plante sont utilisable à mon avis avec la production annuelle mondiale on pourrait soigner pas mal de monde.
On n'est pas obligé de synthétiser pour soigner des gens. Utiliser la plante comme médicaments ferais simplement augmenter le prix donc baisser la consommation pour des glaces et des jus de fruits. L'offre et la demande c'est tout.
0 x
-
- Econologue expert
- Messages : 20041
- Inscription : 29/10/10, 13:27
- Localisation : bourgogne
- x 3832
cuicui
Plus facile à dire qu'à faire! Lorsqu'une personne est atteinte d'un cancer, c'est la mort quasi assurée au bout du tunnel. Donc le plus rassurant est de suivre les pointillés et s'en remettre au système dominant.
Dans l'autre cas, c'est une décision extrêmement difficile à prendre sans une quasi certitude que c'est la bonne. Cela ne concerne donc que très, très peu de personnes qui n'ont plus rien à perdre et, malheureusement, quelques fois trop tard.
Pour le Graviola ou autre, il ne suffit pas de prendre des antioxydants (même si c'est important) Si la consommation de radicaux libres vient annuler cette prise, ce sont les autres facteurs qui seront décisifs concernant l'évolution de la pathologie.
janic a écrit:
Vrai et faux en même temps!
Le meilleur moyen d'en juger : essayer.
Plus facile à dire qu'à faire! Lorsqu'une personne est atteinte d'un cancer, c'est la mort quasi assurée au bout du tunnel. Donc le plus rassurant est de suivre les pointillés et s'en remettre au système dominant.
Dans l'autre cas, c'est une décision extrêmement difficile à prendre sans une quasi certitude que c'est la bonne. Cela ne concerne donc que très, très peu de personnes qui n'ont plus rien à perdre et, malheureusement, quelques fois trop tard.
Pour le Graviola ou autre, il ne suffit pas de prendre des antioxydants (même si c'est important) Si la consommation de radicaux libres vient annuler cette prise, ce sont les autres facteurs qui seront décisifs concernant l'évolution de la pathologie.
0 x
Mais qu'est-ce que tu racontes ? Le cancer est la conséquence de la baisse du système immunitaire souvent due à des stress anciens et récents confondues. Si on ne tient pas compte de ce facteur, on a beau enlever les tumeurs, les mêmes causes reproduiront les mêmes effets et d'autres tumeurs apparaîtront.janic a écrit : Lorsqu'une personne est atteinte d'un cancer, c'est la mort quasi assurée au bout du tunnel.
Il importe de booster les défenses immunitaires avec des compléments alimentaires, et surtout de résoudre les problèmes émotionnels. En attendant que le système immunitaire reprenne la relève, il est aussi nécessaire de réduire les tumeurs par chimio ou radiothérapie. En parlant du cancer comme d'une sorte d'inexorable gangrène, tu passes à côté du sujet. Tu sembles tellement obnubilé par la mort que tu ne vois pas les patients guéris.
En attendant l'immortalité promise pour bientôt, la mort nous attend tous au bout du tunnel, cancer ou pas, mais ce n'est pas le sujet ici.
0 x
Plus facile à dire qu'à faire! Lorsqu'une personne est atteinte d'un cancer, c'est la mort quasi assurée au bout du tunnel. Donc le plus rassurant est de suivre les pointillés et s'en remettre au système dominant.
On peu suivre le système dominant et en même temps prendre de la graviola puisque ce n'est rien de plus qu'un fruit exotique en gélules. On est bien d'accord que arréter un traitement classique our se genre de maladies ne semble pas très "prudent".
0 x
-
- Econologue expert
- Messages : 20041
- Inscription : 29/10/10, 13:27
- Localisation : bourgogne
- x 3832
cuicui bonjour
En partie seulement, cette baisse du système immunitaire (qui a bon dos, elle devient responsable de tout) est liée, en général, à un mode de vie inadapté à la physiologie humaine. Ceci se vérifie par comparaison avec des modes de vie ciblés par leur différence. Quand au stress, il n’intervient que comme facteur secondaire, là aussi par comparaison entre deux modes de vie différents hors stress. (il y a eut un large débat avec Obamot sur ce sujet, il suffit de le relire.)
Là, je suis entièrement d’accord !
C’est valable pour n’importe quelle maladie, l’important est de connaitre ce qui diffère un cancer d’un rhume où, dans chaque cas, le système immunitaire est sollicité.
Là, c’est ce que j’écrivais plus tôt, ce n’est valable que pour ceux qui épousent la philosophie de ces traitements violents et mortifères. Les rares cas qui passent par un autre canal démontrent que ce n’est pas l’unique solution, mais il faut une solide motivation pour le faire car l’on est seul au milieu d’un environnement hostile, ce qui génère encore plus de stress.
Oh, que non, pour moi,(nous) le cancer c’est un pathologie comme une autre mais qui fait plus peur qu’un simple rhume. Si on croyait que c'était inexorable, ce serait totalement inutile d'essayer autre chose.
Je peux te donner un exemple récent : le chat d’une connaissance bavait en permanence et à sa conduite chez le vétérinaire celui-ci , après examens, déclara que c’était un cancer de la bouche, inopérable vu l’âge de l’animal, et sa mort était donc inexorable. J’ai conseillé un traitement naturel ( l'avantage d'un animal c'est que, en cas de décès, la famille ne se retourne pas contre le conseilleur comme faisant partie d'une secte dangereuse ayant tué un membre de sa famille) et en peu de temps l’animal a cessé de baver et le cancer avait disparu.
J'ai volontairement pris un exemple animal (je pourrais en citer d'autres) parce que il est interdit d'aider un être humain.
Je sais, comme à chaque fois, on invoque le hasard, le mauvais diagnostique du vétérinaire, le système immunitaire qui s’était remis en marche, etc… Or, bizarrement, c’est à chaque fois juste après un traitement naturel que tout rentre dans l’ordre et là, le stress chez un chat, surtout celui-là…. !!!!!
Au contraire, je suis réaliste car je ne m’appuie que sur les statistiques officielles (INSERM, INPES) et les témoignages de certains professionnels du corps médical.
C’est pourquoi il faut être circonspect avec ce que l’on appelle les patients guéris (c’est à dire, en général, au minimum 5 ans après lesquels, me confiait une infirmière retraitée d’un grand hôpital de cancérologie, le cancer réapparait sous une autre forme ou un autre organe.) Une de mes relations proches en est à son troisième cancer traité par exemple.
Ensuite les patients guéris, ça peut exister, mais certains cancers traités n’auraient jamais évolués (ce que disent un certain nombre de cancérologue eux-mêmes) et à vaincre sans péril on triomphe sans gloire mais cela rentre dans les statistiques.
Tu peux consulter cet article paru dans que choisir de novembre 2013 sur le dépistage du cancer de la prostate: « dépistage plus néfaste qu’utile » et qui se conclue par : « le sur-diagnostique lié au dépistage peut déboucher sur des chirurgies qui se compliquent, jusqu’au décès, (qui ne sera peut être pas comptabilisé parmi les échecs thérapeutiques du cancer), alors que ces hommes n’auraient jamais souffert de leur cancer de la prostate au cours de leur vie » Pr Matthieu Boniol, principal auteur de l’étude.
Pour mémoire je reproduis, encore une fois ici, le point de vue d’un cancérologue réputé extrait de mon livre : "Stop à la maladie, place à une vrai santé" (NOTA: il n'est pas à vendre)
En 1959, il mourrait chaque année en France 33.100 personnes du cancer. Dix ans plus tard en 1969 il mourrait 101.973 personnes de ce même cancer. Une explosion brutale de plus de 300% touchant même les enfants qui jusque là en étaient préservés. Qui s’est demandé pourquoi ? " Fin d'extrait.
raymon bonjour
A chacun selon sa conscience et son expérience, c'est ce que faisait David Servan Scheiber et ça a prolongé sa vie d'une dizaine d'années, mais peut être que s'il avait pratiqué intégralement et uniquement une méthode naturelle, il serait encore en vie, mais ça personne ne pourra le dire!
janic a écrit:
Lorsqu'une personne est atteinte d'un cancer, c'est la mort quasi assurée au bout du tunnel.
Mais qu'est-ce que tu racontes ? Le cancer est la conséquence de la baisse du système immunitaire souvent due à des stress anciens et récents confondues.
En partie seulement, cette baisse du système immunitaire (qui a bon dos, elle devient responsable de tout) est liée, en général, à un mode de vie inadapté à la physiologie humaine. Ceci se vérifie par comparaison avec des modes de vie ciblés par leur différence. Quand au stress, il n’intervient que comme facteur secondaire, là aussi par comparaison entre deux modes de vie différents hors stress. (il y a eut un large débat avec Obamot sur ce sujet, il suffit de le relire.)
Si on ne tient pas compte de ce facteur, on a beau enlever les tumeurs, les mêmes causes reproduiront les mêmes effets et d'autres tumeurs apparaîtront.
Là, je suis entièrement d’accord !
Il importe de booster les défenses immunitaires avec des compléments alimentaires, et surtout de résoudre les problèmes émotionnels.
C’est valable pour n’importe quelle maladie, l’important est de connaitre ce qui diffère un cancer d’un rhume où, dans chaque cas, le système immunitaire est sollicité.
En attendant que le système immunitaire reprenne la relève, il est aussi nécessaire de réduire les tumeurs par chimio ou radiothérapie.
Là, c’est ce que j’écrivais plus tôt, ce n’est valable que pour ceux qui épousent la philosophie de ces traitements violents et mortifères. Les rares cas qui passent par un autre canal démontrent que ce n’est pas l’unique solution, mais il faut une solide motivation pour le faire car l’on est seul au milieu d’un environnement hostile, ce qui génère encore plus de stress.
En parlant du cancer comme d'une sorte d'inexorable gangrène, tu passes à côté du sujet.
Oh, que non, pour moi,(nous) le cancer c’est un pathologie comme une autre mais qui fait plus peur qu’un simple rhume. Si on croyait que c'était inexorable, ce serait totalement inutile d'essayer autre chose.
Je peux te donner un exemple récent : le chat d’une connaissance bavait en permanence et à sa conduite chez le vétérinaire celui-ci , après examens, déclara que c’était un cancer de la bouche, inopérable vu l’âge de l’animal, et sa mort était donc inexorable. J’ai conseillé un traitement naturel ( l'avantage d'un animal c'est que, en cas de décès, la famille ne se retourne pas contre le conseilleur comme faisant partie d'une secte dangereuse ayant tué un membre de sa famille) et en peu de temps l’animal a cessé de baver et le cancer avait disparu.
J'ai volontairement pris un exemple animal (je pourrais en citer d'autres) parce que il est interdit d'aider un être humain.
Je sais, comme à chaque fois, on invoque le hasard, le mauvais diagnostique du vétérinaire, le système immunitaire qui s’était remis en marche, etc… Or, bizarrement, c’est à chaque fois juste après un traitement naturel que tout rentre dans l’ordre et là, le stress chez un chat, surtout celui-là…. !!!!!
Tu sembles tellement obnubilé par la mort que tu ne vois pas les patients guéris.
Au contraire, je suis réaliste car je ne m’appuie que sur les statistiques officielles (INSERM, INPES) et les témoignages de certains professionnels du corps médical.
C’est pourquoi il faut être circonspect avec ce que l’on appelle les patients guéris (c’est à dire, en général, au minimum 5 ans après lesquels, me confiait une infirmière retraitée d’un grand hôpital de cancérologie, le cancer réapparait sous une autre forme ou un autre organe.) Une de mes relations proches en est à son troisième cancer traité par exemple.
Ensuite les patients guéris, ça peut exister, mais certains cancers traités n’auraient jamais évolués (ce que disent un certain nombre de cancérologue eux-mêmes) et à vaincre sans péril on triomphe sans gloire mais cela rentre dans les statistiques.
Tu peux consulter cet article paru dans que choisir de novembre 2013 sur le dépistage du cancer de la prostate: « dépistage plus néfaste qu’utile » et qui se conclue par : « le sur-diagnostique lié au dépistage peut déboucher sur des chirurgies qui se compliquent, jusqu’au décès, (qui ne sera peut être pas comptabilisé parmi les échecs thérapeutiques du cancer), alors que ces hommes n’auraient jamais souffert de leur cancer de la prostate au cours de leur vie » Pr Matthieu Boniol, principal auteur de l’étude.
Pour mémoire je reproduis, encore une fois ici, le point de vue d’un cancérologue réputé extrait de mon livre : "Stop à la maladie, place à une vrai santé" (NOTA: il n'est pas à vendre)
LE CANCER
Le cancer tue environ 150.000 personnes par an, en France, soit un décès sur quatre. Le cancérologue Laurent Schwartz, exerçant à l’hôpital Tenon, à Paris, écrivait dans la revue La Recherche de février 1996 : « Il faut se rendre à l’évidence, non seulement la bataille n’est pas gagnée, mais d’une manière générale, le cancer a plutôt tendance à progresser. En France, on dénombrait 126.000 décès par cancer en 1968, 146.000 vingt cinq ans plus tard (1993) ». Et nous sommes en 2005.
Laurent Schwartz, toujours, dans le même article écrivait :
« Sydney Farber, cancérologue réputé, déclarait avec d’autres : -Nous touchons au but, ce dont nous avons besoin, c’est de l’énergie et des crédits identiques à ceux qui ont permis d’envoyer un homme sur la lune »
« 20 années après la date fixée et malgré les 40 milliards de dollars (200 milliards de francs) de dotations diverses injectées dans la recherche de chaque côté de l’Atlantique, il faut se rendre à l’évidence : non seulement la bataille n’est pas gagnée, mais d’une manière générale le cancer a plutôt tendance à progresser »
Il faisait 4 constats :
1°- Celui de la réalité :
« Dans les pays occidentaux, une personne sur deux est, ou sera, concernée par un cancer. Un français sur 4 en meurt. Demain, grâce au succès de la cardiologie, le cancer sera la première cause de la mortalité »
2°- Celui de l’échec :
« Malgré l’énormité des moyens engagés depuis 35 ans, dans les pays occidentaux, la lutte contre le cancer est un échec.
- Nous pouvons nous demander pourquoi nous ne sommes pas arrivés à un résultat plus probant, malgré ces années de recherche.
- Il faut se rendre à l’évidence : non seulement la bataille n’est pas gagnée, mais d’une manière générale le cancer a plutôt tendance à progresser.
3°- Celui des risques :
-L’efficacité de la chimiothérapie est limitée par la capacité des cellules tumorales à développer une résistance aux médicaments antimitotiques (qui empêchent la division cellulaire)…En outre une cellule rendue résistante à un antimitotique en particulier, peut le devenir du même coup, à plusieurs antimitotiques à la fois. C'est-à-dire que le cancer devient résistant même à des médicaments auxquels il n’a pas encore été confronté.
4°- Celui de l’incidence alimentaire :
-On constate cependant une grande variation d’incidence selon les pays et l’on conclut à l’influence des habitudes alimentaires.
-Le cancer du colon est fréquent chez les peuples dont l’alimentation est pauvre en fibres, beaucoup plus rare là où l’alimentation est riche en fibres comme au Japon…De nombreuses enquêtes sont en cours pour préciser les rapports entre régimes alimentaires et divers types de cancers » Fin de citation.
En 1959, il mourrait chaque année en France 33.100 personnes du cancer. Dix ans plus tard en 1969 il mourrait 101.973 personnes de ce même cancer. Une explosion brutale de plus de 300% touchant même les enfants qui jusque là en étaient préservés. Qui s’est demandé pourquoi ? " Fin d'extrait.
raymon bonjour
On peu suivre le système dominant et en même temps prendre de la graviola puisque ce n'est rien de plus qu'un fruit exotique en gélules. On est bien d'accord que arréter un traitement classique our se genre de maladies ne semble pas très "prudent".
A chacun selon sa conscience et son expérience, c'est ce que faisait David Servan Scheiber et ça a prolongé sa vie d'une dizaine d'années, mais peut être que s'il avait pratiqué intégralement et uniquement une méthode naturelle, il serait encore en vie, mais ça personne ne pourra le dire!
0 x
A chacun selon sa conscience et son expérience, c'est ce que faisait David Servan Scheiber et ça a prolongé sa vie d'une dizaine d'années, mais peut être que s'il avait pratiqué intégralement et uniquement une méthode naturelle, il serait encore en vie, mais ça personne ne pourra le dire!
C'est pour cela qu'il manque des tests en double aveugle pour les médiacaments"naturel".
0 x
Revenir vers « Santé et prévention. Pollutions, causes et effets des risques environnementaux »
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Ahmed, Confrérie des Imbéciles Heureux, Peterr et 223 invités