En gros elle parle des vaccins et de l’approche “transhumaniste” qui comme son nom ne l’indique pas trop, est une voie qui consiste à transformer les êtres vivants de la race humaine en robots partiels, en leur greffant des fonctionnalités supplémentaires ...ce qui ouvre des perspectives sur un monde terrifiant d’inégalités et de nouvelles dépendances (et qui soulėvera des questions du type: jusqu’où l’humain gardera-t-il le contrôle sur sa propre vie dans le futur?
A ce stade, et au vu de la vitesse de développement des vaccins, elle craint ã juste titre, des réactions auto-immune chez les vaccinés (ce qui pourrait être pire que le mal, ã l’échelle du nombre de personnes vaccinées, puisqu’en effet, un vaccin sûr devrait apporter un taux de létalité très en-dessous des seuils provoqués par le covid-19 lui-même, ce qui ne pourra jamais être garanti... On n’a même pas les stats par tranches d’âge de la première vague...! Presque rien n’est vérifiable (sauf curieusement, les études observationelles qui dérangent tant)
Elle dit que le vaccin n’a été testé que sur 45 humains (les Russes des milliers et leur travail est remis en cause...)
Les effets co-latéraux d’une vaccination “mal maîtrisée” de ce type sont/pourraient être (selon elle):— qu’apparemment 100% des personnes ayant reçu le vaccin auraient ou pourraient avoir eu des effets secondaires...
— 80% des personnes vaccinées subiraient ou auraient pu subir des effets secondaires systémiques... (maladies chroniques systémiques)
— rémanents sur une durée inconnue (effets secondaires insoupçonnés sur une longue période (dégâts à vie...)
Ellle craint par là, des effets insidieux:
— une augmentation des taux de cancers...
— une augmentation des taux mutations de certains de nos gênes, et donc une potentielle transformation (délibérée, malveillante, ou non) de l’espèce humaine!
— une augmentation des réactions auto-immunes (maladies auto-immunes);
Se vacciner ne serait pas sans risque, selon elle. En outre, le vaccin pourrait être auto-administré sans aide extérieure, une forme de patch, ce qui pourrait échapper ensuite ã tout contrôle ou suivi médical.
Elle craint ensuite que ce vaccin dont on a changé synthétiquement des brins d’ARN, se multiplierait dans notre corps et pourrait faire une reprogrammation d’une partie de notre propre matériel génétique.. (transfection)
L’industrie prétendrait qu’un tel mécanisme, si il y a lieu, ne serait que temporaire, elle dit que non, et qu’elle ne voudrait (que nous ne voudrions) pas que notre propre génome soit modifié de façon permanente par ce nouveau type de vaccination. Et qui plus est, par de l’ADN synthétique!
Elle dit en outre que ce génome modifié aurait une propriété intellectuelle défendue juridiquement. Ainsi nous aurions de l’ADN dont des tiers (une entreprise cotée en bourse) pourrait revendiquer la propriété (sur notre propre génome), puisqu’elle l’aurait modifié... (elle va loin, mais juridiquement, c’est un engrenage qui se tient, je suis plus inquiet sur les effets secondaires...)
Le vaccin introduirait potentiellement une enzyme appelée “lucifer-aze” enzyme (elle dit ne pas aimer son nom, moi non-plus...) avec des propriétés “bioluminescentes”...
et dit-elle, ceci pourrait être perçu par une app sur un téléphone portable et délivrer un code qui certifierait que l’on a bien été vacciné, et ferait également office d’une sorte de tatouage bioélectronique personnalisé. Le projet (Hydrogel) émanerait de DARPA / Profusa, et ce serait le Département de la défense Américain qui serait là derrière... (je préfėre nettement le vaccin russe en ce cas...)
Une telle vaccination (si tant est qu’elle soit telle que décrite et pas seulement un potentiel) signifierait une possible altération de notre propre génome. Mais de plus Hydrogel c’est une nanotechnologie d’un gel constitué de micro-robots d’une taille infime et potentiellement connectés à de l’intelligence artificielle... signifierait que le flot d’informations colletées par ces micro-robots pourraient être envoyés à notre smartphone, qui pourrait collecter nos informations biologiques et ADN et les envoyer par le cloud ã des multinationales qui en prendraient le contrôle, et sauraient tout sur nous (et je rajoute, jusqu’ã l’âge déterminé de notre mort qui paraît-il serait programmée).
Elle réfléchit alors sur comment tout ceci peut changer nos vies et affecter notre liberté d’êtres humains... Que ce système pourrait renseigner sur quantité de choses en plus de données médicales (no émotions, les cycles menstruels, si on boit de l’alcool, fume du tabac ou consomme des drogues, si on prend des médicaments, dévoiler notre activité corporelle. Et tout ça dépasse évidemment le simple fait de se faire vacciner et relève également de l’absence de consentement sur l’utilisation qui pourrait être faite de NOS données.
Il y a une partie du discours qui ne me semble pas rationnelle, cependant certains éléments faisant appel à la prudence sont très pertinents. Il faudrait voir quelle est l’étendue réelle de ce qu’elle décrit par rapport au vaccin et ce qui relève de la prospective ou de la science fiction.
Mais il est temps de se poser des questions...
Si on met ça en parallèle avec la création de virus pathogènes en labo P4, le “génie criminel” de l’homme aurait trouvé comment réduire la démographie mondiale!...